| Lun 23 Mai - 10:34 | | Nathanaël Gaspard Blackwood « UNE SUPER CITATION » Mes parents m'ont appelé Nathanaël Gaspard Blackwood ! Je suis né le 28 février 1991 à Inverness / Ecosse. Je suis un élément de 25 ans. Pour plus de précisions, je suis hétérosexuel et présentement célibataire. Je suis fier de dire que je travaille en tant que informaticien / chasseur / hacker , ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt riche On me dit souvent que je ressemble à Sam Claflin, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe des éléments de feu, et plus précisément je suis humain. Les petits détails
- Il est maniaque, pour un chambre de hacker, il n'y a pas de part de boites de pizzas se cachant sous le lit, ni ses affaires sales éparpillés un peu partout sur le sol. Chaque chose a sa place et chaque place a sa chose. - Il passe son temps à bricoler, trafiquer, cherchant à travailler sur de nouveaux systèmes, s'attaquant à de nouveaux logiciels ou pare-feux à passer pour décrypter des données confidentielles. - Une fois qu'il s'enferme dans sa bulle, sa geekosphère, il peut lui arriver de ne pas quitter son antre pendant plusieurs jours tant qu'il n'a pas réussi à accomplir sa tâche. - Il est fan de cinéma, des vieux films, de la science fiction. Il se cultive beaucoup dans le domaine de la littérature, de l'histoire, cherchant à connaître sur le bout des doigts les mythes et légendes qui souvent n'en sont pas. - Il ne boit pas, il ne fume pas. Il se gave cependant de sucrerie à longueur de journée. Il lui faut bien une addiction quand même. - Il a toujours sur lui, un petit ordinateur qu'il a adapté pour avoir tous les logiciels utilisables en cas de situation de crises et qu'ils doivent à nouveau prendre la fuite. Il a d'ailleurs sur lui dans le talon d'une de ses chaussures une clé usb contenant plusieurs fichiers concernant sa famille ou lien sur lesquels il ne veut pas qu'on mette la main dessus. - Il a une phobie, loin d'être viril, mais il déteste au plus au point les araignées. - Il ne met que des chaussures converses et se déplace souvent en trotinette. - Il a un tatouage au niveau de son poignet droit qui représente une boussole de cartographie ancienne. - Il a un chat avec lui qu'il a appelé Monsieur Spock. | caractère
Nathanaël est le contre-modèle de sa famille. Il est celui qui a sans aucun doute le plus d'humanité, prenant beaucoup de sa mère qui n'était nullement chasseuse avant de se marier. C'est sans doute pour ça qu'elle a tout fait pour le protéger, qu'elle l'a surprotégé, sans parler du fait qu'il était le petit dernier de la famille. Il a toujours voulu faire partager avec ses frères et sa sœur sa vision des choses, avec un peu plus de recul, avec moins de violence. Son grand cœur et sa générosité sont apparus comme étant une faiblesse aux yeux de son père surtout qui n'a cessé de s'acharner sur lui pour en faire un chasseur digne de porter le nom des Blackwood. Il déteste faire souffrir les autres de façon gratuite. Cependant, il a fini par accepter de faire son devoir à contre-coeur, essayant toujours de viser au mieux pour tuer ses victimes le plus rapidement possible, sans douleur. Mais c'est sans doute cela qui le fait être un chasseur redoutable, devant sa douceur incontestable, personne ne s'attend à ce qu'il puisse ôter la vie et qu'il l'ait fait plus d'une fois. Le regret étant toujours présent, il a su se mettre en retrait du terrain, se trouvant d'autres qualités pour servir au mieux leur cause, protégeant leur propre vie, en étant le technicien, le logisticien pour que personne ne puisse se mettre sur leurs traces. La mort de Lilith l'affecta beaucoup, même si durant toute son enfance, elle avait pris le parti de son père cherchant elle aussi à pousser son frère dans ses retranchements. Il remet tout en question concernant cette vie de chasseur, sans aucune doute s'il ne tenait pas tant à sa famille, il serait parti depuis longtemps, mais il n'aspire pas à perdre un autre membre de sa famille par sa faute. Trop protecteur avec