Hunter Alasdair Campbell ⍫ 'Cause this time there's no sound to hide behind

Mes parents m'ont appelé Hunter Alaisdair Campbell, mais ce n’est qu’un nom emprunté au passé ! Je suis né le 21 décembre à une époque depuis longtemps révolu, depuis longtemps disparu à un endroit qui n’existe maintenant plus que les légendes urbaines, dans les livres enfoui sous la poussière. Je suis un élément de 35 ans en apparence physique. Pour plus de précisions, je suis hétérosexuel et présentement en couple avec ma personne. Je suis fier de dire que je travaille en tant que fouteur de trouble à temps plein, dealer de drogue à temps partiel, ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt modéré On me dit souvent que je ressemble à Charlie Hunnam, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe des êtres de l’air, et plus précisément je suis un Djinn.

T’en as vécu des invocations, t’en as vu des époques, des cultures, des guerres, t’as vu la Perse, t’as vu ta magicienne brûler sur un bûcher, t’as vu les guerres de conquêtes, Rome à son apogé, la vie, la mort, les ténèbres, la lumière. Et puis y’as eu ta dernière invocations, celle qui t’as changé, qui t’as fait devenir un Campbell. Parce que avant, t’étais pas comme ça, t’avais pas ce je m’en foutisme, t’étais pas celui que t’es aujourd’hui. Et tu regarde en arrière et t’aimerais pas être de nouveau celui que t’était, celui qui disais toujours oui sans rouspétez, celui qui disais jamais rien. T’as jamais été un enfant de coeur et tu le sais, mais t’as jamais non plus été de ceux qui prenait plaisir à voir le monde brûler devant toi, du moins avant, avant l’Écosse. Et tu te rappelle pas de tout ce que t’as vécu, et  t’en as pas envie de toute manière, parce que t’as fait des choses atroces que tu ne voulais pas faire, parce que t’as passé par dessus les quelques valeurs que t’avais, parce que t’as piétiner ton honneur d'innombrable fois, mais tu te souviens des moindres détails de ta dernière invocation, parce que c’est celle qui t’as rendu l’enfoiré que t’es aujourd’hui.

La première chose qu’il t’es venu à l’esprit alors que tu voyais le monde de nouveau, c’était la beauté des forêts et des montagnes qui t’entourais. T’avais toujours aimé la nature, t’avais toujours aimé cette sensation de liberté qui venait avec, même si ça l’impliquais d’être de nouveau enfermé dans un corps, avec cette douleur qui vrillais ton âme. Et ton nouveau magicien, il était vieux, il avait plus beaucoup de temps devant lui, alors t’as pris ton mal en patience et t’as rien dit, t’as serré les dents et t’as fait ce qu’il te demandait, comme toujours. Parce que t’avais pas de putain de colonne de toute manière.

Tu te rappelle son sourire, il semblait rallumer une flamme en toi, rallumer la vie, éloignant cette partie ténébreuse en toi, ce morceau de haine et de mort qui s’acharnait en ton âme, dans ta vie. Tu te souviens de son sourire éclatant alors qu’elle riait contre toi, tu te souvient de la chaleur qu’elle te donnais, involontairement, volontairement, de ses yeux de forêt pétillant alors que son sourire rejoignait son regard, de cette vie qui palpitait en toi, en ton être, de ce sentiment nouveau qui écrasais ton coeur dans un étau de bien-être. Et puis, la lame que tu enfonçais dans son corps, dans sa vie, de cette question qui perçait dans son regard, du sang qui s’écoulait d’elle, tu te souvient de cette trahison qui transperçait ton âme, qui te poignardais sans relâche alors que la douleur étranglais ton esprit, ton âme, enfouissant cette flamme d’espoir au fond de ton être, dans les ténèbres à jamais, alors que la rage et la vengeance se superposait pour mieux te combler. Et t’as vu la vie partir de son regard, ses yeux si vivant devenir terne, son corps devenir froid, ton coeur devenir de glace. Et t’as jurer de te venger. Parce que t’avais pas eu le choix, parce que ton magicien t’avais expressément demander de la tuer, sans détour ni contrainte. Il t’avais expressément demandé d’enfoncer cette lame dans son coeur, d’enfoncer cette lame dans la flamme qui se créait en toi. Parce que cette femme, ta femme, c’était aussi sa fille. Et même s’il n’en avais rien à faire de sa fille, il ne voulais absolument pas qu’elle fricote avec des êtres comme toi, il l’aimais mieux morte. C’était la dernière fois que l’on piétinais ton âme sans représailles.

