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 Eileen Callaghan ۞ Come and get your love

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Eileen Callaghan



nom | Callaghan
prenom | Eileen Moira Elizabeth
âge | 25ans
race | Métamorphe
lieu et date de naissance | Le 25 Mai 1993 à Glasgow
orientation sexuelle | Hétéro mais bon, on n'est jamais sûr de rien dans ce monde.
statut marital | Célibataire
metier/etudes | Proprio du Coffee Shop
situation financiere | Ni riche ni pauvre.
organisation | Aucune
ft | Taylor Swift (c)unicorn




détails et anecdotes


D'aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours eu peur du noir. Je sais, ça peut paraître bête dit comme ça -surtout pour une chouette- quand je suis plongée dans l'obscurité totale, je vais me mettre à penser à des choses surnaturelles angoissantes, ou peut-être même à des choses sanglantes, voire à des monstres imaginaires. C'est plus fort que moi, j'aurais beau être la plus rationnelle possible mais non, je ne peux pas et ça ne s'est pas arrangé depuis que j'habite dans cette vieille maison. Ah, et est-ce que j’ai dit que j’avais horreur des fantômes et des maisons hantées ? + Véritable tête en l'air, je perds toujours mes affaires dans la maison ; ce fameux portable que je tenais pourtant en main quelques minutes auparavant, les clefs de la maison, le portefeuille, etc... Après, est-ce parce que je suis une personne désorganisée -pour ne pas dire bordélique- de nature ? Peut-être. Le mystère reste entier. + Sportive ? Non pas vraiment. Enfin, si, juste un peu de boxe. C’est une vieille histoire: adolescente, j’avais des pulsions violentes. Pour m’aider, mes grands-parents se sont alors dit que ce serait bien pour moi de me faire faire un peu de boxe pour à la fois pour me défouler et pour booster ma confiance en soi. Merci papi et mamie ! Comme défouloir, c’était génial ; pour rendre les coups au lycée également. Je n’ai jamais arrêté depuis et je m’y rends toujours au moins une fois dans la semaine, histoire d’entretenir un minimum la machine. + Tiens, tant qu’on y est, reparlons de cette histoire de confiance en soi que j’essaye de cultiver. Si vous passez chez moi un de ces jours, y’a de bonnes chances que vous tombiez sur un de ces livres sur le développement personnel. Je me suis même mise à la méditation et au yoga dans ce but, mais je ne suis pas très assidue – bien qu’il m’arrive d’assister à un cours au moins une fois toutes les nouvelles lunes. La flemme ? L’oubli ? Un peu des deux très certainement même si ça n’excuse en rien mon manque de régularité. Donc, je mise plus sur la boxe et le travail. Enfin, y’a toujours quelques jours sans. Il est si facile de parfois se sentir comme la dernière des merdes. + La famille ? Eh bien, mes grands-parents sont toujours vivants, et bien vivants même puisqu’ils sont partis faire un long voyage. Ils m’appellent souvent pour avoir des nouvelles du café, du voisinage, de la ville, de moi. Honnêtement, j’ignore ce que je serais devenue sans eux. Aux dernières nouvelles, mon père poursuit ses séjours au centre de désintoxication. C’est déjà pas mal vous me direz, ce serait quand même mieux s’il ne replongeait pas à chaque fois. Si nous nous sommes revus ? Brièvement. Le voir, surtout dans cet état, ne laisse jamais indifférente et j’aurais beau dire le contraire, mais je reste tout de même attachée à lui. Même après les disputes, même après les coups, malgré cet époque… Allez comprendre. Mon et ma tante des Highlands m’appellen aussi de temps en temps afin de prendre quelques nouvelles. Ah, et j’ai à priori des demi-frères et sœurs outre Atlantique du côté de ma génitrice - autant vous dire que ça me fait une belle jambe ! Sa vie est refaite et alors ?! Je lui souhaite beaucoup de bonheur. + D’ailleurs, vu que mes grands-parents sont partis faire leur petit tour du monde, je gère le coffee shop. Rien de bien compliqué pour moi -hormis un peu la partie gestion que j’ai dû apprendre sur le tas- vu que j’y ai passé la moitié de mon adolescence à bosser là-bas.+ Je ne ressens aucune honte envers ma condition de métamorphe. Attendez ! J’ai une super ouïe, une super vision, ma tête à 270° avec le vol silencieux en prime. Si ça ce n’est pas génial ? En revanche, il m’est déjà arrivé de manger des rats -vous savez, l’instinct, etc…- et on va dire que ce n’est pas très ragoutant. Entre ça et les pelotes de réjection... Bref! Il arrive parfois que ces dernières m’échappent malgré les astuces et autres techniques pour les contenir.+ A la maison, j’ai toute une collection de consoles et de comics. Même si je me suis bien calmée depuis ma folle adolescence, je craque de temps en temps pour acheter quelques petits goodies, des jeux ou des tee-shirts. Je joue en ligne assez régulièrement aussi. + Mamie tenait absolument à ce que j’apprenne le gaélique, du coup, je le parle assez bien. Comme je tombe rarement sur des gens qui le parlent… voilà. +On peut dire que je suis quelqu’un d’assez souriant. En même temps, c’est une qualité essentielle quand on a un métier en contact avec les clients, n’est-ce pas ? Pour le reste, ça dépendra de l’humeur du jour et en général, c’est assez facile à capter. Je suis plutôt assez émotive voyez-vous, sauf en ce qui concerne la partie larmes etc… ça, je préfère le garder pour moi. Pleurer face à quelqu’un ? Plutôt m’enfermer dans les toilettes à double tour.+ J’ai profondément horreur des disputes et ce, même si j’en suis l’investigatrice. + J’ai une certaine affinité avec les animaux, pas avec les enfants. Je ne sais pas, ils me rendent assez mal à l’aise. Surtout en bas-âge ! Ils ont parfois tendance à me fixer de leurs grands yeux, c’est flippant avouez ! Enfin, tant qu’ils ne gueulent pas trop fort à côté de moi, qu’ils ne foutent pas de la nourriture partout et qu’ils ne me mordent pas, ça va. Oui, un gamin de 3ans m’a mordu une fois, depuis je me méfie. Je pense que plus que les enfants, c’est l’idée même d’en avoir qui me déplaît ; dès que des vieux me demandent « alors, tu t’y mets quand ? », ça me hérisse les poils. L’instinct maternel ? Très peu pour moi. + Gourmande ? Non… du tout. J’ai même en horreur les gâteau et autres sucreries. Quoi ? Comment ça j’ai un morceau de gâteau au chocolat dans la main ? Bon ok je l’admets : j’adore les pâtisseries et tout ce qui est au chocolat noir en particulier. De là à confectionner quelques douceurs à la maison, il n’y a qu’un pas que je franchis régulièrement. + J’adore les orages. Il n’y a rien de meilleur que d’entendre la pluie battre le pavé lorsqu’on est bien emmitouflé sous les couvertures. Quand bien même je me retrouve à y faire face, peu importe la raison, ça ne me dérange pas plus que ça. + Je suis malheureusement très maladroite. On ne compte plus les cadavres et les débris d’assiettes qui un jour, hélas, croisèrent ma route. Du coup, je dois régulièrement renouveler ma vaisselle et une lampe de temps en temps. + Niveau danse, je ne suis pas vraiment très au point. Comment résumer la chose ? On va dire que danser avec moi revient globalement à danser avec un balai. Sérieusement, même un bâton serait plus souple.+ Habituellement, je n’ai pas besoin de mentionner ma nationalité, mon accent le fait très bien pour moi.

