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 Secret mutuel [Diane & Idris]

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Secret mutuel
”Le bleu du Ciel, n’est pas le bleu de la Mer. Ce bleu que moi je préfère, sans vraiment savoir pourquoi”

Ces paroles sont si vraies pour toi, à la différence que, toi, tu sais pourquoi tu préfères le bleu de la mer. La raison de cette attirance est gravée dans tes gênes depuis que tu as vu le jour. Et cette raison tient en un mot : Triton. Car oui, tu es un triton. Et en tant que tel, tu as un lien très fort avec l’eau. Tu te dois de plonger dans la mer au moins une fois toutes les semaines, sinon tu craques. C’est plus fort que toi.

Justement, aujourd’hui tu n’avais rien de spécial à faire. C’était ton jour de repos, et tu t’ennuyais fortement. Lloyd n’était pas là, il avait une mission à l’étranger, et Keith était à l’école. Tu aurais pu juste faire une journée Netflix & Chill tout seul, mais rien ne t’attirait dans les programmes proposés. Soit tu l’avais déjà vu, soit ça ne t’intéressait pas. Et tu n’étais pas fatigué non plus, donc pas de journée ronflette. Il ne restait plus qu’une solution : la petite crique où tu aimes énormément nager.

Tu as découvert cette crique il y a 2 ans, alors que tu arpentais un sentier au bord d’une falaise assez escarpée, normalement interdite d’accès. Mais toi, trop curieux, tu voulais savoir où il allait. Alors un jour, tu t’y aventuras. Au début, tout allait bien, le sentier était assez normal, tu ne comprenais pas pourquoi il était interdit d'accès. Soudain, le sentier devient beaucoup plus étroit. Mais cela ne te découragea pas. Tu continuas donc ton chemin en faisant attention où tu mettais les pieds. Tout à coup,tu marchas sur un caillou, perdis l'équilibre et tombas. Heureusement, tu réussis à t’agripper au bord de la falaise, mais malheureusement tu n’avais pas la force nécessaire pour te hisser et remonter. En regardant sous tes pieds, tu vis l’eau. Une idée venait de te traverser l’esprit. Puisqu’à l’évidence, tu ne pourrais pas remonter tout seul et que personne ne serait assez fou pour s’aventurer ici, pourquoi ne sauterais-tu pas dedans ? Après tout, tu n’avais pas le choix, et peut-être que la chute ne serait pas si terrible ? Avec un peu de chance tu pourrais plonger de manière à t’en sortir sans grandes blessures ? Tu t’apprêtas à sauter, anxieux, quand soudain, tu t’arrêtas. Etait-ce vraiment une bonne idée ? N’y avait-il vraiment aucune autre solution ? Tu rééssayas de te hisser, mais en vain, encore une fois. Et aucune aspérité permettant de t’aider de quelconque manière. Cette fois-ci, c’était sûr, tu n’avais pas le choix. Malheureusement. Donc tu rééssayas de sauter, tentant de calculer approximativement la manière de pénétrer dans l’eau sans trop de bobos. Et puis, tu plongeas. La sensation de tomber était très étrange, peu rassurante au début. Tu n’avais aucun endroit pour t’accrocher, alors tu te laissas tomber. Et puis, tu te pris au jeu. L’adrénaline de ta chute t’enivra, et tu plongeas. Miraculeusement, tu réussis à plonger sans te blesser ! Depuis ce jour, tu retournes souvent à cette crique, connue de peu de monde, où tu peux être toi sans risques.

Et donc, te voici arrivé à la crique. Mais avant de plonger, tu te dirigeas sur le sable en contrebas accessibles via un petit escalier taillé dans la roche et te déshabillas, gardant juste ton caleçon, ne sait-on jamais. Puis, tu retournas sur la falaise et sautas directement dans l’eau, la tête la première. Désormais, tu n’avais plus peur, tu avais réussi à la surpasser, et maintenant, tu sautais dès que tu le pouvais. Malheureusement, tu ne pouvais faire ce saut qu’une fois, c’était compliqué de retourner à la falaise avec ta queue de triton…

2 heures plus tard, tu sortis de l’eau. Tu avais bien passé ton temps, il fallait donc maintenant que tu te sèches, et ça allait prendre du temps. Soudain, tu entendis un bruit venant de la falaise. Tu regardas cet endroit, inquiet. Qui est là ?! t’empressas-tu de demander. La dernière fois que tu avais entendu un bruit suspect comme ça, ta mère était morte.
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J'avance à pas prudent sur le sentier côtier. Quand je vois son état, je commence à me demander si je n'aurais pas mieux fait de suivre le conseil de ce panneau à la dernière intersection qui interdisait l'accès à cette partie du circuit de promenade. Une fois encore, il aura fallu que je fasse ma forte tête et que je tente ma chance.... En même temps, l'intérêt de ce genre de vadrouille n'est-il pas de rester au plus proche de la mer pour pouvoir l'admirer au mieux ? L'itinéraire alternatif proposé m'aurais fait m'enfoncer dans les terres. Ça aurait tout de même été dommage...

