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 (-18) BRISEIS&BRÀN ζ I could be your worst nightmare about it

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or your true Paradise

FT. BRISEIS E. ISELEY


Si l’environnement était grisant pour la jeune femme, il l’était également pour lui qui constatait non sans une pointe de fierté l’effet qu’il avait réussi à lui prodiguer. Un sourire était apparu sur ses lèvres, les étirant doucement alors qu’il venait passer une tendre main dans ses cheveux bruns, dégageant par la même occasion la mèche rebelle qui était venue se coller sur son front couvert d’une fine pellicule de sueur. La voir ainsi le rendait heureux d’un incommensurable bonheur, fruit de la patience qu’il avait eu du mal à conserver intact pendant des mois. Pour autant, il ne pouvait nier les effets qu’elle avait sur lui, à force de voir et sentir son corps quémander autre chose, quémander bien plus que ce qu’il venait de lui offrir là. Assouvir aux besoins qu’elle exprimait sans s’en rendre compte n’était pas une option à prendre en compte s’il voulait réussir. Après tout, Briséis lui avait révélé par les mots sa crainte la plus tenace, et elle concernait belle et bien ce que son corps réclamait sans qu’elle ne le sache. Il eut donc une autre idée, quelque chose qui pourrait peut-être leur être bénéfique à tous les deux et leur permettre de partager une sorte d’amour malgré tout. Un compromis avant l’effort final qu’ils feraient un autre jour. A un autre moment. La jeune femme était dans un état de semi-conscience qui ne faisait que lui confirmer combien elle avait dû voir d’étoiles. Satisfait de son effet, il ne pouvait en revanche nier l’état d’urgence de ses propres envies qui grondaient en son for intérieur, si bien que la question s’échappa de ses lèvres sans qu’il ne puisse rien y faire. Envolée dans l’espace-temps, Bràn ne put qu’attendre la réponse de la brune, caressant toujours ses cheveux puis venant trouver ses lèvres en un énième et doucereux baiser auquel elle répondit plus lascivement.

Le loup profitait de chaque instant, conscient de l’innocence et de la semi-conscience de la jeune femme qui mettait du temps à redescendre sur terre, pourtant bien accrochée à son corps chaud, conservant sa main et le T-shirt contre sa gorge. Ses joues rosirent à nouveau sans qu’il ne puisse rien y faire, ce qui ne le fit que sourire un peu plus alors qu’il ne cessait de l’observer avec tendresse, un léger éclat d’envie dans les prunelles émeraude. Ce n’est que lorsqu’elle rouvrit enfin les yeux, voilés de la tempête qui avait gravi les échelons en son sein, et lorsqu’elle hocha doucement la tête qu’il comprit qu’il avait son accord. Déposant un autre baiser contre ses lèvres, conscient qu’il faudrait lui apprendre aussi l’étape supérieur des baisers beaucoup plus langoureux et avides, Bràn se rapprocha un peu plus d’elle, caressant d’une main le creux de son dos. Sa peau frémissait encore sous ses doigts, détail qui ne lui échappa pas et le rendit encore plus fier qu’au début. Lui apprendre à le comprendre lui, en revanche, ne serait pas une tâche des plus aisées, mais s’il était parvenu à lui faire découvrir cela, il réussirait probablement avec la suite non ?

D’un geste lent, il se débarrassa de son pantalon pour ne conserver que l’essentiel tout en continuant d’effleurer sa peau de sa seule main libre. « Ce n’est pas compliqué, ne t’en fais pas. ». Un murmure lâché au creux de son oreille tandis que sa main prisonnière dans la sienne la rapprochait déjà de lui et de son torse. Pour ne pas qu’elle soit trop perturbée, il vint attraper son autre main dans celle qui était libre jusqu’ici et inversa ainsi les positions initiales, libérant finalement la première captive pour mieux guider la sienne sur sa peau mise à nue. La chaleur qui s’insinuait dans ses veines ne manquerait pas de l’interpeller davantage à mesure qu’il l’observait droit dans les yeux et faisait doucement glisser la main féminine sur sa propre peau, lui montrant les gestes qu’il avait pu faire sur ses courbes au tout début de la manœuvre. Bràn y allait progressivement, comme il avait fait pour elle, mais déjà elle pourrait sentir sa peau frémir sous ses caresses et en comprendre les effets. Il descendit ainsi plusieurs secondes, remonta sa main comme ce qu’il avait pu lui faire afin de l’habituer aux gestes. Puis il entama la descente jusqu’aux abords du tissu restant, mimant encore une fois tout ce qu’il avait fait pour elle en ne faisant que le transposer sur lui. Sa peau devint encore plus chaude, réflexes gagnés par le fait de sentir sa main sur lui, chose qu’il n’avait encore jamais vraiment eu l’occasion de ressentir depuis le début de leur relation. Même lors de cette nuit qui avait tout compliqué. Il emmena ainsi, en douceur, sa main par-dessus le fameux tissu, effleurant le nécessaire avec tendresse et découverte progressive. Peu habitué de la lenteur, le loup dût toutefois reconnaître qu’à force de l’attendre, il en était devenu incroyablement sensible, au point de sentir son souffle devenir déjà un peu plus lourd.

