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 Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness

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Skye Kinkaid
« I find comfort in the sound and the shape of the heart, how it echoes through the chest »


Mes parents m'ont appelé Skye Kinkaid ! Je suis né le 26 septembre 1990 à Crone, Irlande. Je suis un élément de 25 ans. Pour plus de précision, je suis hétérosexuelle et présentement célibataire. Je suis fier de dire que je travaille en tant qu' ex-soldate, armée irlandaise , ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt pauvre On me dit souvent que je ressemble à Ebba Zingmark, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe Terre, et plus précisément je suis métamorphe renard polaire.

Les petits détails

Deux petits tattoos, l'un au creux de son poignet gauche; des montagnes, l'autre au creux de son poignets droit ; believe. ◊ De multiples cicatrices, petites, grandes, béantes. Elle parcourent sont corps, tant et aussi bien qu'elle ne ressent plus la douleur. ◊ Elle se spécialise dans le lancer au couteau, en ayant plusieurs sangler sur son corps, caché. ◊  Elle aimes les petits plaisir de la vie, c'est ce qui la garde saine d'esprit. ◊ Elle se transforme souvent, le plus souvent possible, son renard lui est synonyme de liberté. ◊  Longtemps privé de la nature, elle se plait loin de gens, loin de tout, près des montagnes et des arbres. ◊ Elle adore cuisiner, c'est son petit plaisir secret. ◊ Très petite, elle semble très inoffensive, vulnérable, mais elle excelle dans l'art de tuer tranquillement, elle as plus de douze années de formation derrière elle. ◊ Elle est très curieuse, elle aime fouiner, découvrir, fureter. ◊  Même si elle as de la difficulté à s'intégré dans la population, elle fait tout de même de gros effort pour que cela ne paraissent pas.
caractère

La pluie qui tombe, les montagnes, la chaleur du soleil sur ma peau, l'odeur de l'hiver, le chant de la pluie, le grondement de l'orage, la brûlure du froid après la course, les nuits avec tant d'étoile que tu t'y perd, le doux mystère de la brume, le sable qui s'infiltre entre mes orteils, le craquement du feu. Détails dans le brouillard de ta vie, tous importants. Rendant l'impossible vivable et la paix de ton âme possible. La menace de la noirceur, seule, l'odeur de la mort, tant de haine, tant de peur, cette frustration que tu ne contrôle plus, la complexité de l'âme, cette peur qui te dévore peu à peu. Tu aimerais bien tout déchirer, crier, pleurer. Mais, tu ne peux pas être faible. Tu ne peux pas montrer ces faiblesses. Être solitaire, non par choix, mais par la tournure de sa vie. Être de colère, de haine. Être brisé. Survivante. Un sourire rare mais étincelant. Être loyal, jusqu'à ce que cette loyauté soit écrasé, brutalisé, meurtri. Possessive.  

on ne change pas le passé

Le silence des hurlements. Musique agressante mais si vite oubliez. Un instant, cela ne semble qu’inévitable, mais celui d’après, vous ne l’entendez plus. Pourtant, au loin, les cris résonnent encore et encore, et encore, jusqu’à ce que ce deviennent  un échos perpétuels dans le tempo de votre cœur. Celui-ci manque un battement alors que tout ce que vous pouvez entendre est le bruit blanc du silence. Tout à commencer dans ces hurlements. Une vie pour une autre. L’homme qui a essayé de m’élever ne m’a jamais pardonné ce cruel destin du sort. Il en est mort quelques années plus tard, neuf plus exactement. La musique ne le quittais plus, la seule manière de l’éteindre était de boire, boire, boire jusqu’à n’être plus capable de mettre le pied devant, jusqu’à l’entendre rire du fond de la maison, jusqu’à la voir dans les ombres des rideaux, jusqu’à dormir. Mais dormir n’était pas mieux. Et les cris n’étais alors plus que dans sa tête, je me cachais sous mes couvertes, les oreillers sur les tympans, pour couper la souffrance, pour arrêtez la mort. Je voulais ne pas être née. Je voulais revenir dans le temps pour que l’on ne m’ait jamais conçu. Il n’a jamais été capable d’aimer la fille qui lui a volé la femme de sa vie. J’étais un déchet, pas mieux qu’une ombre

‘’Fille ! Qu’as tu encore fait ?!’’

