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Looking for some light

Après deux semaines, après l’incendie. Bray n’était plus l’ombre d’elle-même. Un climat de peur s’était installé. Les gens avaient peur et avec raison. Le feu était un élément destructeur et la folie l’était encore plus. La paix, c’était une chose qui manquait fortement à Bray. Au fourneaux, tu t’étais attaquée à faire des petits pains et biscuits au formes du symbole de la paix. Ceux-ci étaient fait avec tout l’amour que tu pouvais donner. Tu cherchais une lumière d’espoir, un jet dans l’ombre qui planait sur la ville. Un simple rayon suffirait à te rendre heureuse. Il suffisait de le voir apparaître pour te rendre ton sourire. La paix était ce que vous deviez commencer à instaurer. La paix entre les citoyens, entre les jeunes et les vieux, entre les êtres différents et les humains. Tu avais aussi préparé quelques tracts pour organiser une soirée pour se souvenir de ceux qui étaient morts. Une soirée pour se souvenir des choses merveilleuses qu’ils avaient fait. Tu aimerais partir un groupe de soutient, tu en avait parlée à une de tes enseignantes qui t’avait regardé surprise. Pourquoi toi tu voudrais t’occuper de ça? Parce que tu avais besoin de redonner, besoin de partager. De pouvoir te libérer de l’ombre de la mort qui plannait au dessus de ta tête. Cesser de tourner tes sombres pensées de la mort de ton ami. Oublier son corps qui disparaissait sous les décombres plus rapidement que tu ne l’aurais voulu.

Le soleil brillait aujourd’hui. Aucun nuage n’avait sa place pour te déranger dans ta quête de paix et bonheur. La paix serait présente autour de toi aujourd’hui. Rien ne pourrait t’empêcher de distribuer tes tracts et tes petits pains et biscuits gratuitement à tout ceux qui le voudraient bien. La ville était ouverte et l’amour s’émanait de toi. Tu avais donc stationnée ton vélo dans un parc bien occupée. Les gens commençaient déjà à s’afférer à réaménager l’endroit ravagé par les flammes. Tu avais apportée quelques fleurs à planter, ainsi qu’une essence d’arbre toute petite. Tu portais une pancarte sur toi qui annonçait les biscuits et pains gratuits. Tu offrais tes tracts d’amour et des petites pensées joyeuses avec ceux-ci à tout ceux qui en souhaitait. Tu te sentais un peu mieux aujourd’hui. Aujourd’hui, le soleil te souriait accompagnée de Dallas en pensée.



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Le calme après la tempête.

Free (Dakota & Sirius & ... )

Il fallait que je sorte. Qu'on sorte. Mon père et moi. Il était entrain de me rendre dingue. Et avec tout ce qui se passait en ville en ce moment, je ne pouvais plus rester dans mon petit monde uniquement. J'avais échappé aux attentats, mon père aussi, la boutique aussi, on n'avait rien eu, pour la simple et bonne raison qu'on était resté confinés dans l'appartement. La culpabilité était toujours aussi présente, surtout quand je voyais autant de tristesse, de douleur dans cette ville qui était la mienne depuis de longues années maintenant. Il fallait que je fasse quelque chose. Que j'agisse. Que je fasse un peu les choses pour les autres et pas uniquement pour ma gueule. Et je savais exactement où je devais aller. Après être passé à la boutique pour récupérer quelques petits trucs, j'embarquais mon cher paternel que je sortais de son bocal, mais que j'avais glissé dans la poche de ma chemise. Lui aussi paraissait chamboulé par tout ce qui était arrivé, mais il ne voulait rien me dire. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Je savais que par le passé, il avait vu pas mal de trucs affreux, Maman et lui en étaient restés très choqués. Ce qui, pour moi, expliquait leur dégénérésence mentale. Enfin, ce n'est pas le propos. Je me téléportais derrière le parc principal de la ville, très abîmé par le feu, mais déjà on voyait des gens qui s'affairaient à vouloir panser ses plaies, et les leurs par la même occasion. Je pris une profonde inspiration pour pouvoir traverser la grille et entrer, me joignant ainsi aux humains et aux autres êtres présents. Ma haine envers les humains et les Êtres de l'Eau sembla s'appaisser pour quelque temps, au moins le temps que j'étais ici. C'était comme dans une bulle où toute sorte de violence, de pensées négatives étaient bannies.