son entourage, avec les créatures magiques dont il prend la défense, le jeune homme finit par s'oublier dans tout ça et il finira sans doute par se perdre lui-même. Il ne cesse cependant de rêver qu'un jour tout deviendra possible pour lui et qu'il partira dans un pays lointain, où l'important sera de célébrer la vie, de ne pas se prendre la tête, de profiter d'un soleil réconfortant, de pouvoir aller au cinéma, de faire du vélo le dimanche matin en famille. Il rêve un jour de pouvoir fonder une famille, de profiter de ses enfants, de sa femme et que la chasse ne soit qu'un horrible souvenir de son passé. |
on ne change pas le passé Égalité. Le monde ne semble avoir que ce mot à la bouche. Parfois, il s'accompagne de l'idée de liberté. Pour autant, si on regarde bien, notre monde est en tout point inégalitaire, la liberté est toute relative. Souvent, le chemin est déjà tracé, et il ne manque plus que de le suivre comme un simple mouton, sans illusion, sans espoir. Je ne vais pas être plus philosophe sur la question. Je laisse les grands hommes comme Socrate ou Platon vous expliquez bien mieux ces termes-là. Je crois que l'élément essentiel qu'il faut connaître sur moi, c'est que je fais partie d'une famille de chasseurs. A partir de ce moment-là, tout le reste de ma vie est lié à ce fait, dévier est impossible, chercher à disparaître vous promet de devenir la proie d'un autre chasseur, et les différents ne se règlent souvent que par la mort. Je suis le dernier fils d'une famille de quatre enfants : une fille devant supporter trois garçons. Pour autant, de nous deux, c'était sans aucun doute elle qui ressemblait le plus à nos frères. La différence n'est qu'une conséquence des principes que l'on nous inculque génération après génération. J'étais le petit dernier, et je dois dire aussi le boiteux de la famille. D'ailleurs je le suis toujours, je ne pense ni ne réagis comme eux. La violence appelle à la violence et si dans certains cas, il ne peut en être autrement, il ne faut pas sous-estimer la force des mots. Malheureusement je crois, n'avoir connu que de la violence dans ma famille et autour de moi depuis que je suis né. Comme si le fait d'être chasseur était une mission divine, que nous étions juges et bourreaux à la fois surpassant les lois morales à chaque instant. Pourtant, les monstres ne se cachaient pas forcément là où on le pense. Laissez moi vous raconter mon histoire.
J'aurais pu être comme eux, à vouloir me battre sans arrêt pour défendre mes idées, à payer le prix du sang et ne jamais chercher à aller plus loin, voir ce qui était au delà des apparences. Je m'étais démarqué depuis mon enfance, ce qui représentait une source de joie pour ma mère qui n'était devenue chasseuse qu'au moment de son mariage, mais qui était une honte pour mon père. Trop faible, à toujours voulu remettre les choses en cause. Il m'avait fait payer à bien des égards, cette maladresse qui me caractérisait, me poussant dans mes retranchements pour que je puisse mener à bien le combat de la même manière qu'eux. Le soutien de ma mère ne pouvait pas tenir face à la pression de la famille. Répondre à la menace, accomplir la tâche, puis disparaître du jour au lendemain, faire comme si nous n'avions jamais vécus jusqu'au moment où nous réapparaissions, une nouvelle identité en poche. La meilleure d'entre nous était Lilith, elle avait su prouver qu'elle avait sa place et qu'elle était une excellente chasseuse, chose que moi je n'avais pas su faire, et que je n'avais pas voulu gagner non plus. J'avais su trouver la parade au fil du temps, réussissant à m'éloigner par moment du terrain pour me concentrer sur une autre partie de notre travail. Les nouvelles technologies m'avaient toujours passionnés au plus haut point, c'était ma force, et autant dire que cela avait été un grand avantage pour la famille. Craquer les données, faire disparaître notre existence des fichiers les plus importants du pays, obtenir des papiers et bien d'autres choses qui étaient essentiels quand nous étions en cavale.