Enfin, il faut tout de même admettre que je n'ai pas le loisir de profiter de la vue ici. Une personne normale serait déjà peu rassurée de voir le vide à sa gauche et les rochers plusieurs mètres plus bas sur lesquels s'écrasent les vagues ainsi que les divers endroits où des éboulements ont réduit le sentier à tel point qu'on arrive tout juste à mettre un pied à côté de l'autre. Pour moi qui, à travers les pierres incrustées dans le sol, peut sentir la stabilité plus que précaire du chemin, c'est carrément stressant. Quoique, stressant est peut-être un peu fort comme terme mais je n'ai pas le loisir de flâner.

Quand je pense que je me suis lancée dans cette virée simplement à cause d'une photo. Un cliché qu'Ethan a pris l'année dernière. L'autre jour, il nous avait montré quelques un de ses tirages et j'ai eu un coup de cœur pour l'un d'eux : une petite crique isolée du reste du monde et surplombée par de hautes falaises. Un vrai décor de carte postale. Quand j'ai appris que ladite plage se trouvait à Bray, je me suis promise d'aller y faire un tour quand j'aurais un jour de congé. Etant donné qu'aujourd'hui, je suis justement de repos et que pour une fois, je n'ai rien de spécial de programmé, je me suis dit que ce serait une bonne occasion d'y aller. C'est ainsi que je me suis retrouvée un jeudi matin à arpenter les sentiers côtiers partant de Golden Coast avec mon sac et ma bouteille d'eau.

Ça dois bien faire deux heures que je suis partie d'ailleurs. Le port est maintenant assez loin derrière moi et si ce n'est quelques haut bâtiments et les digues, je n'en vois plus rien. Ça donne un côté plus agréable au cadre je trouve de se retrouver un peu éloignée des bruits de la circulation. J'en oublierais presque...
Justement, il faut croire que j'ai entre autre oublier que je marche sur un sentier à moitié éboulé et que ce n'est pas spécialement le moment pour regarder en arrière. J'entends un craquement évocateur quand je pose mon pied un peu trop près du bord d'un éboulement. Le sol se met en mouvement. Un cri de surprise m'échappe quand je perds l'équilibre. Un morceau de terre de se fend et se jette dans le vide. Par réflexe, je fais réagir les pierres se trouvant dans le sol. Alors que la terre tombe, elles restent en suspend dans le vide en formant un semblant de plat sur lequel je peux appuyer le pied pendant les deux secondes qu'il me faut pour reprendre l'équilibre afin de pouvoir ramener le pied loin du bord. Une fois cela fait, je relâche mon contrôle sur les cailloux que je regarde chuter plus bas. Mon cœur bat la chamade après ça. On peut dire que l'avertissement a été sans équivoque cette fois. Je m'arrête un instant pour me calmer un peu. Finalement, je reprends mon chemin. Et sans me déconcentrer cette fois. En même temps,  soyons honnête. Même si je me suis laissée surprendre, j'ai plutôt bien maîtrisé la situation !

Le quart d'heure suivant se passe plutôt calmement quand j'arrive finalement au lieu de la photo. Enfin, plutôt sur la falaise au-dessus de la crique où a été prise la photo. Je repère un petit escalier de pierre permettant de descendre  assez facilement. Cependant avant de descendre, je prendrai bien un moment pour profiter de la vue. C'est amusant, mais j'aime regarder le paysage avec un peu d'altitude. Depuis la crique, je ne verrais probablement que la mer alors que depuis le haut des falaises, je peux voir tellement plus. La silhouette lointaine de Bray, les contours sinueux des falaises, les petites plages dissimulées dans les creux des rochers, les récifs rocheux émergeant ici et là de l'eau. Tout ça s'étalant  à perte de vue... Je pourrais fixer ce paysage pendant des heures...
D'ailleurs, je ne m'en prive pas. Je me rends au bord de la falaise et je m'y assois, les jambes dans le vide. Droit devant moi, la mer s'étend à l'infini. C'est amusant comme on semble si petit à côté de cette immensité. Pourtant quand je la fixe ainsi, j'ai l'impression que je pourrai toucher la ligne d'horizon du bout des doigts. Rien ne se trouve devant moi pour me servir de repère de distance que les vagues. Distraitement, je soulève un caillou qui se trouve à un bon mètre derrière moi et je l'envoie de toute la puissance dont mon don est capable. La pierre file à toute vitesse, rapetissant jusqu'à ne devenir plus qu'un petit point à peine visible qui tombe sans l'eau sans causer le moindre remous visible. C'est amusant. Depuis que je suis gosse, j'ai toujours eu ce réflexe de jeter une pierre le plus loin possible, comme pour me rendre compte d'à quel point  l'océan est vaste... C'est dans ce genre de moment qu'on se sent minuscules...