En temps normal, je faisais parti de ces connards qui profitaient de chaque ocassion qu'offrait la vie pour continuer ma croûte, mais pour cette fois, non. Parce que ça me touchait aussi. Parce que je me sentais responsable. Parce que je voulais être un peu avec les autres aussi. Remarquant au loin qu'une personne proposait des gâteaux gratuits, je souris légèrement face à cet élan de générosité. Ce qui me donnait une petite idée. Je m'installais dans un coin pour pouvoir creuser quelques petites trous grâce aux outils que j'avais pris dans mon atelier et sortais d'un petit sac plusieurs pots de fleurs contenant trois à quatre trèfles à quatre feuilles chacun. Il y avait plusieurs légendes sur les leprechauns et nos capacités, notamment sur le fait que nous produisions des trèfles qui, selon certains, portaient chance, et selon d'autre permettaient de recontrer son âme sœur. Ce que j'avais espéré, à une époque, soit vrai en en offrant un à Xion. Si tout cela était vrai, je voulais en donner aux autres, qu'ils soient humains, qu'ils soient sirènes ou tritons, qu'ils soient métamorphes, qu'ils soient mages, qu'ils soient fées, qu'ils soient Djins, peu importe. Je voulais partagé, tout simplement. Je plantais un petit panneau coloré, il n'y avait qu'un simple dessin, d'un chaudron noir remplis de pièces d'or pour signifier qui était passé par là. Je me levais ensuite, traînant toujours mon sac avec moi, pour accrocher des trèfles sous vide aux branches d'un arbre brûlé. Ma nature d'être de l'Air était extrêmement touchée par le carnage produit par les flammes. Mon père laissa entendre un petit couinement, lui aussi très mal. Je ne pouvais que le comprendre.

Y a rien qu'on puisse faire, Pa'... Seulement laissé la nature faire...


DEV NERD GIRL

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Looking for some light

Le soleil, de tout ses rayons brillait sur la ville. L’amour s’émanait de toute les fibres possible de ton corps. Agir pour les autres, ne pas agir pour toi simplement. Faire quelques chose pour les autres, pour aller mieux. Sortir de la maison, ne pas voir que tes deux colocataire se détruire par l’alcool et la drogue. Tu ne pouvais supporter de les voir souffrir autant. Tu avais besoin de sentir autre chose que cette autodestruction. La nécessité de te sentir vibrer face à l’univers. Sentir ton âme, ton être qui vie. Continuer malgré les difficultés. Ne pas t’arrêter. Tu avais une chance de vivre, une chance de pouvoir apporter un peu de ta lumière au monde et ne pas rester dans la noirceur de ce désastre. Une chance de rendre hommage à ton ami qui lui avait perdu la vie. Pour toi, cesser de vivre parce qu’il était mort était insensé. Il n’aurait pas voulu que cela soit ainsi. Le connaissant, Dallas aurait voulu te voir vivre. Te voir continuer d’être et certainement pas t’arrêter. Il n’aurait pas supporté de vous voir vous détruire, cesser de vivre. La vie était si importante à ses yeux. Elle l’était aussi aux tient. Même si une partie de ton âme avait rejoint les anges, cela ne voulait pas dire que tu devais vivre comme si la même chose t’était arrivée. Tu devais continuer, avancer, ne pas t’arrêter. Regarder droit devant, pas vers l’arrière.

