Elle aurait pu s'appeler Lizzie, mais non...Morrigan McGuire, c'est bien...

personnalité ✦  Morrigan aimait la vie, chantait la vie, dansait la vie, et il lui prenait aussi souvent de se mettre à rêver. Cette personne douce, lunaire avait des menus principes, qui la rendaient pas mal jugeante. Le fait d'avoir tué son mari a changé sa façon de voir le monde et les choses. De la personne proprette, aux allures un peu coincées, elle est passée à cette femme qui sans s'en fiche de tout pour autant vit au jour le jour, un peu désabusée. Cela se traduit par son attitude, mais aussi par son look. La petite fille sage, naturelle a été rangée au placard au profit de tenue plus sophistiquées, plus sexy, plus "femme fatale". Son maquillage, sa coiffure, sont plus inspirées vintage, glam-rock. Ce que la plupart des gens appellent look de pin-up, à tort.  ✦ Elle élève toujours sa fille Emma, seule. Malgré quelques disputes ayant souvent un lien avec les crises d'adolescence de la jeune femme, elles ont su conserver ce lien fusionnel. Mais Morrigan est bien moins responsable qu'auparavant. Malgré les ans passés, il est évident que la maturité a passé de main. Ne serait-ce pas plutôt la fille qui élève sa mère ? Emma est presque plus responsable qu'elle, se sentant obligée de jouer ce rôle qui l'oblige à grandir, pour aider sa mère qui aurait plutôt tendance à s'auto-saborder. ✦ D'ailleurs, Morrigan change un peu de mec comme de chemises, se souciant peu de ramener des hommes inconnus à son domicile familiale, parfois deux par nuit. Et c'est Emma, qui en apparaissant lors du petit déjeuner, s'occupe de faire fuir certains parasites. Bien entendu, sa simple présence suffit parfois à les faire détaler comme des lapins, mais d'autres fois c'est plus compliqué, surtout quand ils ont seulement quelques années de plus qu'elle et essaient de lui faire du rentre-dedans. Jusqu'à maintenant, elle n'est pas encore tombée sur des vieux pervers... Ironique, quand on sait que plus jeune, Morrigan aurait tué n'importe quel mec qui aurait pu menacer la vie ou l'intégrité de sa fille... Elle se préoccupe également peu de sa réputation, depuis qu'elle est apparue sous son plus mauvais jour dans le journal local.✦  Elle est toujours fan de bouffe, et de pizza, s'est découvert une passion pour la bière qui noie le temps d'une cuite, le sentiment de culpabilité qui la ronge constamment, est toujours allergique à tout ce qui est fruit à coques, et ne se promène plus avec certains bonbons à la noisette enrobés de chocolat dans son sac à main pour gâter sa fille. Emma est à même de se les acheter elle-même avec l'argent de poche que sa mère lui refile après avoir chassé ses amants de passage à sa place. ✦ P
Par contre, elle reste très attachée à son travail. Elle bosse dur pour offrir une prestation de qualité. Le dessin a presque remplacé sa passion pour les livres et la danse, et lui offre parfois le meilleur des exécutoires. C'est d'ailleurs dans ses grands moments de créativité qu'elle en oublie de remplir ses draps de la chaleur d'un mâle lambda. En dehors de cela, elle n'arrive plus à rester seule la nuit... ✦  Excepté si c'est pour une nuit, elle fuit tout ce qui a quelque chose à voir, de près ou de loin avec le surnaturel. Elle pourrait même en avoir une peur panique, au point de se mettre à convulser ou à ne plus réussir à agir ou même à fuir. C'est comme si son cerveau se bloquait et que son corps refusait de lui commander. Tous les jours, elle guette d'ailleurs le moindre signe d'un don quelconque chez sa fille, n'oubliant jamais que son géniteur avait des pouvoirs assez puissants. Mais elle ne le fait pas parce qu'elle cherche à se montrer responsable ou à protéger sa fille, mais égoïstement pour se protéger elle, par peur de commettre le même geste par le passé. Bien qu'elle oublie que sa fille n'ait pas été séquestrée et torturée, elle. Disons que les pouvoirs surnaturels de son défunt mari ont bon dos, ça permet de blâmer autre chose que de ternir le souvenir de son ancien amour.✦  Bref, elle est triste déprimée, désabusée. C'est le bordel un peu dans sa tête et sa vie personnelle.  ✦ Malgré tout ça, la part en elle qui était serviable et attentionnée envers les gens demande à refaire surface, même si elle considère désormais que "charité bien ordonnée, commence par soi-même ✦ Pour cela, elle n'hésite plus à dire ce qu'elle pense, même si ça peut blesser, mais elle-même a du mal à refaire surface et accepter certaines vérités en face.   ✦
Elle aime toujours observer la pluie s'écouler pendant des heures, à travers les vitres de son foyer, en voiture, ou ailleurs.  ✦ Elle aime toujours la mythologie celte et les comédies musicales. Il n'est pas rare qu'elle s'inspire de certains héros de légendes pour illustrer les livres pour enfants. ✦ Si elle devait encore changer de voie, elle s'improviserait bien maîtresse d'école mais elle n'a plus le temps ni le goût de se former. ✦Elle aime traîner des heures au lit et paresser. ✦ Elle s'est mise à fumer la cigarette et parfois un petit joint, quand Emma a le dos tourné.