La vengeance qui couvais dans ton être, celle sans pitié qui te demandais de tout détruire, tu l’as écoutez et t’as mis ton être dans ce plan précis. Te débarrasser de ton magicien, même si ce n’était pas directement. T’as empêcher des messages de partir, t’as tout fait en sorte pour que les anglais arrivent dans ce petit village d’highlander, dans ce petit village de rebelle, qu’ils détruisent tout. Et t’as aimé ça regarder, t’as aimé voir le village à feu et à sang, son village. Alors que les cris résonnaient dans la vallée, que les fusils leurs faisaient échos et que les flammes rejoignaient le ciel, tu souriais, de ce sourire amer, satisfait, sans une trace d’humanité dans l’horreur que tu venais d’accomplir, parce que la seule humaine qui avait compter pour toi, elle résidait six pieds sous terre. Et même si t’as pas réussit à le tuer, même s’il y as survécu, t’as toujours aimé voir cette douleur dans ses yeux, ce morceaux de son être qui s’était envolé avec la plupart des villageois. T’avais pensé être enfin libéré, mais t’as réalisez que c’était encore mieux de le voir souffrir comme toi t’avais souffert. Et puis, ce petit tour que tu lui as fait, il était passé dans les livres d’histoire, tout le monde se rappellerais du massacre de Glencoe, tout le monde saurait quel incompétent il était, qu’il n’avais pas su protégé la seule chose qu’on lui avait confier. Et même si c’est pas toi directement qui lui as causé cette douleur, qu’il ne l’as jamais vraiment su, t’as pris plaisir à le lui chuchoter à l’oreille alors qu’il quittait ce monde, t’as pris plaisir dans cette terreur infini qui as éclairé son regard l’espace de quelques instant. Et puis, la vieillesse l’as emporté, et t’as disparu de nouveau.

Pour revenir quelques mois plus tard. Et pour une fois, t’avais vraiment envie de tout casser, de tout faire brûler. T’avais envie de voir le monde disparaître sous les flammes et y prendre plaisir. Tu l’avais fait plus tôt, mais t’avais un but, une vengeance au creux de ton être. Et cet homme qui t’invoquais alors que tu le néant t’avais englouti, alors que plus rien n’existait d’autre que toi, il t’invoquais pour des folies, pour des idées de grandeur et de destruction. Alors tu laissa aller ton être dans sa folie et sa destruction, le guidant, l’aidant. Tu l’aimais bien, il te ressemblait dans ta noirceur, dans tes ténèbres. Et puis, c’était l’ennemi juré de ton ancien magicien, alors tu l’appréciais déjà un peu plus simplement pour cela. C’était un Campbell, un traître à sa race, fricotant avec les anglais alors que le sang écossais coulait dans ses veines. C’est lui qui avais détruit le village, il avais bien compris ton manège pour l’amener jusque là, tu l’avais aidé à détruire son ennemi, alors lui aussi il t’aimait bien. Et quand il est mort, quand il t’as laissé partir, t’as presque verser une larme, presque. Parce que cet homme et toi, vous vous compreniez, ressemblance dans la noirceur opaque de ton âme. T’as pris son nom, t’as pris son apparence, c’est ton idée de sépulture.

On t’as laissé en paix pendant quatre siècles. Quatre siècles où la haine grandissais en toi, rugissant de partout, parce que même si tu t’es vengé, t’as jamais été capable de ne plus voir son sang sur toi. Et puis, elle t’as invoqué cette vielle bique, enfin, elle est pas si vieille, mais pour toi, ça reste une vieille bique. Et même si t’apprécie ses idées de grandeurs et de puissance, de gloire et de mort, t’apprécie un peu moins qu’elle t’ai sortit de ta torpeur, surtout que c’est pas toi qu’elle voulais invoquer. Mais elle est bien trop fière pour dire qu’elle c’est tromper et surtout pour te laisser partir, du coup, elle te garde, toi le fou furieux. Et puis, le 21ème siècle, c’est intéressant, t’as cet engin sur deux roues qui fait pas mal de bruit et qui va vite et puis, les gens sont tellement en manque de sensations qu’ils feraient n’importe quoi pour ressentir. Toi t’en as rien à battre qu’ils se tuent à petits feu avec ce que tu leurs vends, t’en aussi longtemps qu’ils payent ce qu’ils te doivent, rendu là, ça te passe dix pieds au dessus de la tête.  

Bienvenue avec ce nouveau personnage ma belle. Excellent choix de vava, je kiffe à 200% Personnage haut en couleur, comme on pourrait s'y attendre pour un djinn ^^ Quelques coquilles à droite à gauche dans ta fiche, mais rien de bien grave ^^ J'espère que tu te plairas à jouer ce perso et je veux un lien

Tu vas maintenant pouvoir aller recenser ton avatar  . Une fois cela fait, tu seras libre de créer ta fiche de liens ainsi que de te trouver un logement ou même de demander un joli rang ! Et enfin pour finir, tu peux créer ton ou tes scénarios en cliquant ici ! Si tu as toutefois envie de rp tout de suite, voici un sujet de demandes de rp, tout beau tout propre ! Une dernière chose et puis ce sera bon, pour récolter ton argent et te procurer les dernières nouveautés IG (et sur le forum, sait-on jamais), je te propose de te rendre au marché de Bray. N'hésite pas à voter pour le top site, ni à poster un joli message sur PRD pour nous faire connaître. Bon jeu sur UL !!!!