Car la cavale était sans doute l'élément le plus important de notre vie. Il n'était jamais facile de régler un différent avec une créature, de l'éliminer à chaque fois dans le plus grand des secrets. Il nous fallait souvent bouger pour ne pas être repéré. Mais la vie avait fait bien d'autres choses. Lilith avait été retrouvé morte un soir. Tout avait alors basculé, mes frères, mon père étaient partis en croisade, dans une fureur meurtrière qui ne faisait aucune distinction entre ceux qui représentaient un danger potentiel et des innocents. Même pour des chasseurs, il y avait des règles, des règles de plus en plus souvent enfreintes et d'importantes conséquences qu'ils n'étaient plus possible d'effacer. Une notre branche de notre famille avait été alors chargé de nous régler notre cas au plus vite, il avait fallu fuir. Plusieurs années à courir le pays, je masquais nos traces du mieux que je le pouvais, nous enchainions tous de petits boulots pour pouvoir subvenir à nos besoins principaux et maintenir un semblant de vie. Souvent, tout cela se faisait dans l'illégalité, mais nous avions dépassé ce point-là depuis bien longtemps déjà. Notre père finit par sombrer dans la folie, disparaissant aux yeux de tous du jour au lendemain même si je n'avais jamais vraiment perdu sa trace. Azraël était fort, il avait les épaules solides, il était celui qui permettait de maintenir la famille aussi soudée que possible alors que Balthazar lui suivait progressivement le chemin de notre père. Quant à moi, au grand damne de mon frère, je restais incroyablement humain. Refusant de devenir un meurtrier de masse, pour me venger d'une seule personne, tous n'avaient pas besoin de payer. Je n'aimais pas aller sur le terrain, si je prenais une vie, je le faisais uniquement par devoir envers ma famille, mais j'essayais toujours avant de trouver une faille pour éviter d'en arriver à cette extrémité-là.
Quatre ans de cavale, cela marque beaucoup, les esprits et les corps avaient finis par s'épuiser à la tâche et finalement il avait été décidé de reprendre leur vie d'avant à Bray, peut-être qu'ils trouveraient avec plus de chance celui qui avait pris la vie de leur sœur. La vérité vaut de prendre le risque de mourir pour elle, car c'est ce qui nous attendait possiblement en arrivant ici. Pour autant, beaucoup de choses avait changé en moi. Au fil de mes rencontres virtuelles, J'avais finis par être convaincu que le fait d'être chasseur n'était qu'une erreur, qu'il y avait moyen de cohabiter entre toutes les espèces sans chercher à éradiquer ceux qui nous dérangeaient. Après une rencontre avec une jeune femme que je qualifierais de toute particulière pour moi, j'avais pris mes dispositions et avait rejoins l'OBCM, dans l'idée de quitter à mon tour ma famille, prendre le pli de protéger les créatures que j'avais par longtemps traqué et vivre une vie libre sans que la chasse, la famille ne m'impose ce que je devais faire à chaque instant de ma vie. Je n'en ai parlé à personne, mais je crois bien que ma mère a perçu ce changement et je sens qu'elle cherche à m'aider à prendre mon envol et à fuir la folie qui à gagner notre vie. | Derrière l'écran
Je m'appelle Virginie, tout le monde sur la toile me surnomme Cilia, j'ai 23 ans et je suis du côté de notre ami Mickey (non je ne fais pas encore parti de la parade mais je m'entraîne pour les chorés xDD). Je suis prof (et ouais il en faut bien encore ^^ ne me taper pas je suis gentille) et sinon cela fait maintenant 12 ans que je fais du rp. Voilà voilà ^^ |
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