Morrigan est une enfant du pays. La rouquine de 39 ans est née à Bray, le jour du solstice d'hiver et y a presque vécu toute sa vie avec ses parents ainsi que sa fille Emma, désormais âgée de 15 ans. Son enfance et son adolescence se sont bien déroulées, ayant été toujours bien entourée, que ce soit par sa famille ou au fil de ses rencontres. Peu attirée par les études, on lui a proposé des tas de formations quand elle fut en âge de travailler, mais rien ne semblait lui correspondre vraiment. Ce qui ne l'a pas empêché de se trouver des petits boulots à droite à gauche et de se débrouiller tout en essayant de rester dans la droiture et de toujours rester dans la légalité. Les seuls jobs illégaux qu'elle a pu exercer, étaient ceux de baby-sitter, dog-sitter ou menus travaux d'entretien dans les jardins de certaines connaissances, au black. Bien évidemment, les choses ont été facilitées par le fait qu'elle a toujours vécu chez ses parents, et ne manquait de rien, ne subissant alors aucune pression paralysante.

Malgré tout, elle n'a jamais été une sainte-nitouche, et a commis quelques erreurs, comme beaucoup de gens en font dans leurs vies, et il lui est arrivé de faire une ou deux gardes à vue pour cause d'ébriété. Elle a fréquenté quelques hommes, avec plus ou moins de sérieux, flirtant parfois dans les bars, pour faire ses armes, mais délaissa bien vite la chose. Pourtant, ce n'était pas une Marie-couche toi-là, et elle n'en obtint pas la réputation, parce qu'elle ne passa pas sa vie à cela non plus. C'est d'ailleurs en flirtant, qu'elle fit la connaissance de son premier amour et du papa de sa fille, Emma. Elle n'avait qu'une vingtaine d'années à son actif, quand ils se rencontrèrent, avec Aaren. Ce bassiste de métal était venu boire une bière, au troquet du coin, la veille de repartir pour une autre destination, pour un autre concert. Il était resté discret, humble, à siroter son verre dans son coin, réussissant à se fondre dans la masse sans chercher à se faire remarquer parce qu'il était musicien et connu, alors qu'il était grand, tatoué de partout, piercé à certains endroits, les cheveux très long. C'est son attitude qui l'avait séduite, et il ne fallut pas longtemps pour qu'ils se tournent autour et franchissent le pas. Ils discutèrent la nuit durant, se quittèrent au petit jour, mais chaque fois qu'il revenait de tournée, ils se revoyaient et puis vint au monde leur fille, fruit de leur amour.