Un homme creusait dans son coin. Il semblait creuser pour planter quelques chose. Curieuse de nature, tu l’observas et même t’en approcha tranquillement avec tes choses. Tu gardais quand même tes distances, ne voulant pas être malpolie. Tu vis les trèfles qu’il planta, puis le petit panneau d’un chaudron rempli de pièce d’or qu’il y déposa. Tu souris. Un sourire qui avait, depuis le drame, perdu sa place sur tes lèvres. Un peu de verdure dans ce parc ne ferait pas de mal. Lorsqu’il se releva et ramassa ton sac tu pris ton courage à deux main et t’approcha avec des affaires.

« Vous voudriez un petit pains ou un biscuit? »

Demandas-tu avec ta douceur habituelle et un sourire qui t’était habituel. Un sourire que tu avais laissée de côté trop longtemps. Montrant tes dents d’un blanc habituel, tes longs cheveux roux vaguant qui tombaient sur tes épaules. Une gentille petite humaine que tu étais. Rien ne changerait rien à ta nature douce.
© GASMASK
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Le calme après la tempête.

Free (Dakota & Sirius & ... )

Un autre couinement répondit à ma tentative pour le rassurer, si bien que je n'ajoutai rien, préférant laisser mon paternel réfléchir ou tout du moins, être triste en silence. Dans son délire qui était maintenant sans fin, il était persuadé d'être une partie de la Forêt, de la Terre, et que toute action faite pour un arbre, un animal ou autre lui était faite personnellement. Un peu comme n'importe quel écolo bon marché. Sauf que contrairement à ces personnes, qui se seraient mises à hurler, à tagger des murs, à mettre le feu à des bidons ou encore à envahir des navires marchands, mon père se renfermait un peu plus sur lui-même, il souffrait. Il souffrait intérieurement et physiquement. Et dans ces moments, il n'y avait rien que je puisse faire, que je puisse dire pour le réconforter. Ça allait passer. Ça passait toujours. Recroquevillé sur mon épaule, mon père regardait l'arbre calciné devant nous. Probablement mort. Mes décorations ne servaient absolument à rien, dans le sens où elles ne pourraient pas lui redonner vie, mais au moins, ça apporter un peu de verdure, un peu d'espoir. Et les gens pourraient toujours les prendre avant que l'on retire l'arbre mort. Je continuais d'accrocher des trèfles aux branches quand j'entendis une voix douce dans mon dos, et une question qui allait avec. Gardant les mains sur la branche à laquelle j'accrochais les derniers trèfles, je tournais la tête vers la jeune femme qui m'avait parlé, et lui souris doucement en voyant ses gâteaux et petits pains. J'avais vu son panneau en arrivant, elle faisait probablement le tour du parc en les proposant. À la fine odeur de pâtisserie, mon lutin de père sembla revenir à la réalité et rampa de mon épaule à l'autre, s'accrochant à ma nuque et à ma veste au passage, pour s'approcher le plus possible d'elle, du moins, autant qu'il le pouvait. Mon sourire s'élargit un peu plus en le voyant faire, l'appel du ventre, voilà probablement la seule chose qui pourrait peut-être détourner son attention. Un peu plus et j'étais sûr qu'il pourrait se mettre à baver. Mais aussitôt, une évidence me frappa : est-ce qu'il devait se montrer ainsi ? Je veux dire, à Bray, il y a de nombreuses créatures surnaturelles, mais beaucoup plus d'humains, d'où ma question. Mais bon, en même temps, on était tous réuni ici pour faire avancer les mentalités, pour essayer d'être tous ensemble. Qui que soit cette jeune femme, surnaturelle ou non, tant pis.

Je vais vous prendre un petit pain et un gâteau, pour lui. Je crois que ça lui a bien donné envie.


Sans me défaire de mon sourire, je lâchais la branche d'une main pour pouvoir attraper les pâtisseries mais je dû rapidement me rendre à l'évidence que, aussi doué étais-je avec mes mains, à une seule, je ne pourrais pas les couper en petits morceaux pour les donner à mon père qui était déjà descendu le long de mon bras, jusqu'à mon poignet pour essayer d'attraper des bouts de petit pain à se mettre sous la dent. Je reposais alors mon attention sur la jeune femme, gardant malgré tout un œil sur mon père. D'un côté j'avais un trèfle pas tout à fait attacher qui allait tomber si je lâchais la branche, mais qui me risquait pas de se casser, de l'autre, il y avait mon père qui se comportait comme s'il n'avait pas mangé depuis des semaines, mais qui lui risquait de se faire mal s'il tomber.