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Ta phrase juste à toi Il est des choses dans la vie qu'on peut facilement expliquer et d'autres non ; le mariage de mes parents fait partie de cette deuxième catégorie. Il s’agit d’une de ces histoires ordinaires de Glasgow : elle, jeune femme rêvant d'explorer le monde et lui, jeune ouvrier dans la force de l'âge et néanmoins un incorrigible casanier. Non. Tout simplement non. Même après de nombreuses années à me poser la question, je n'ai jamais compris comment ces deux-là ont pu finir ensemble, pire encore : comment ont-ils pu avoir un gosse ! Moi en l’occurrence. On a eu beau m'expliquer qu'il s'agissait d'un coup de foudre de lycée, que l'amour ne se commande pas et tutti quanti. J'ai toujours eu du mal à le comprendre.
Mais bon, si l'amour a ses raisons que la raison ignore, le temps, lui, finit toujours par faire son œuvre et il ne tarda pas à mettre en relief les différents caractères ; on en vient inévitablement au cas typique du couple incompatible qui ne peut plus se voir en peinture. Tout est parti d'un voyage en Amérique Latine en 1999, loin de la maussade Ecosse. Une véritable révélation ! Barbara, ma mère, après des mois de négociations, était enfin parvenue à convaincre mon père d'effectuer ce voyage romantique dont elle rêvait tant. Pendant ce temps-là, j’étais chez mon oncle Ian et de ma tante Nora dans le frimas des Highlands pendant que les parents, eux, se réchauffaient les miches au Mexique. Hélas, lorsqu'ils sont revenus me chercher, leur relation avait plus qu'empiré. Le couple se scinda dès leur arrivée et l’atmosphère joviale d’alors se glaça immédiatement. Les hommes se retrouvèrent dans le salon autour d’une bière et leurs femmes dans la cuisine autour d’une chopine. Moi, en fillette curieuse, je m'installai auprès de ces dernières pour écouter le récit du voyage même si à cet âge-là, beaucoup de détails m’échappaient. Il n'avait fallu guère plus de cinq minutes avant d'entendre les premiers commentaires réprobateurs. J'entends encore ma mère répéter à ma tante que Gordon -notre père- était décidément impossible. C'est ainsi que j'ai appris le manque d'enthousiasme de ce dernier tout au long du voyage, peu enclin à effectuer le moindre déplacement et qu'il était, en revanche, prompt à la critique de tout et n'importe quoi : l'eau trop chère, la température trop chaude, manque d'anglophones, etc. Tout était prétexte à la complainte. Elle racontait également qu'il aurait plus volontiers passé l’intégralité de son séjour à l’hôtel qu'à visiter des monuments ; que d'ailleurs, son manque de réaction face aux pyramides légendaires l'avait profondément agacée et qu’enfin, il l'avait insupporté au plus haut point si bien qu'elle fut soulagée de rentrer. J’écoutais attentivement, en bonne petite curieuse, sans vraiment en comprendre les enjeux.
Ce voyage ne fut pas qu'une perte de temps ; il permit à maman de se rendre compte de deux choses : qu’elle ne l’aimait plus et qu’elle étouffait. Bref, elle ne pouvait plus continuer comme ça.
Ainsi, au terme d’un nombre incalculables de disputes, on assista sans surprise au divorce de mes parents l'année suivante. Barbara Fitzgerald était de nouveau libre de ses mouvements ! Adieu Glasgow et bonjour les Etats-Unis ! Adieu vie morose ! Naturellement, je ne faisais pas partie de ses projets de femme libérée. Je suis restée donc auprès de mon père, dans cette vieille maison de Glasgow.  