Une seconde pierre suit, puis une troisième.... Pendant plusieurs minutes, je me laisse aller à mes rêveries en canardant la ligne d'horizon quand j'entends des bruits venant de la plage en contrebas. Curieux, je n'avais pourtant vu personne quand je suis arrivée.
Quittant mon perchoir, je me dirige vers l'escalier pour jeter un coup d'œil. Lorsque je découvre ce qui est en train de sortir de l'eau, mes yeux s'écarquillent. Un triton... Merde, j'en avais déjà entendu parler mais je ne m'attendais pas à en croiser un ici, comme ça.
Ne sachant trop que faire, je commence à reculer afin de sortir de son champ de vision sans qu'il ne me voie. Échec.

Au bout de quelques secondes, j'entends la voix du garçon appeler. Mince, il a l’ouïe fine. Qu'est-ce que je suis censée faire maintenant ? Faire comme si je n'étais pas là et fuir ? Mmh, ce serait probablement la solution la plus sage... Pourtant, je suis un peu curieuse au fond. Je n'ai jamais eu l'occasion de rencontrer de tritons. On me les a décrit comme des surnaturels dangereux capables d’envoûter les gens de par leur chant. Celui-là, n'avait pas l'air bien agressif. Peut-être sera-t'il moins redoutable que ses pairs dont on m'a parlé ? Bah, et après tout je ne vois pas ce que je risque ! Entourée ainsi de pierres de plusieurs centaines de kilos, je doute qu'on puisse trouver un milieu où je sois plus avantagée qu'ici. Si jamais ça venait à mal tourner, je n'aurais pas trop de difficultés à le renvoyer à la mer...

J'avance donc jusqu'à la première marche de l'accès descendant vers la plage. Ses yeux vont immédiatement sur moi et semble me toiser avec méfiance. Enfin, de ce que j'en vois mais avec la distance, ce n'est pas évident de bien distinguer ses émotions. Surtout que contrairement à lui qui est dans l'ombre de la falaise, j'ai le soleil dans les yeux. Je commence donc à descendre quelques marches afin de profiter de l'ombre aussi mais je m'arrête vite en voyant à quel point il semble sur la défensive. Voilà qui part mal pour une première rencontre...

M'adossant à un rocher, je tente  :

Désolé si je t'ai surpris, ce n'est pas ce que je voulais. Je ne savais pas que tu étais là... Marquant une brève pause pour tenter de repérer une éventuelle réaction de sa part, j'en profite pour jeter un œil aux alentours avant de refaire un essai pour le sortir de son mutisme :
-Tu es seul ici ?
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Tu vis soudain du mouvement en haut de la falaise. Prudent, tu te mis dans l’obscurité pour être moins vu, voire te cacher si tu vois un assez gros rocher. Mais malheureusement, il n’y en avait pas. Juste l’obscurité. Tant pis, c’était déjà assez. Du moins, tu l’espérais.

Et soudain, tu l’aperçus. Cette personne qui t’avait surpris en triton. Une femme. C’était une femme. Pris de peur, tu tentas de retourner te cacher dans l’eau, fuir loin de cette inconnue. Mais pourtant, un détail clochait. Elle avait réussi à envoyer plusieurs cailloux très loin sans les toucher. Se pourrait-elle qu’elle soit une Surnaturelle comme toi ? Malgré le fait que tu ne la connaissais pas, elle t’intriguait quand même. Tu voulus en savoir plus, à tes risques et périls. C’était tout toi, tu voulais jouer la carte de la prudence, mais à chaque fois, ta curiosité prenait le dessus… Et à la fin, tu t’en mordais les doigts.

Lorsque tu l’entendis parler, tu te sentis un peu moins en danger. D’après elle, elle ne voulait pas t’effrayer. Bien que tu fusses moins apte au repli, il y avait quand même une petite voix dans ta tête te conseillant de faire attention. En effet, sous ces airs de jeune fille fragile pouvait très bien se cacher le même genre de personnage que tu as rencontré à Tromsø, et qui avait coûté la vie de ta mère et la disparition de ton père. Bien que tu détestasses la violence, tu serais prêt à tuer si ce genre de personne refaisait surface près de toi. Sans oublier Ellen, ta mère adoptive qui avait péri dans les mêmes conditions. Trop de morts que tu ne puisses supporter.

