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 Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune !

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Javier C. Jairo
Métamorphe

nom Jairo prénom Javier Carlos âge 33 lieu et date de naissance 21 avril 1984 à Bogota orientation sexuelle Hétéro' statut marital Célibataire métier/études Tueur à gages situation financière aisé organisation Métamorphe ft Jason Momoa

« Parmi les gens, les uns sont des cailloux, les autres des joyaux »

Il adore sa barbe et l'entretien  + Il collectionne les brosses à dents + Il aime être élégant, mais peut très bien être en short et vieux t-shirt. + Il ne conçoit pas un repas sans viande +  Il cuisine très bien mais ces invités trouvent toujours que c’est trop épicé +  Il habite une petite maison en bordure de forêt, même s’il a les moyens de se payer une villa en plein centre ville + Il a besoin de muter au moins une fois par jour +  Il aime faire la fête et être entouré de personnes + Il ne s'énerve pas facilement, mais si on le pousse à bout, il entre dans une colère noire et il n’y a pas grand chose pour le calmer + Il adore draguer, il aime les femmes, toutes les femmes + Il est couvert de tatouages sur le torse et les bras +


Javier a deux personnalités, celle qu’il avait au Centre et celle qui s’est forgé au fil des années depuis sa liberté.
Au Centre, il était rebelle, il avait du beaucoup de mal à accepter les ordres, les combats, les missions, il devait toujours l’ouvrir, se rebeller, donner son avis sur les décisions et les diverses missions. Malgré le fait qu’il était toujours corriger très très durement, il ne pouvait s’en empêcher. Il espiègle, malin quand il se donne la peine de réfléchir avant d’agir et de parler. Mais tel était son caractère jusqu’au jour où à mis en oeuvre son plan de fuir Le Centre.
Depuis sa liberté, celle où il se retrouve enfin sur deux jambes et non plus quatre pattes, il se sent libre, il aime la vie, voir les autres vivre, prendre du bon temps, ne plus se soucier des missions ;  qui étaient trop régulièrement atroces à son goût. C’est un  bon vivant ; rire, plaisanter, faire des connaissances, parcourir le globe, apprendre des divers cultures du monde, il adore ! Il tisse des liens dans les pays où il se pose quelques temps en fonction des jobs qu’il prend. Il n’a pas particulièrement d’attache amoureuse, juste des coup de cœur occasionnels, mais il ne tombe pas amoureux. Peut être qu’une partie de son cœur a été brisé au Centre, peut être lui ont ils retirer cette fonction là au cours des séances de tortures et de façonnage. Mais peu importe, il le vit bien.
Il se trouve facilement des amis, mais pas n’importe qui, il aime les personnes entières, franches, celle qui sont pleine de vie. Il me parle jamais de son passé, il esquive, trouve toujours le moyen de se sortir de ces discussions sans pour autant passer pour un cachotier, mais il est toujours préférable d’oublier une partie de sa vie, plutôt que de la remettre sur la table. Et Le Centre n’est surtout pas le genre d’information dont il doit parler. Il mettrait en jeu sa véritable identité, sa liberté et la sécurité des personnes à qui il en parlerait.
Il a besoin de se défouler, de courir sous sa forme animal, après avoir passé deux ans dans le corps de son loup, il est difficile pour lui d’oublier sa seconde nature qui lui a permis de survivre.
Javier n’a pas que des qualités, il est aussi bagarreur, brute ;  il peut être borné, il n’admet pas toujours d’avoir tort. Il est également blessant, surtout lorsqu’il ne réfléchit pas avant de parler. Il est aussi baratineur avec les nanas, c’est un  jeu, même si elles s’en rendent compte, cela fait partie d’un trait de caractère que les filles aiment. Au début.

story of my life

Colombie. Bogotá, quartier pauvre, bidonville, jeunes enfants pieds nus jouant au foot dans les rues, les plus grands, ceux de dix ou douze ans surveillent les plus petits, tout en mendiants à d’autres pauvres adultes de la rue un bout de pain, une barre chocolatée ou autre nourriture à se mettre sous la dent….
Il n'était pas difficile à cette époque et dans ce milieu plus que pauvre de fermer les yeux sur l'enlèvement d’un ou plusieurs enfants en échange de quelques billets.
Voilà comment Joao Escoba, de son nom de naissance, s’est retrouvé entre les mains des bourreau-scientifiques du Centre à l'âge de 6 ans
.

Pas de parents vivants, il a survécu grâce aux sœurs de la ville, mais il a vite appris à vivre dans la rue et puis il était plus drôle pour lui de jouer au foot avec les copains, trainer les rues, chaparder dans les petites échoppes que de participer aux cours des bonnes sœurs. Sa disparition n’inquiétait et n'inquièterait donc personne.