Ça vous embêterez de lui donner un petit morceau ? Que je finisse d'accrocher ça sans me faire mordre ? Enfin, rassurez-vous, il ne va pas vous mordre. Au passage, je sais que ça ne se voit pas, c'est mon père.


Je ne devrais peut-être pas laisser une inconnue donner à manger à mon père, mais c'était justement l'occasion où jamais de prouver que les créatures surnaturelles n'étaient pas mauvaises, pas toutes du moins, bien au contraire, qu'on était tout aussi humain que les humains. Et puis, mon lutin de père n'allait pas lui faire du mal, ça j'en étais certain.

DEV NERD GIRL

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Tu n’avais jamais été un être malicieux. Tu avais toujours été douceur et tu le serais probablement toujours. Les trèfles que cet homme déposait sur cet arbre, malgré qu’il soit clair que ce dernier était mort t’apportait un peu d’espoir. L’espoir que malgré la destruction Bray pourrait se reconstruire. Renaître de ses cendres tel un phœnix. Tu avais besoin de voir la ville se relever. Besoin de croire que toute les vies qui avaient été perdues n’étaient pas en vain. Que la paix reviendrait que l’amour surpasserait la haine. Le sourire de cet étranger te fis sourire à ton tour, chose de plus en plus rare depuis la mort de Dallas.

Une petite forme qui t’était inconnue apparu. Cette petite chose semblait fragile et affamée. Elle tentait de s’approcher de toi. Tu ne fis pas de visage surpris, ton sourire s’élargit simplement. Les créatures surnaturels ne t’étaient pas complètement inconnu. Tu avais été adoptée par des grindylows, tes meilleurs amis en étaient. Tu n’étais pas du tout surprise que d’autres légendes existent vraiment. Tu pensais qu’il était peut-être un petit lutin, sans en savoir vraiment plus. Tu étais une humaine et tu t’émerveillais du monde qui t’entourait. Il demanda un petit pain et un gâteau pour le petit farfadet. Tu souris et lui en donna deux de ton panier. Tu le regardais laisser sa branche d’une main et prendre les pains de l’autre. Cela ne semblait pas du tout facile. Le petit homme lui tentait déjà de s’attaquer au petit gâteau qui était deux fois plus gros que lui. Puis avant même que tu ne puisses proposer de l’aider il en faisait la demande. Il mentionna que le petit lutin était son père. Doucement tu tendais les mains pour que la fugace créature s’y loge. Pour ensuite reprendre tes pâtisseries et en couper quelques petits morceaux pour l’homme dans ta main. Tu souris. La vie t’émerveillait par ses surprises.

« Alors, si ce n’est pas indiscret, votre père il est quoi? Parce que je ne connais pas d’aussi petits humains. »

Curieuse. Tu l’avais toujours été et cela n’avait pas changé avec la mort de Dallas. Tu voulais toujours apprendre et en savoir plus. C’était une de tes qualités d’être curieuse. Certains pourraient dire que c’était un défaut, mais tu le faisais toujours respectueusement.
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Le calme après la tempête.

Free (Dakota & Sirius & ... )

En ce jour si spécial, cette journée dédiée à l'amour et au soutien les uns des autres, je restais aussi surpris que quelqu'un, un jeune femme humaine de surcroit, accepte de s'occuper de mon père, alors que d'autres se sont mis à fuir pour moins que ça. Mon paternel avait donc trouvé refuge entre les mains de la douce jeune femme pour croquer dans les petits morceaux qu'elle lui tendait, se délectant visiblement de ce qu'elle avait préparé. Mais n'étant pas tout à fait rassuré, après tous, mon espèce faisait partie des plus vieilles qui soit au monde, mais ça ne voulait pas dire pour autant que nous étions les plus en sécurité. Qui sait ce qui pourrait nous arriver si nous étions face aux mauvaises personnes ?, je me hâtais d'accrocher les derniers trèfles aux branches des arbres pour ensuite me retourner vers elle et entendre sa question. De toute évidence, elle devait être en contact avec des créatures surnaturelles, sinon elle n'aurait pas garder son calme. Mais ma suspicion s'envola quelque peu alors que je sentais qui n'émanait d'elle que de la douceur et de la curiosité. Un peu plus détendu, je glissais mes mains dans mes poches en observant mon lutin de père avec un petit sourire amusé.