Avant cela, ma famille était des plus normales : un homme, une femme, leur petite blonde au milieu. Quoi de plus banal ? Le divorce aussi fut d’une banalité sans nom, pourtant, il suffit pour changer nos vies à jamais. Quel âge j’avais déjà ? Oh, je devais avoir dans les 7ans à l’époque, soit suffisamment pour que ma mère me manque cruellement mais pas assez pour que les souvenirs d’elle persistent vraiment -quelques bribes au plus. Que ce soit le son de sa voix, son visage ou son parfum, tout a disparu. Quant à mon père, il sombra petit à petit dans la dépression et dans l’alcool. De façon subtile dans les premières années, puis de plus en plus au fil du temps, en commençant par ne jamais finir aller au lit sans finir un pack jusqu’au point de passer des soirées entières au pub. Et moi dans tout ça ? Eh bien, je faisais avec. Que faire d’autre sinon ? Je menais simplement ma petite vie de gamine tout à fait ordinaire, empreinte de ce ton maussade commun aux enfants d’alcooliques – une condition loin d’être rare là-bas, à Glasgow. Bon, à m’entendre on dirait que mon enfance fut une traversée du désert mais ce n’était pas si terrible que ça. Certes, on a vu mieux comme environnement pour élever un enfant, cependant, papa restait le meilleur à mes yeux. Peut-être pardonne-t-on plus facilement quand on est gamin ? Peut-être voit-on les choses différemment ? Après tout, il me faisait rire; sa cuisine simplissime au possible n’était pas si mauvaise que ça bien qu’il eut fallut souvent faire face à un arrière goût légèrement brûlé ; il essayait même de m’aider pour les devoirs et me réconfortait quand je me battais à l’école. Mais surtout il était présent, pas comme elle. Quand j’étais gosse, je tenais des propos assez durs envers ma mère – propos qui finirent par s’adoucir légèrement avec le temps.