Joao s’est retrouvé entre les mains du centre où la vie ou plutôt la survie était vraiment plus dure que dans la rue. Comme tous les enfants du Centre il est passé sur les tables des bourreaux où il était la pièce maîtresse de diverses expériences. Les cris, les pleurs, les hurlements, la souffrance, les cicatrices, les coups, le manque de nourriture, d’eau, tout ça faisaient désormais partie de sa vie. Il n’avait aucune notion du temps, du jour, de la nuit. La cellule, où il survivait quand il n'était pas entre les mains des scientifiques, était sombre, froide, une odeur fétide y régnait constamment. Il entendait d’autres enfants pleurer aussi, parler, mais il ne comprenait pas ce qu’ils disaient, aucun autre Colombien où autre enfant parlant espagnol.

Il ne sait pas combien de temps il est resté dans cette cellule où les jours se ressemblaient, toujours le même rituel, les portes s’ouvraient, les enfants sanglotaient, on les emmenait chacun leur tour, le retour était silencieux, trop silencieux comparé à leur départ, juste les roulettes des brancards qui grinçaient…..
Joao se débattait tous les jours, même s’il n’avait plus de force, il voulait montrer qu’il n'était pas d’accord en criant, les insultants, s'agrippant à ce qu’il pouvait, son lit, les barreaux de sa cellule, il ne voulait pas leur donner satisfaction, se laisser faire, il avait une haine en lui et elle grandissait à chaque instant.

Un jour, alors qu’ils étaient venu le chercher, il fut emmené dans une autre pièce qu’habituellement, éclairage doux, murs blancs, une table, des chaises et un miroir. Son premier réflexe fut de se diriger vers celui-ci ; il ne se reconnut pas, les cheveux longs, le visage creusé, les yeux éclairés par une étrange lueur, un duvet sombre recouvrait ses joues, son menton, il avait l'air presque adulte.
On lui annonça en espagnol, qu'il avait seize ans et que sa formation allait prendre une autre dimension et tout d'abord, il devait apprendre l'anglais, il aurait des cours de boxe, d'art martiaux et autres. Les expériences, comme il les appelait, n’étaient pas terminés, plus intense mais plus courtes dans le temps.

Lors d’une séance, où l’on l’avait particulièrement poussé à bout, son corps se brisa en un son sourd, sa colonne vertébral était plus que douloureuse, il avait l’impression de prendre feu intérieurement. quelques longues minutes de souffrance plupart, un loup au pelage noir prit la place du jeune homme, seul ces yeux entaient resté identiques, il haletait, grogna et s’attaqua à tout ce qui bougeait dans la pièce, s’attaquant à l'un de ces adversaire. Le sang appelait le sang, il dévora une partie de sa victime et hurla comme un loup peut le faire à la lune. Il resta sous sa forme animal plusieurs jours, ne se calmant pas. Les scientifiques durent lui injecter des calmants pour l’endormir et le transporter sans sa cellule où il finit par reprendre forme humaine.

Les mois se suivirent, il était durement battu à coup de calmant, car il ne voulait pas respecter les règles qu'on lui imposait, mais ce qui ne tue pas rend plus fort parait il.
Son initiation dura beaucoup plus longtemps que celle des autres lui raconta t-on. S'il ne se pliait pas aux règles, il ne pourrait faire de missions, sortir du Centre pour traquer, tuer, ramener d’autres métamorphes tout comme lui. Il vit alors une lueur d'espoir de quitter cet endroit sordide. Il apprit tout ce qu'on voulu bien lui enseigner, il s'entrainait avec acharnement, évitant de dévorer ces adversaires. Il parlait désormais plusieurs langues, et prenait sur lui pour ne pas laisser sa véritable nature prendre le dessus.
Les missions s'enchainèrent mais régulièrement le Centre devait envoyer d'autres métamorphes à sa recherche pour le ramener au Centre, il n’était pas l’élément le plus modèle. Les scientifiques finirent par lui injecter une puce pour le localiser plus facilement, il mit plus d'un an à s'en rendre compte.
Durant quelques mois, le temps de mettre son plan en action, il obéit à ces supérieurs, se comportant comme un petit mouton, répondant présent à toute mission, le temps qu'ils relâchent un peu de vigilance sur ces faits et gestes.
Le jour J arriva. Il mit en scène un incendie en Russie, là où il devait se rendre pour une mission ; le méta' qui avait sa corpulence et le gêne Lupin périt dans les flammes, il avait réussit à se retirer la puce implantait dans la jambe et la mettre sur l'autre loup qui prendrait sa place aux yeux du Centre.
Il ne savait pas si cela allait fonctionner, mais il garda sa forme animal pendant 2 ans, errant dans les forets sibériennes, apprenant à vivre comme un animal. Il s'acclimata bien, chassant, dormant dans les sous bois mais toujours vigilant envers les hommes/métamorphes du Centre.
Parfois il lui arrivait de courir pendant de kilomètres vers l'Est, changeant de terrier régulièrement, car son but final était tout de mème de reprendre un jour forme humaine, vivre en tant qu'Homme libre.
Il en avait finit avec le Centre.
Javier Carlos Jairo, de son nouveau nom, a vécu quelques mois dans les grandes capitales européennes, se faisant une réputation de tueur à gage, métier auquel il devait sa petite fortune, ce qui lui permettait de vivre aisément, et de changer réguliérement de pays comme bon lui semblait. Il a le meurtre, la violence dans la peau et lorsqu'on goute au sang, on est persuadé de ne plus pouvoir sans passer. Son loup est impitoyable.