C'est un Leprechaun. Et moi aussi en réalité. Quand nous atteignons un certain âge, nous retrouvons notre taille de... lutin. Notre taille véritable dans un sens. Normalement, nous ne devenons pas tous sénile, mais... la génétique n'a pas vraiment été sympa avec ma famille.


Mais pourquoi est-ce que je disais ça ? Sans doute pour justifier les actes à venir de mon père qui seront sans nul doute absurdes et marqués de sa folie. Je ne savais pas si c'était quelque chose propre à tous les Leprechauns ou seulement à mes parents, et probablement à moi, mais je ne désespérais pas être rassurer sur mon sort. Je récupérais finalement mon père pour libérer la jeune femme, il me tendit lui aussi un morceau de pâtisserie qui était d'ailleurs délicieuse. La bouche pleine, mon paternel de lutin se tourna vers la jeune rousse, la remercia, laissant ainsi jaillir quelques miettes dans tous les sens, lui offrant de nombreux compliments, quelque peu de trop pour une pâtisserie. Ensuite, il retourna dans ma poche, laissant juste sa tête dépassée et se laissa bercer par le léger vent et par mes mouvements.

Merci en tout cas. Est-ce que vous voulez un coup de main pour distribuer les pains et les pâtisseries ? Nous n'avons plus rien à faire, j'ai planté ce que j'avais à planté, j'ai... envie de continuer sur ma lancée.


Oh oui, la culpabilité était bien présente, et ne parviendrait sans doute pas à me quitter avant un long moment. Je devais racheter ma lâcheté, je devais effacer mon égoïsme, quitte à rester en contact avec des humains pendanr un long, long, long moment. Tant pis. C'était le prix à payer, et puis... la jeune femme en face de moi me paraissait... mieux que les autres humains.

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Dakota F. Cameron a écrit:
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Tu est amour, tu l'as toujours été. D'aussi loin qu'on puisse aller, tu as toujours été douce et compatissante. Élevée par des Grindylows le surnaturel ne t'était pas complètement inconnu. Le petit être au creux de tes mains croque les petits morceaux que tu lui tend. Il se délecte, tu souris, contente que quelqu'un apprécie ta cuisine. Chez toi, ce n'était pas le cas actuellement. Tes colocataires touchaient à peine ce que tu leur cuisinait avec amour. L'homme se hâtait de terminer d'accrocher les trèfles et tu le vois se détendre un peu alors qu'il laisse la branche et glisse les mains dans ses poches. Il répondit à ta curiosité. Leprechaun, comme les fameux lutins, cela explique les trèfles te dis-tu. Il parla de retrouver la taille de lutin rendu à un certain âge. Cela devait certainement avoir des avantages et inconvénients. Il parla de sénilité, cela te fis un peu de peine, pourtant le petit lutin dans ta main avait l'air si heureux et d'apprécié la vie.

L'homme récupéra son père. Pourtant le tenir ne te dérangerais pas du tout. Tu appréciait découvrir de nouvelles formes de vies, curieuse de nature tu aimais découvrir le monde et ses secrets. Tu vies le petit lutin qui te remerciait et qui la bouche pleine fit sortir des miettes et t'offrant des compliments. Cela te fit sourire. Tu hochais la tête pour le remercier. L'homme de taille humaine la remercia avant de lui offrir de l'aide pour distribuer les pains et pâtisseries. Il parla avoir planté ce qu'il avait à planter et qu'il avait envie de continuer sur sa lancée. Tu souris:

«Merci, c'est moi qui les ai fait à la main. Si vous en voulez une vous aussi faut pas vous gêner. Puis pour l'aide, ce serait appréciée. Je la prend avec plaisir. Je me présente, je m'appelle Dakota!»