Aaren profita de sa petite famille un an avant que tout finisse par s’effondrer autour deux. Elle le croyait parti, une lettre pour seul message sur l'oreiller pour lui dire qu'il ne reviendrait pas. Qu'il en avait choisi une autre. C'est ce qu'elle avait cru un bon moment. Soutenue par sa famille, et pour le bien d'Emma, elle se remit tant bien que mal de cette épreuve, reprit des études, pensa trouver sa voie en devenant aide-soignante, s'était reconstruite.

Et un jour, l'homme de sa vie réapparu par le plus grand des hasards dans la sienne, alors qu'un jour, elle le croisa dans une boutique de vieux disques, où il bossait depuis quelques années. Le choc a été rude en apprenant qu'il était amnésique. Même si elle l'aimait encore, elle lui en voulait énormément d'être parti, ignorant qu'il ne les avait jamais quittées, elle et sa fille, et qu'il avait été simplement séquestré des années durant par une fan complètement tarée. Ils se sont d'abord revus par bribes, pour leur fille, que son père puisse apprendre à le connaître et afin d'essayer de réactiver la mémoire antérieure d'Aaren, bloquée par le traumatisme causé par les sévices qu'il avait subi.

Seulement, plus ils passaient de temps ensemble, et plus il était évident que rien n'était mort entre eux. Ils essayèrent alors de se reconstruire en famille, et ce fut extrêmement difficile. Malgré cela, ils tinrent bon, se redécouvrirent et se marièrent. Morrigan abandonna son travail qui ne lui apportait plus la satisfaction qu'elle en retirait dans ses toutes premières années de prise de fonctions. Ils partirent vivre quelques années aux Etats-Unis, d'abord hébergés chez le meilleur ami d'Aaren, Leroy, qui s'y était établi. Morrigan en profita pour essayer de changer de voie, sans véritable succès, mais bénéficia d'un bon filon, quand Leroy s'aperçut qu'elle savait dessiner.

Il montra quelques croquis à un type qui bossait dans l'édition. Le type la prit à l'essai quelque temps pour très vite se rendre compte qu'elle avait de l'or entre les doigts. Elle crayonna quelques couvertures pour quelques romans sans grande envergure au début, mais ce qui lui permit de commencer à bosser depuis chez Leroy, de continuer à s'occuper d'Emma. Elle prit quand même quelques cours, et signa finalement avec la boîte. Sur le papier, tout semblait pour le mieux.

Sauf que quand Aaren rentrait tard du travail, il avait des sautes d'humeur, passant de la tendresse au romantisme, à des accès de fureur et de paranoïa jusque-là insoupçonnés par Morrigan. Elle ne s'en alarma pas, se persuadant que tout venait de la gestion difficile de ses pouvoirs, secret qu'il lui avait avoué quelques mois avant leur mariage, et d'un mélange de fatigue, car il se démenait également, ne ménageant pas ses heures dans l'entreprise qui l'avait employé.

Puis les sautes d'humeur se muèrent en accusations injustifiées, de plus en plus violentes verbalement. Selon ses dires, si Morrigan avait réussi à trouver son job, c'était parce qu'elle couchait avec son meilleur ami. Et elle l'avait trahie, ou le trahissait avec lui la journée, quand il partait bosser. De fortes disputes éclatèrent entre eux, et Aaren manifestaient des troubles du comportement comme se nettoyer les mains à s'en abîmer la peau, commençait à perdre des cheveux...

Croyant sauver son couple, Morrigan pensa retourner vivre à Bray, après avoir démenti de nombreuses fois ses accusations tordues et peut-être permettre à son amour de jeunesse de pouvoir être soigné dans un établissement adapté, auprès de sa propre famille. Un arrangement fut trouvé pour qu'elle puisse continuer à travailler de là-bas pour sa maison d'édition américaine, avec mise en place de visioconférences et de rendez-vous sur le sol américain deux fois par trimestre.