Trois mois que Javier a posé ses valises à Bray, il ne sait pas s'il y restera, une concentration de Méta' a l'air présente sur ce territoire, La prudence est, et restera sa liberté.

Salut salut ! Moi c'est Florence et je débarque du haut de mes haha ans. J'aime l'esthétique, les séries et lire , je déteste lorsque ma maison n'est pas rangée et ne pas avoir le temps de faire ce que j'aime et on me dit souvent que Maman, on mange quoi ce soir ? GRRRRR !!!!. On me verra dans les parages 1/3 fois semaine . Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à sur FB il me semble . et d'ailleurs je le trouve tres joli . Je suis un inventé et puis je tenais à terminer en vous disant que hate de faire revivre Javier  Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 1137972006 !


jason momoa !! ► javier c. jairo !!

javier c. jairo! ► loup noir


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Careless.
Careless.
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Rebienvenue parmi-nous!!! Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 508348443
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Rebienvenue à toi ! Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 359736634
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Merci à vous Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 1159891393 Contente d'etre de retour Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 1985653757
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Rebienvenu si j'ai bien compris. On ne se connait pas encore, mais ça ne saurait tarder Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 118876108
En tout cas, bon courage pour ta fiche Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 359736634
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Basil Egerton
Basil Egerton
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Comment, j'avais pas posté ? Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 2402467468
Re-bienvenue parmi nous, j'ai pas eu le plaisir de la V1 alors j'ai hâte de voir ce qu'il va advenir de Javier en RP ! Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 508348443
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Merci beaucoup :)

Je peux prendre Jason Momoa, c'est vu avec la personne qui a fait le scéna' Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 2322216697
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Invité
Avant de procéder à ta validation, je voudrais te demander quelques petits éclaircissements ! Au niveau de l'histoire surtout, le reste est impeccable (même si j'avais commencé à me méfier au regard du dédoublement de personnalité - mais en fait c'est surtout une évolution du comportement plutôt qu'un véritable trouble mental donc c'est tout bon Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 1052616956)
Du coup, mes interrogations sont les suivantes:
- A-t-il été kidnappé parce qu'il était métamorphe ou c'est un hasard ? Si c'est le cas, je trouve ça assez curieux qu'autant d'enfants de Bogotá ou de milieux de pauvres aient fini au même endroit, d'autant que la première métamorphose n'a lieu qu'assez tard, que l'espèce est gardée secrète, etc. Comment savent-ils en fait que les gamins pauvres qu'ils ont ramassés parce que leur pauvreté rendait ça plus pratique sont en réalité justement l'espèce qu'ils cherchent ? Surtout si les parents de Javier sont morts, ça n'aide pas à savoir qu'il est né métamorphe.
- De quel genre d'expérience s'agit-il ? De ce que je comprends de l'histoire, c'est avant tout un entrainement physique pour chasser et tuer, et celui ci ne commence qu'à 16 ans. Quel intérêt alors de ramasser des enfants de 6 ans, de les laisser mourir de faim et de dépenser pour les entretenir pendant 10 ans s'ils ne servent à rien entre temps ? Et puis, ils ne se disent pas que peut-être entraîner des machines à tuer pourrait être un poil dangereux pour eux ? Surtout si les scientifiques sont humains, face à 5 ou 6 brutes épaisses capables de se changer en animaux tueurs, je ne suis pas certaine de leur espérance de vie. D'ailleurs, les métamorphes ne sont pas forcément des animaux super badass - j'aimerais bien voir leur tête le jour où ils se rendent compte qu'ils ont ramassé un koala...
- Tu dis ensuite qu'il s'est fait un paquet de pognon en bossant comme tueur à gage. Outre le fait que ce n'est pas forcément un milieu très facile à pénétrer sans quelques relations, c'est surtout le fait qu'il n'a a priori jamais appris à manier une arme. Il a suivi un entrainement physique, sous forme humaine et sous forme animale - alors comment marchande-t-il ses services ? Il utilise les arts martiaux pour tuer ? Ce n'est pas vraiment leur fonction. Ou alors il se métamorphose ? Mais puisqu'il est censé garder son espèce cachée, qu'est-ce qu'il dit à ses clients, et comment il justifie que c'est bien lui, humain, qui a déchiqueté comme un animal sauvage la cible désignée ? Sinon, s'il a appris à manier les armes, il va falloir justifier qu'il soit devenu aussi bon.

Bref, voilà les principales incohérences que j'ai relevé! Sinon, le personnage promet Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 2571641524
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Invité
Biiiievenue !
J'adore autant ton choix de vava que ton choix de prénom Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune ! 2571641524
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Invité
Bienvenue à toi (en retard désolée) !
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Les loups ne hurlent pas qu'à la pleine lune !
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