Tu tendais une main vide, le sourire dévoilant la blancheur de tes dents et ton cœur d'enfant bien clairement.

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Le calme après la tempête.

Free (Dakota & Sirius & ... )

Une douceur incroyable émanait de cette jeune femme, de cette humaine, ça me surprenait tellement que j'avais du mal à rassurer mon cerveau que ce n'était pas une hallucination, mais bien la réalité. D'ailleurs, en y repassant, voir tout ces gens rassemblés au même endroit, toute cette douceur, toute cet amour qui en transpirait, c'était un peu comme si tout le monde avait fumé la même weed. C'était d'ailleurs ce qu'il me fallait pour que je supporte d'être dans une foule de cette espèce. Enfin, je chassais cette pensée, étant donné qu'il fallait malgré tout respecter la mémoire des morts, et que c'était surtout pour ça que nous étions là. Alors qu'elle me proposait de reprendre une pâtisserie pour moi, j'acceptais l'offre, en prenant une deuxième pour mon père au cas où il voudrait encore se mettre quelque chose sous la dent. J'écoutais alors son prénom, un sourire attendrit sur les lèvres. Quelque part, elle me faisait penser elle aussi à une Leprechaun, toute mignonette, toute douce comme ça, loin des humains, ou plutôt de l'image si noire que j'avais des humains. Elle me faisait penser à la petite sœur que j'aurais rêvé d'avoir. Aussi absurde que cela puisse paraître, j'avais toujours voulu avoir une petite sœur aux cheveux "de feu", alors que mes parents, et moi-même, étions blonds. Ce désir est bien entendu mort avec celui de ma mère, mais le souvenir de ce désir enfantin me revenait parfois, des fois avec Malena, mais encore plus avec donc... Dakota. Je pris alors sa main en la serrant doucement avant de la relâcher.

Sirius. Et mon père, c'est Sweeney. On va vous aider. Enfin, je vais vous aider. Si jamais mon père veut le faire, je vous conseille de refuser poliment, sinon il va falloir lui courire après. Quand... il veut rendre service, surtout dans ces moments, il est du genre... un peu trop entousiate.


Autant la prévenir, autant qu'elle sache ce qui pouvait arriver. J'espérais réellement que mon paternel ne ferait rien de fou, étant donné la profonde tritesse qui l'accablait lui aussi, mais avec sa mémoire défaillante, il pouvait très bien oublié pourquoi il était triste et se mettre à faire des choses hallucinantes. Quand c'était chez moi encore, je pouvais comprendre, mais pas dehors, pas dans un moment comme ça. Je pris alors la marche, guettant qu'elle me suivait bien, même si je ne savais absolument pas où est-ce que j'allais. Son stand peut-être. Pour prendre d'autre patisserie afin de les donner aux autres. Ça allait me demander beaucoup d'effort de sourire à des êtres que je détestais, mais soit. C'était ma pénitence. J'approchais alors de son stand avec un léger sourire, me tournant vers elle.

Si je peux me permettre, je trouve ça adorable. Ce que vous faites, vraiment.


C'était sortit tout seul, mais il fallait que je le dise. Peut-être que c'était le côté féminin chez moi qui sortait, mais je la trouvais extrêmement mignonne, et une telle générosité, un tel cœur était particulièrement adorable.
Alors que je le pensais endormi, mon père bondit de ma poche pour se poser près de la petite pancarte qui annonçait les pains et gâteaux, le regardant comme s'il s'agissait d'un tableau. Incomplet selon lui, puisqu'il remonta sur l'épaule de Dakota pour lui dire que ça manquait d'arc-en-ciel et de licornes. Là, je ne pus m'empêcher de lever les yeux au ciel en l'entendant.

DEV NERD GIRL

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