Une fois de retour, elle retourna vivre chez ses parents avec Emma, Aaren chez les siens. La mort dans l'âme et ne sachant plus quoi faire pour lui, il apparut que la meilleure solution était de le faire hospitaliser pour des examens et suivre par un psychiatre dans un premier temps. Son passé était peut-être en train de remonter à la surface. Toutes les excuses étaient bonnes pour la jeune femme de ne pas abandonner son amour qu'elle avait eu la chance de retrouver. Ils se voyaient beaucoup moins, mais toujours les week-ends. Parfois, tout se passait bien, d'autres fois, le jeune homme, assommé par des médicaments qu'on lui avait prescrit, ne réagissait même pas aux visites de sa femme et de sa fille.

Jusqu'à ce soir fatidique, il y a deux ans, où il s'introduisit chez les McGuire, en pleine nuit, alors que la mère et la fille étaient seules, les parents partis en voyage pour fêter leur anniversaire de mariage. Morrigan était descendue dans la cuisine pour se préparer un chocolat chaud quand un bruit de verre cassé se fit entendre. Comme Emma était parfois maladroite, elle se dit qu'elle s'était réveillée et avait fait tomber sa lampe de chevet. Elle ne s'en formalisa pas.

-Maman?! T'abuses! Tu pourrais faire moins de bruit ! Demain, je me lève tôt pour répéter la danse avec Jessica pour le gala dans deux semaines.

Emma avait débarqué en trombe de sa chambre, la tête enfarinée, les cheveux enrubannés comme ça lui arrivait parfois de le faire pour garder intactes les nattes qu'elle s'était faite le soir pour le lendemain. Et Morrigan s'était retournée, les poings sur les hanches pour donner plus de crédit à son rôle de mère :

-Je te signale que c'est toi qui a fait un boucan du diable en te levant et qu...

Mais la petite était retournée dans sa chambre avant qu'elle ait pu ajouter quoi que ce soit et la rousse s'était assise dans le canapé, en mettant le son de la télévision en sourdine pour respecter le repos de sa fille, abandonnant toute confrontation avec elle, dépassée par la soudaine insolence dont elle faisait preuve depuis quelques semaines. Crac... Un bruit de pas dans l'escalier. A coup-sûr, sa fille revenait pour un câlin et se faire pardonner...

-Je t'ai entendu, tu sais bien que la dernière planche...

Alors qu'elle s'était relevée et retournée pour la surprendre avec des chatouilles, elle se retrouva nez à nez avec Aaren, qui la fixait d'un regard qu'elle ne lui avait jamais connu. Par réflexe, elle se décala sur le côté, mais trop tard. Son poing s'écrasait sur sa joue, qu'elle se mordit dans sa chute. Elle poussa le gémissement d'un animal blessé et semblait voir trente-six chandelles quand elle se relevait.

-Emma n'est pas ma fille ! Tu m'as trompée avec Leroy!
-Je t'assure que non Aaren, je n'ai toujours aimé que toi, depuis le début...

Elle recula vers la cheminée, ressuyant le flux de sang qui s'échappait de ses lèvres, pour s'éloigner le plus possible de lui. Il se jeta sur elle, la projeta au sol :

-Menteuse, traînée, traîtresse!!!

Des hurlements se firent entendre derrière elle, alors qu'elle se débattait, en essayant tant bien que mal de desserrer les mains d'Aaren d'autour de son cou. L'homme, surpris de trouver Emma dans la pièce fut distrait assez longtemps pour que Morrigan s'empare du tisonnier, du bout des doigts, et l'abatte une première fois sur visage alors qu'il était à demi-redressé. Sonné, il remua la tête, mais tenta de reprendre où il s'en était arrêté. Un hoquet l'arrêta dans son élan, alors que le tisonnier s'enfonçait dans son cœur, tandis qu'il s'écroulait sur la jeune femme, agonisant et crachant du sang.