Du haut de mes trois pommes, je m’empresse de venir à la rencontre de l’homme qui m’as créez. Dans ma précipitation, je trébuche sur un objet incongru et tombe tête première dans le sac de farine qui se prélassais dans un coin, bien tranquille. Une ligne d’une rouge sombre s’étire sur mon bras, fruit de la tête de clou qui dépasse du plancher à quelque centimètre de ma tête. Je me relève, tachant de caché ma blessure avec la robe trop courte et tachée qui me sert de vêtement. Des larmes essaient de percer mes paupières, la douleur est douloureuse, mais pleurer ne sert à rien, être faible ne sert à rien. Je rejoint mon créateur, qui sans même me regardé, hurlant de sa pestilente odeur, comme quoi je suis une fille ingrate qui n’est bonne à rien d’autre qu’à paresser dans le foin sale. Son regard vitreux passe sur moi sans me voir, retourne sur sa bouteille et revient sur moi. Le corps blanc de farine, il est impossible de me cacher. La fureur envahit son regard colérique, je me cache, sous le parquet, les meubles, peu importe où mon regard se porte. Mais il n’est pas assez rapide, une main m’attrape par les cheveux, je cri, la douleur c’est toujours douloureux. Alors que ma tête se cogne contre le bureau, ma vision se brouille, se noircit, et puis vient le néant. Une douce paix m’envahit alors que mon monde disparaît. Ça ne durera pas. Ça ne dure jamais.

Je fuis souvent maintenant. Le hutte de bois qui nous sert d’abris contre les déchainements de la nature se situant au milieu de la forêt, il n’avais personne d’autre que les arbres, les animaux, les insectes. Pas d’humains, d’oracles, fées, ou d’autre métamorphes. Juste moi et le paternel. Juste nous et la colère. Je partais des heures, parfois des jours. Fuyant l’espace confiné, pénible des quatre murs. Nourris par les uns ou les autres. La nature était mon ami. Je n’aimais pas revenir. Mais mon paternel ne s’apercevait même plus de mes absences. Pleurant, une bouteille à la main. J’aurais pu avoir pitié de lui, mais la claque qui me faisait virevolté n’était jamais bien longue à arriver lorsque je m’approchais. Et puis c’était le déferlement et ne s’arrêtais seulement lorsque son bras n’en pouvais plus, son corps fourbu couché sur le plancher près de moi. Je ne m’approchais plus, il ne me frappait plus. Fin de l’histoire. Ce fût la veille du jour de mes neuf ans que je partis le plus longtemps. Ne voulant pas rentrer pour voir mon paternel dans une fureur noir comme tout ces anniversaire de mort, je fuya. Loin et longtemps. Me couchant dans la brousaille. Bientôt le froid envahit mes os, la nuit noire se chargeait de cauchemar, le silence des loups me fit frissonné et mon corps courbatu se replia sur lui-même. Le hurlement d’un animal enragé me réveilla pendant la nuit, mais la chaleur m’avais envahit, les os de mon corps ne grelotait plus et trois petits renard c’était glissé contre moi, me couvrant de leurs douce chaleur. Le sommeil m’emporta enfin et à l’aube il n’y avais plus de trace de mes trois compagnons.

Ce fût l’odeur qui m’assailli en premier. Pourriture, désespoir, décomposition. Elle me chatouilla les narines bien avant que j’apparaisse sur le seuil des quatre murs. La porte ouverte, ce n’était plus que douleur immense. La puanteur n’avait plus de semblable. Pourriture. Une forme se balançais, une silhouette dans le contre jour, une ombre sur un mur. Je ne pensais rien ressentir, je pensais être plus forte que la douleur, que la mort. Étrangement, je ne pus me retenir de m’effondrez sous les pleurs, les sanglots. J’étais réellement seule maintenant.