Néanmoins, lorsqu’elle te demanda si tu étais seul, tu tiquas. Etait-ce une simple tentative pour engager la conversation ? Ou bien était-ce pour savoir si elle pouvait t’attaquer tranquillement, sans avoir à se préoccuper d’autres adversaires ? Pris de doute et de méfiance, tu répliquas « Oui, pourquoi ? Que me voulez-vous ? ». Tu te surpris à être sur la défensive, mais d’un autre côté, une inconnue venait de te démasquer avec ta queue de triton, et tu ne savais pas ses intentions…

« Qui êtes-vous ? Que faites-vous là ? » Tu voulais savoir ses intentions, si tu pouvais lui faire confiance, t’ouvrir à elle.
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Ce n'est qu'une fois ma question posée que je prend conscience du double-sens dangereux qu'elle peut avoir. J'ai demandé ça innocemment pour lancer la conversation mais ça pourrait bien être interprété comme la question d'un chasseur curieux de savoir s'il allait avoir droit à une potentielle victime isolée. Après les disparitions que j'ai vu dans le journal ces dernières semaines, je ne serais pas surprise qu'il y ait quelques uns de ces psychopathes à Bray.
Ça ne me surprend donc pas spécialement que le garçon réagisse sèchement et se méfie d'autant plus de moi. Il se met à me bombarder de questions. Qui suis-je ? Qu'est-ce que je fais là ? Qu'est-ce que je lui veux ?... Qu'est-ce qu'il espère que je lui réponde ? Je ne pensais même pas croiser quelqu'un ici au milieu de nulle part. Vu comme la conversation semble se profiler, je me demande si lui révéler ma nature surnaturelle pourrait aider à détendre l'atmosphère. Le seul souci, c'est que s'il a bien l'air surpris et effarouché, je ne sais pas non plus quel genre de personne il est. Garder un atout dans ma manche pourrait être sage. De plus, bien que je ne me serve pas de ma maîtrise des pierres pour me battre, il est vrai qu'il y a plus rassurant comme démonstration que de d'arracher un rocher du sol par la seule force de la pensée. Non. Pour le moment, il vaut mieux jouer la carte de l'honnêteté et aviser ensuite. Peut-être croira t'il que cette rencontre n'est que le fruit du hasard. Un hasard d'humeur plutôt joueuse.

M'asseyant à même le sol pour lui montrer que je n'avais aucune intention de bouger que ce soit pour partir ou pour m'approcher de lui, je mets une main au-dessus de mes yeux pour les couvrir du soleil et commence à expliquer :

-Ecoute, je ne te veux pas de mal. Je te promets que je ne m'attendais pas à te croiser ici. En fait, j'ai emménagé à Bray il y a quelques mois et j'ai vu des clichés d'un ami photographe. J'ai juste voulu profiter d'un jour de congé pour jeter un œil à ces paysages en vrai. C'est lui qui m'a parlé de cette crique.

Cela ne semble pas suffisant pour l'apaiser. Ça peut se comprendre mais d'un côté, je préférerais que ce petit jeu ne dure pas un éternité. Je suis déjà assez contrainte de jouer la diplomate au gymnase quand il faut expliquer à une mère qu'on ne peut pas accepter que son enfant participe à une activité alors qu'il est malade et qu'il risque de contaminer les autres ou qu'il faut venir réclamer pour une énième fois leurs paiements mensuels aux mauvais payeurs... Je doute d'avoir spécialement la même patience pendant mes jours de congés, surtout que l'idée en venant ici était quand même de profiter d'un petit moment au calme pour me détendre en regardant les vagues et en utilisant mes pouvoirs histoire de décompresser.
Après, les occasions de rencontrer des tritons étant plutôt rares, je suis assez intriguée pour vouloir essayer. De plus, maintenant que ma visière me permet de distinguer un peu les contours du visage de mon interlocuteur, je suis un peu attendrie par ses traits juvéniles. Il doit avoir 17-18 ans au plus. Pas étonnant qu'il soit effrayé.

Peut-être est-ce parce que son visage m'inspire confiance que j'accepte de lâcher :

-Tu n'as pas à avoir peur. Nous sommes pareils toi et moi. Enfin, je veux dire... Je n'ai pas de queue de sirène mais disons que... Je peux déplacer des choses à distances, sans les toucher.

Si j'avoue être une tempestaire, je garde tout de même secrète mon affinité élémentaire. Outre l'aspect stratégique de la chose, je commence à me dire que vu les innombrables galets qui parsèment la plage, ce serait lui avouer ma potentielle puissance ici. Ce qui ne jouerais clairement pas en la faveur d'une discussion détendue. Si je peux au contraire feindre ne pas avoir spécialement de pouvoirs ici, ça pourra aider à le convaincre que je ne suis pas une menace pour lui.

-Je m'appelle Diane. Et toi ? Tu veux bien me dire ton nom ?
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