Les disputes avec mon père étaient assez fréquentes pour des sujets divers, mais surtout au sujet de son rapport de plus en plus problématique avec la boisson. D’habitude, leurs intensités variaient mais l’une d’entre elles fut particulièrement violente à la suite d’une déconvenue de taille : il avait réussi à se faire virer après 30ans de service, ce qui l'avait laissé « légèrement » amer.
J’essayais de le calmer sans trop hausser le ton, histoire d’éviter de le froisser davantage. Une bien mauvaise idée si vous voulez mon avis, car j'obtins bien une réaction, mais pas celle que j’espérais, disons plutôt celle que j’appréhendais. J'ignore toujours ce qu'il lui est passé par la tête à ce moment-là, si la bière dans son sang avait soudainement bouilli ou s'il avait mal interprété mes paroles, toujours est-il qu'il s'est mis à s’acharner sur moi pour la première fois depuis longtemps. Moi, Eileen Moira Elizabeth Callaghan, j'étais désormais coupable de tous ses maux ! Quel père charmant, vraiment. Évidemment que je l'écoutais déblatérer ses conneries les larmes aux yeux. Evidemment, il avait noyé son chagrin dans l’alcool juste avant de rentrer, et ça se sentait à des kilomètres à la ronde. Le ton montait et montait, toujours plus haut, toujours plus loin au point d’atteindre le point de non-retour, ce fameux point où l’on réalise que plus rien ne sera vraiment comme avant. Premier soubresaut dans ma poitrine, ce n’était néanmoins pas suffisant pour me démonter. Dans son excès de rage, il finit par me plaquer contre le mur, bras contre glotte. Cherchant désespérément à me débattre, je sens à nouveau cette petite pique au cœur suivie d’une vive douleur dans tout le corps telle une brûlure. Je veux crier, hurler à pleins poumons pour n’entendre que ma voix étouffée par son bras d’ivrogne. Je respire à peine ; ma vue devient floue ; ma tête tourne ; mon cœur bat à tout rompre ; je ne comprends rien ; son bras lâche enfin et je me retrouve au sol.
Puis tout s’arrête dans un silence de plomb. L’esprit encore groggy, je respire enfin. J’essaye de me redresser dans un tas de vêtements. Un tas de vêtements ? Je ne réalise pas immédiatement ma nouvelle condition, quelques longues secondes furent nécessaires pour pleinement comprendre ce qu’il m’arrivait. Ce fut également le temps nécessaire pour admirer l’incroyable évolution des couleurs sur le visage de mon père : de rouge il devint blême, de blême il devint aussi écarlate que fou de rage. Je tentais maladroitement de me sortir de ce guêpier, parvenant à atteindre la fenêtre pour m’écraser aussitôt une fois sortie.
C’était une de ces soirées nuageuses de novembre 2006 et je me retrouvai dehors, seule, dans la stupéfaction la plus totale. Nan mais j’avais des ailes…. Des ailes bordel ! Et des plumes ! Et des serres ! Etc… Enfin bref, j’étais un piaf ! Un vrai piaf ! Je voletais au ras du sol, errant dans les rues sans trop savoir quoi faire.

Telle Cendrillon qui rentre chez elle aux douze coups de minuit, je parvins à me faufiler par la cuisine, nue comme un ver et le corps endolori. Le vieux était endormi sur le canapé du salon, autant dire que j’ai regagné ma chambre dans la discrétion la plus totale. Vous devinez bien qu’après cet incident, rien n’était plus pareil. Quoiqu’il ne semblait pas vraiment s’en souvenir – sauf de la partie métamorphe, bizarrement, allez comprendre- il fallut montrer mes bleus pour qu’il réalise, non sans horreur, ce qu’il s’était passé. Honteux, il me supplia les larmes aux yeux, de lui pardonner son comportement et que jamais il ne frapperait de nouveaux. Je l’ai cru. Hélas, de cet incident on en fit une récurrence et toujours avec le même discours, la même promesse, le même cercle vicieux. Quand il était sobre, il semblait inquiet quant à ma nature de métamorphe me disant que ce genre de chose le dépassait et que je devais faire très attention. Quand il était saoul en revanche, il me rabaissait, me disait que j’étais un « monstre comme ta mère » entre deux coups. Finalement, il n’eut bientôt plus le « monstre » sous sa garde, la loi ayant décidé autrement. Cette même loi qui finit par m’expédier à Bray deux ans plus tard, après une crise particulièrement violente comprenant une rébellion et un petit séjour à l’hôpital.