Et puis se fut le Je errais des jours durant. Les nuits devenaient des jours et des jours des semaines. Je ne m’étais jamais retrouvé aussi loin des quatre murs, je ne savais pas où allé, je ne savais même pas rien de ce monde. Je errais entre les arbres, perdant et retrouvant mon chemin, mais n’ayant nul but, je ne faisais que marcher. Mettre le pied devant, ne pas s’effondrer, manger , ici et là, des racines, petits fruits. Mon ventre grondait comme les géants au ciel qui faisait tomber le tonnerre.  La faim n’était plus faim, la soif n’était plus soif. Un état second. Des hallucinations, mon paternel qui apparaissait entre deux arbres, me criant de revenir, qu’il m’aimais, d’autre fois il balançais sa ceinture, disant que si je revenais pas il allais voir de quel bois il se chauffait. Je sentit mon corps changer, dans un état second, je ne compris pas, je ne savais même pas moi-même qui j’étais, qu’est que j’étais. Même si je me répétais en boucle dans ma petite tête qu’il ne fallait pas que je m’effondre, le sol est arrivé bien trop vite pour que j’empêche quoi que ce soit. J’ai vu la terre dans mon visage, le sable dans ma bouche, déshydratant une langue déjà sèche, des pattes blanches devant mes yeux.

La lumière perça l’ombre de mes paupière en premier, lumière blanche, aveuglante, douloureuse. Mon corps encore éreinté, mes lèvres toujours sèches, mon ventre encore vide. Mes paupières se referme devant cette lumière si peu accueillante. Mon bras se lève, non, les poignets sangler sur le lit empêche le mouvement. Aussitôt, mes yeux s’ouvre, s’agitent. Je sens les sangle de cuir autour de ma tête, mes poignets, mes chevilles. La pièce blanche, aseptisé, nu de tout meuble et décoration. J’y suis seule au centre, nu, sur cette table dont la froideur me gèle les os, la peau, l’âme. Je sens la panique se lever au fond de mon être, mais je ne cri pas, ne pleure pas.

Cette pièce trop lumineuse, semblais arrêtez dans le temps, rien ne bougeait, seul l’echo de mon coeur me parvenais. La porte ne sembla s’ouvrir que bien longtemps après mon réveil. Un homme la traversa, tout de blanc vêtu. Il ne me parla pas, ne dit rien. Fixer sur lui, je ne vit pas les autres arriver, mais je sentit l’aiguille entrer dans mon bras, pointu, mais la douleur avais vite disparu. D’aucun ne m’adressa la parole, ils travaillaient dans le silence. Et puis, je sentit le sommeil m’envahir, la tête lourde, les paupières se fermant tout seule.

‘’Au travail maintenant, son pouvoir n’aura bientôt plus de secret pour nous.’’

Je ne compris pas, mais le noir avait déjà envahit mon esprit.

Les cris résonnaient dans les salles sous-jacentes, percutais contre les murs de pierres, se faufilais dans les craques, se perdait dans la pièce. Mon corps semblait douloureux, mais la douleur n’étais plus qu’un vague souvenir dans mon esprit fracturé. Il me semblais que je n’étais plus, que mon être étais disparu depuis trop longtemps. Mon corps brisé et réparé de trop nombreuse fois. Ils n’avaient pas compris, n’avaient jamais compris que mon pouvoir n’étaient pas de ceux que l’on pouvait comprendre, qu’il venait de mon âme, autant que de ma génétique. Ils en avaient appris. Mais jamais assez, jamais suffisant. Enragé dans leurs incompréhension, ils avaient plutôt décidé de m’utilisé à leurs fin, une esclave entrainé à tuer, un assassin enchainé. Quoi de mieux qu’une enfant qu’ils pourront modeler à leurs goût et désir. Septs années étais passé depuis ce jour où la panique m’as prise à la gorge, sept longue années où mon corps as été assiégé par des êtres plus grand que moi, beaucoup plus grand que moi. Mais la rébellion grondais, se terrait, prenait de l’ampleur. Bientôt, murmura t’elle, bientôt. Et tout au fond, le renard gronda, en accord.

Ce fût bien longtemps après qu’elle frappa enfin. La confiance régnait depuis que j’avais commencé mes missions, quatre années auparavant. J’ai pris mon temps pour disparaître, ils m’ont cru morte, torturée. Ils ne m’ont jamais chercher. Je n’étais plus utile de toute manière maintenant que j’avais commise une erreur. Je ne pris pas la peine de me cacher, ceux qui connaissais mon visage ne sortait jamais au grand jour.