Elle le dégagea sans pitié, l'adrénaline et la haine prenant le dessus sur sa peur et arracha le téléphone des mains d'Emma, qui tremblait de tout son corps en balbutiant en boucle qu'elle voulait parler à un agent de police. Toute retournée, elle expliquait brièvement ce qui venait de se produire à la standardiste au téléphone, et une ambulance et les forces de police furent dépêchées au domicile de McGuire.

Quand ils arrivèrent, Aaren était bel et bien décédé. Il y eut une enquête, des examens médicaux, des séances avec des psychologues, et un procès où on reconnût la jeune femme coupable du meurtre sans préméditation et avec légitime défense, mais pendant lequel le jury et le juge, face aux preuves et expertises muèrent la courte peine d'emprisonnement qu'aurait dû effectuer Morrigan en travaux d’intérêts généraux à effectuer pour une période de deux ans.

Étant donné la situation, le contrat avec sa maison d’édition américaine fut rompu, mais avec toute la mauvaise presse que cela avait fait engendré, Morrigan avait malgré elle fait parlé d'elle pour ses talents d'illustratrice. Un ami d'enfance se porta garant pour elle auprès de quelques employeurs, le combat fut assez difficile, mais en deux ans et avec beaucoup de travail acharné, en plus de ses heures de travaux d'intérêts généraux, elle réussi à percer petit à petit dans le milieu et à gagner la confiance des gens, parlant sans honte de ce passé qui la hantait... D'ailleurs, bien qu'elle n'ait plus vécu chez ses parents depuis le drame, ils lui ont raconté à diverses reprises croire entendre des drôles de bruits dans la maison, comme si une présence occupait ces lieux dans lesquels elle n'a jamais plus voulu remettre les pieds...

Aujourd'hui, elle vit depuis un an avec Emma dans leur propre appartement depuis lequel elle travaille à ses projets d'illustration pour livres d'enfants, qui connaissent leur petit succès. Tout n'est pour autant pas rose tous les jours, et Morrigan, plongée corps et âme dans son travail n'est plus ce qu'elle était. Avec la mort d'Aaren, c'était comme si on lui avait volé un morceau d'elle-même et cela se ressent dans sa vie privée. Et même si elle ne l'exprime pas, même Emma s'en rend compte, du haut de ses 15 ans et joue parfois le rôle de mère à la place de la sienne, lui faisant la morale concernant sur ses conquêtes d'une nuit qui déambulent tous les trois matins en caleçon dans leur salon.

prénom(s) et/ou pseudo Momoâge 36. fréquence de connexion ça dépend des périodes où as tu découvert le forum? Je ne me souviens plus XD ton opinion sur le forum, design, codage Je suis plus fan du clair mais il en faut pour tous les goûts. Et puis on alterne assez régulièrement ici pour que ça ne soit pas dérangeant. inventé ou scénario? Inventé demander un rp d'intégration? nope  autre choses?   lien obligatoire à fournir pour le répertoire

Code:

<libre>Une nuit, puis plus rien? (Humain H) +</libre> La nuit a été formidable, au point où Morrigan qui chasse d'habitude les hommes de son lit quand ce n'est pas eux qui fuient en catimini, envisageait presque de te faire rester un peu plus longtemps à la maison ou de te revoir plus tard. Le problème, c'est qu'anéanti par la honte, toi, tu t'en vas, sans lui laisser d' autre explication qu'un vague « j'ai commis une erreur fatale ». Elle ne le sait pas, et elle ne le savait pas quand elle t'a draguée ce soir-là, que tu étais père. Non pas père de famille, mais un prêtre catholique jeune et tout fraîchement ordonné. Que tu lui as fait rompre ses vœux et qu'il doit vivre avec son secret et sa culpabilité à jamais ou renoncer à son rôle. Si jusqu'ici, il avait toujours réussi à s'arranger avec la réalité et ce petit mensonge, te revoir dans son Eglise, alors que tu n'y as plus jamais mis les pieds depuis bien longtemps, lui fait quelque chose dans la tête et dans le pantalon et il te voit comme une succube qui pourrait le faire basculer à tout moment. Il t'adore autant qu'il te craint.