Bray, petite ville dont j’ignorais tout. Bray, dans laquelle j’allais désormais vivre avec de quasi inconnus : mes grands-parents maternels. Je n’avais eu l’occasion de les voir qu’une seule fois quand j’étais petite. Après le divorce, ce n’était pas mieux et mon père refusait de m’y envoyer. C’est par ce matin de Mars 2008, je découvris le visage de mes ascendants : deux personnes avec la soixantaine bien tassée et une sorte de bonhomie imprimée sur leurs visages. Ils avaient l’air radieux de me voir malgré ma gueule de déterrée. Les pauvres! Ils ont dû supporter ma crise d’adolescence, mes manières de rustres, mes bagarres à l’école pour un mot de travers et m’aider avec mes métamorphoses. Je ne pouvais espérer meilleurs professeurs qu’eux qui passèrent jadis par là. Doucement, ils me firent entrer dans leur paisible routine entre la maison, le lycée et le coffee shop. C’était leur commerce, le lieu de nombreux souvenirs, de rencontres et de vie. Je m’y rendais après les cours, j’y travaillais parfois sur mon temps libre afin de gagner mon argent de poche.
Une fois le lycée terminé, eh bien, il n’y a pas grand-chose à raconter. Petite année sabbatique dans les petits boulots pour économiser puis, études à Londres pour des études en marketing. On m’avait bien dit que les infrastructures de Bray étaient sympas mais j’avais envie d’ailleurs. Licence en poche, un job et hop ! Tout se passait plutôt bien, du moins, jusqu’au licenciement économique. J’ignore s’il s’agit d’une généralité mais dans le cas de notre entreprise, les derniers arrivés furent les premiers sortis. Quelques temps de disette, quelques petits jobs pour dépanner, dépression, retour au bercail– et tout ça en l’espace de quelques années seulement.

C’est dans ces conditions que mes grands-parents me transmirent leur établissement l’année dernière. Une fois l’acte signé et officialisé, je me suis retrouvée là, à tenter de gérer le coffee shop du mieux possible tandis que mes grands-parents décidèrent de partir faire un long tour du monde. Un vieux rêve à réaliser avant qu’il ne soit trop tard me dirent-ils.

Enfin bref, si jamais vous passez dans le quartier, venez me voir! On pourra discuter tranquillement autour d’une bonne tasse accompagnée d’un cookie.


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Coucou à toi **
Je viens pour te proposer un petit lien avec mon @Cillian Craig, qui est policier mais surtout (comme ton personnage !) fait de la boxe entre autre dans ses sports. J'aimerais bien qu'ils se croisent à la salle (je crois comprendre qu'elle y va au moins un peu ?) et que quelque chose découle de ça ** (D'ailleurs si ça peut te rassurer, Cillian est aussi nul d'Eileen pour la danse Eileen Callaghan ۞ Come and get your love  2210271934 Il sait remuer des hanches et pense sincèrement que ça suffit PTDR)

Pour te décrire un peu mon perso, c'est un inspecteur à la criminelle, qui a des petits soucis pour gérer sa frustration (disons qu'il peut gueuler pour un rien Eileen Callaghan ۞ Come and get your love  2210271934 ), il est veuf depuis une dizaine d'année, et depuis, il essaye de se plonger dans des relations mais ça dure vraiment jamais, il flippe dès qu'y'a un semblant de début de truc Eileen Callaghan ۞ Come and get your love  3665663622 A côté de ça, il a pas vraiment de potes, sinon son binôme, il passe vraiment son temps à bosser, et le reste du temps, c'est le casse-couille healthy qui mange bio, ULTRA SAIN, sportif peut être à l'extrême, ce genre de chose ! Comment Eileen pourrait le percevoir ? **
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