we talked about making it, i'm sorry that u never made it. (rory)

Nom McCormick. D'où vient-il? Qui est-il? Tout est résumé dans son nom. Irlandais, jeune avocat en hausse dans sa ville actuelle, et frère des deux autres McCormick dont l'un qui ne cesse de créer la zizanie dans cette petite bourgade où ils sont domiciliés.prenom Rory. Un prénom court, facile à retenir, ni trop ancien, ni trop récent. Il n'a vraiment pas à se plaindre de ce côté-là. Il l'aime bien son prénom. âge 32 ans. C'est l'âge où on se marie? Ou on commence à voir des enfants, où on construit sa petite maison à la compagne avec sa concubine parce qu'elle a besoin d'air fraîs. En soit, Rory n'a rien de tout ça. Non, lui la seule chose qu'il a c'est son boulot. Les soirées dans les bars accompagné de son partenaire de crime. Et le lien fraternel qui l'unit à deux entités portant le même nom que lui.  lieu et date de naissance ici orientation sexuelle Il s'est toujours posé la question. Est-il totalement gay? Est-il bisexuel? Lui-même ne le sait pas, et à vrai dire le peu de relations amoureuses dont il s'est préoccupé jusque là ne peuvent l'aider.  statut marital Disons simplement qu'il ne s'intéresse que très peu à sa vie amoureuse. Son métier, ainsi que les connaissances qu'il a et ses frères prennent énormément de place dans sa petite vie. metier/etudes Il aide les plus démunis,
les moins chanceux, les moins intelligents, il est avocat. Avocat du diable un jour, avocat d'une cause perdue l'autre.situation financiere Il est dans la morne, ni trop riche, ni trop pauvre. Certaines fins de mois semblent plus difficiles que d'autres.organisation ? ici [/i] Rory P. McCormick ft Brendon Urie (c)unicorn

Je suis un être humain. J'ai mes manies, j'ai mes tics, j'ai mes tocs. Je suis quelqu'un. Avec des passions et des rêves, des coups de cœur et des coups de gueule, des envies et des peurs. Certains aiment marcher au clair de lune, d'autre courir sous le soleil, nager dans l'océan ou grimper aux arbres. D'autres ne boivent que du café, dégustent des plats gastronomiques qui coûtent plus cher que la voiture de leurs rêves, crachent sur le Nutella, ne jurent que par les sushis, rêvent de camembert la nuit. Il y a ceux qui t'accueillent à bras ouverts, ceux qui te jugent dès les premiers instants, ceux qui préfèrent éviter les foules et ceux qu'une multitude de gens ne parvient à satisfaire. Moi ? Je suis un peu tout ça, et rien à la fois. Je suis un être humain. J'ai mes manies, j'ai mes tics, j'ai mes tocs. Je suis quelqu'un. Avec des passions et des rêves, des coups de cœur et des coups de gueule, des envies et des peurs. Certains aiment marcher au clair de lune, d'autre courir sous le soleil, nager dans l'océan ou grimper aux arbres. D'autres ne boivent que du café, dégustent des plats gastronomiques qui coûtent plus cher que la voiture de ses rêves, crachent sur le Nutella, ne jurent que par les sushis, rêvent de camembert la nuit. Il y a ceux qui t'accueillent à bras ouverts, ceux qui te jugent dès les premiers instants, ceux qui préfèrent éviter les foules et ceux qu'une multitude de gens ne parvient à satisfaire. Moi? Je suis un peu tout ça, et rien à la fois. Je suis un être humain. J'ai mes manies, j'ai mes tics, j'ai mes tocs. Je suis quelqu'un. Avec des passions et des rêves, des coups de cœur et des coups de gueule, des envies et des peurs. Certains aiment marcher au clair de lune, d'autre courir sous le soleil, nager dans l'océan ou grimper aux arbres. D'autres ne boivent que du café, dégustent des plats gastronomiques qui coûtent plus cher que la voiture de leurs rêves, crachent sur le Nutella, ne jurent que par les sushis, rêvent de camembert la nuit. Il y a ceux qui t'accueillent à bras ouverts, ceux qui te jugent dès les premiers instants, ceux qui préfèrent éviter les foules et ceux qu'une multitude de gens ne parvient à satisfaire. Moi ? Je suis un peu tout ça, et rien à la fois. + Tu n'as jamais réellement sur de quel bord tu étais. Une attirance folle pour les hommes et un amour qui n'est pas calculable, mais une romance douce envers les femmes et leur tendresse presque maternelle. Aors, tu as décidé que l'amour ne faisait pas parti de tes plans. Tu serais trop romantique, trop amoureux. Tu en oublierais le principal. Tu en oublierais ton travail. Ce n'est pas pour toi. Tu te donnerais trop sans recevoir. +