L’armée irlandaise me recruta. Je ne sais toujours pas si j’y suis allé pour me faire pardonner d’avoir tuer des innocents, parce que je ne connaissait que la violence ou parce que je ne savais pas vivre dans le monde, sûrement un peu des trois. Mais cette armée-ci n’as presque que des missions de maintien de la paix. C’était différent, quoique toujours dangereux, mais maintenant j’avais aussi une famille, ce que je n’avais jamais eu auparavant.

On m’as retrouvé. J’essaie de me fondre dans la foule, dans le monde. Et puis, cette ville, ce village où tout les autres se rassemble. On ne me trouveras pas alors que tant d’autre sont comme moi, différent, mais avec ce pouvoir dans les entrailles. Ici, ils ne me trouveront pas, ici je suis sauve. Ici, je peux enfin vivre.

Derrière l'écran

Bonjour, Bonjour,
Je me nomme Myriam, comme dans ramdam, lame et brame. J'ai soufflé vingt-deux bougies sur mon gâteau cette année et je viens de cet immense pays glacé rempli de reines et d'amérindiens. Je m'y promène sur mon traineau à chien, vêtu de ma ceinture fléché et de mon casque en peau de castor. Parfois, je trouve sur mon chemin, un refuge qui possède cet étrange machine qui s'appelle l'internet. C'est lent, ça fait beaucoup de bruit et étrangement personne ne peux parler au téléphone lorsque la machine fonctionne. J'utilise cet enfin depuis bientôt sept printemps et bizarrement lorsque j'écris, il y as toujours quelqu'un qui me répond. Pas très intime comme journal si vous voulez mon avis, mais bon. Voilà.  Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 61255853
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Sayanel Z. Pritchard
Sayanel Z. Pritchard
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Ah bah tiens, je pensais avoir une leprechaun, je me suis gourré Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2210271934
Bienvenue à toi, c'est un super choix d'avatar Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2571641524 N'hésite pas si tu as la moindre question Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 508348443
Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte d'en savoir plus Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2981188539
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Bienvenue parmi nous ma belle et bon courage pour ta fiche. Choix de personnage intéressant, hâte d'en savoir plus Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2571641524
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Castiel Ó Murchú a écrit:
Ah bah tiens, je pensais avoir une leprechaun, je me suis gourré Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2210271934

Idem Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2210271934
En tout cas Ebba est juste magnifique Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2981188539 Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 3764945929 Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 3371952157
Bienvenue et bon courage pour ta fiche Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 3764945929
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Une metaaaaaa bienvenue jolie renard o/ pressé de lire ta fiche o/
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Bwahahaha les roux qui ne sont pas leprechaum vont dominer le monde Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 394206527 bon eux avec nous hein :p parce que #team roux Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2981188539

Bref Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2210271934 Bienvenue parmi nous Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2571641524 et bon courage pour ta fiche Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2571641524
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Héhé! Merci à tous ! Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 3764945929

Eh non, pas un leprechaun, malgré que nous les roux, on va quand même dominer le monde. Tsé, vu qu'on as pas d'âme.

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Bienvenue à toi Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2571641524
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Le petit mot du staff

J'ai trouvé ta plume super intéressante Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2571641524 Ton histoire, autant qu'elle est triste, est très bien écrite, et je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'elle n'a pas eu beaucoup de chance ta demoiselle, entre son père et son enlèvement ! Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 1654811518
Par contre, j'ai remarqué pas mal de confusions au niveau des accords, fais attention pour tes rp, ce sont souvent des fautes d'inattention mais il y en a un bon nombre dans ton histoire du coup je préfère te prévenir Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 508348443

Les liens utiles !

Tu vas maintenant pouvoir aller recenser ton avatar . Une fois cela fait, tu seras libre de créer ta fiche de liens ainsi que de te trouver un logement ou même de demander un joli rang ! .nEt enfin pour finir, tu peux créer ton ou tes scénarios en cliquant ici ! Si tu as toutefois envie de rp tout de suite, voici un sujet de demandes de rp, tout beau tout propre ! Une dernière chose et puis ce sera bon, pour récolter ton argent et te procurer les dernières nouveautés IG (et sur le forum, sait-on jamais), je te propose de te rendre au marché de Bray. N'hésite pas à voter pour le top site, ni à poster un joli message sur PRD pour nous faire connaître . Bon jeu sur UL !!!!
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Merci beaucoup :)
Je vais faire attention, mais j'avoue que la grammaire est ma bête noire Skye Kinkaid ◊ Our minds are troubled by the emptiness 2736434973
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