Petit dernier d'une lignée de trois jeunes hommes, tu seras bien sûr à la fois choyer et martyriser. Une règle d'or régnait à la maison : " on s'fout sur la gueule entre nous, mais personne ne touche à l'un de nous. " et c'est ainsi que dans le quartier on vous surnommait les Trois Mousquetaires. C'était pas vraiment une bonne renommée. Surtout que c'était souvent accompagné de remarques peu polies sur votre famille, ou votre mère. Comme le fait que l'homme de la maison n'était absolument pas votre père mais un homme étant tombé amoureux de votre très jolie maman, et qui lui payait un peu prêt tout ce qu'elle voulait. Vous voyez le genre de remarque qu’on peut faire sur ce genre de relations? De plus venant d’un quartier avide de ragots et de nouvelles histoires. En somme, les voisins n’avaient pas tord sur le fait qu’au premier abord, ce n’était pas la beauté d’un homme de 20 ans son aîné qui avait attiré l’ancienne madame McCormick, mais plutôt la sécurité financière pour vous, ses enfants. Votre très cher géniteur s’en étant aller du jour au lendemain sans de réelles explications. Il avait pris ses clics et ses clacs pendant un long sommeil que vous aviez eu dans votre chambre respectifs. Il avait coupé tout accès aux comptes en commun qu’il avait avec ta très chère maman, Rory. Il s’est tiré ton père comme la plupart des hommes. Et, ça te laissera une cicatrice béante comme tous les protagonistes des oeuvres que tu dévorais étant gosse. C’est peut-être pour ça que tu t’identifiais autant à eux?


En somme, excepté ça, t’as vécu une enfance assez calme. Entre les bagarres avec tes frères, les livres, les disputes de ta maman et des voisins. C’était tout c’qu’il y avait de plus normal. Pas de grands envolés. Pas une trace de Mr McCormick. Rien, tu vivais une vie tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Jusqu’à l’âge de tes 13 ans, jeune homme où le fait de dévorer des livres, de courir partout, de grimper au sommet des arbres de ton jardin, de fracasser le voisin d’à côté n’était plus la cause de ton surnom “ La Pile Electrique “. Il y avait quelque chose d’autre maintenant. Tu avais quelque chose en plus. Des petits courants électriques qui parcourent ton corps, plus ou moins fort à mesure que tu t’approches d’électroménager ou, des lampes. Et tu te rappelles de ce moment là où tu as réalisé ce que tu étais ? Ou vous avez réalisé ? C’était ton treizième Noël. Ton beau père n’avait pas lésiné sur les décorations, ça avait eu le don de te mettre dans un état pas possible. Tu courais partout, jusqu’au moment où ton pied s’est emmêlé dans une des guirlandes. Jusque là rien de très grave. Jusqu’au moment où tu t’es relevé et que l’ électricité n’emanait plus des guirlandes mais littéralement de ta petite personne. Tu étais devenu une guirlande à toi tout seul. Mais un peu trop d’énergie et boum. T’es tombé. Réduisant la maison à un noir total. Une obscurité totale. C’est là, où ta maman t’a pris a l’écart. Ton père était un tempestaire, un putain de tempestaire et il t’a refile sa maladie c’est ça ? C’est ça? C’est tout ce que tu retenais, et, toi tu ne pouvais pas passer à côté. Non, toi, t’avais de l’électricité partout. Tu ne pouvais pas échapper à ce que tu étais comme ton géniteur lui qui était passé à côté de sa paternité.


Puis, est venu le moment où tu as dû choisir ton propre destin. Sans penser à tes pouvoirs, sans penser à tes frères, sans penser à quoi que ce soit. Seulement à toi. Se fût un choix difficile, t’étais un gosse perdu encore à cette époque-là, toi. Tu savais pas trop c’que tu voulais faire, même si tu savais que tu voulais aider le monde entier. Tu voulais venir en aide aux plus faibles comme à ta mère. Alors, pourquoi pas le droit? Plus tard, tu raconteras à tout le monde que c’était une vocation, tu raconteras que le métier d’avocat c’était ta destiné. Tu éducoleras un peu la chose. Tu diras à tout le monde qu’une histoire t’as marqué étant jeune et que c’est à partir de ce moment-là que tu as c’que tu allais être plus tard. Oui, t’as toujours été contre l’injustice, mais tu te pensais même pas foutu de faire toutes ses études. Alors, oui, tu l’as fais et c’est tout à ton honneur mon gosse. Mais ne nous mens pas, tes mensonges pour draguer autrui ne marche pas sur tout le monde.


Puis, au final, même si tu adores ton métier, ton boulot des fois c’est un cadeau empoisonné. Surtout quand Adam vient tquer à ta porte ou que tn téléphone sonne, et que tu entends sa voix résonner contre les murs du commisariat. Et, toi t’es pas foutu de lui dire “ non “ après tout, c’est ton frère. Et qu’est-ce qui est plus fort que les liens du sang hein? Rien. Alors, tu l’aides. Tu l’aides parce qu’au final t’as encore foi en lui, t’as encore foi dans le fait qu’il se remette dans le droit chemin. Merde, au fond c’est une perle ce type et tu le sais. Mais, peut-on aider quelqu’un à se retrouver quand lui-même s’est perdu, et aime sa perdition? Et, c’est un dilemme dont tu fais fasses depuis des années. Mais, après tout, t’as pas la pire des vies McCormick. Tu n’as pas à te plaindre, t’es pas à la rue. T’es pas fauché. T’es pas seul. Alors, tu acceptes et tu ne bronches pas.