Il lui montra les gestes plusieurs fois de suite en prenant le temps, avant de remonter sa main sur sa peau et outrepasser avec lenteur la barrière du tissu pour les contrées encore inexplorées. Cela faisait déjà plusieurs secondes qu’il se sentait plus que désireux, et elle n’aurait sans doute pas l’opportunité de comprendre pleinement les effets que son corps avait eus sur le sien, mais encore une fois, le métamorphe prit le temps de lui montrer, le doux va-et-vient des caresses et les réactions prodiguées. Il se mit bien assez tôt à soupirer dans le creux de son oreille, perturbé au point de ne plus pouvoir lâcher un seul mot. Serrant son autre main dans la sienne et entremêlant un peu plus leurs doigts, Bràn resta guide pendant quelques secondes supplémentaires avant de finalement la laisser faire. Il ne se faisait pas de soucis, elle avait forcément compris le geste et connaissait à présent les points les plus sensibles.

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❝SHE IS SO FULL OF DOUBTS❞

( c) texas-flood


Perdue dans un million d’étoiles, le monde s’effaça un instant qui lui paru à la fois éternel et si bref. Impressionnée, elle comprenait peu à peu ce qu’elle était censée ressentir. Et surtout, elle était rassurée de ne pas avoir besoin de revivre une fois de plus l’autre partie, celle qu’elle préférait maintenir à distance. Si elle avait su plus tôt qu’elle avait cette possibilité, elle aurait... Non. Non, elle n’en aurait pas profité mais elle aurait pu au moins ne pas forcément parler de mariage. Les choses auraient pu être différentes. Peut-être. Sa vision s’éclaircit légèrement quand une mèche de cheveux fut dégagée de son visage. Cette main dans ses cheveux était si tendre, elle voulait qu’elle continue à la coiffer, ou la décoiffer ou peu importe ce qu’elle faisait à vrai dire. Elle avait chaud aussi. Son coeur battait vite. C’était étrange, elle n’avait pas couru pourtant. Le sourire de Bràn, elle ne perçut pas vraiment, ni même sa fierté à avoir pu lui faire connaître quelque chose comme ça. D’ailleurs, c’était quoi ? Etait-ce vraiment ce qu’elle pensait ? Etait-ce ça dont tout le monde parlait ? Probablement. Elle comprenait mieux maintenant pourquoi l’on pouvait rechercher ce... Bonheur. Et ce, sans avoir conscience non plus que son corps lui était prêt à réclamer encore plus. Et qui venait de donner une idée au loup, bien décidé tout de même à ne pas endurer lui aussi une abstinence forcée. Après tout, Briseis n’avait jusque là eu aucune idée de ce qu’elle avait pu manquer alors que lui... Elle ne faisait qu’attiser son désir depuis quelques minutes, en toute innocence.

L’esprit encore un peu embrumé, il lui fallu de longues secondes pour comprendre sa question. Et un temps encore pour évaluer le risque. Il venait de lui donner quelque chose, ce n’était pas si étonnant qu’il lui réclame en retour. Certaines penseraient que ce n’était encore qu’un exemple de plus d’égoïsme. Il n’était pas capable de juste donner sans justement attendre en retour. D’autres, penseraient qu’en refusant, Briseis serait égoïste. Evidemment, toutes ces réflexions ne se jouaient pas dans son esprit, elle comprenait surtout que refuser, ce serait probablement rater une autre opportunité. Elle voulait vraiment savoir comment lui rendre ce don précieux. Toujours accrochée à lui, elle avait naturellement voulu le toucher. Intimidée par sa propre audace à accepter, elle se mit à rougir. Et à déglutir. Il l’embrassa encore. Le monde était le même. Ce fut sa constatation quand elle rouvrit les yeux. Non, il n’y avait pas de feux d’artifice dans la réalité, ni même de licornes à paillettes sautillant joyeusement tout autour d’eux. La réalité était toujours si... Décevante et... Des papillons lumineux qui... What ? Cette image qui venait de surgir dans son esprit avait l’air si... Réelle. Perturbée, elle sentit bien le loup se rapprocher d’elle et glisser une main dans son dos. Elle frissonna encore, refermant les yeux alors que d’autres choses luminescentes envahissaient son esprit. Elle ne remarqua même pas qu’il retirait son pantalon, elle sentait seulement les caresses qui la rendait toute chose. Un autre murmure à son oreille. Ne pas s’en faire. Elle avait déjà lâché prise alors elle ne chercha pas à prendre le contrôle. La main toujours dans celle du loup fut tirée en avant et posée sur quelque chose de ferme et chaud à la fois. Jusqu’à ce qu’il ne vienne chercher l’autre. Rouvrant les yeux, Briseis fut plongée dans un océan d’émeraude. Se laissant faire, elle eut l’impression que sa peau s’embrasait sous ses doigts. Comment est-ce que... ? Ses doigts fourmillaient alors qu’ils parcouraient le derme de son amant. C’était comme toucher quelque chose d’interdit. Elle se mordit nerveusement la lèvre, un réflexe. Et soudain ce fut comme si la peau essayait de fuir son contact, il... Frissonnait ? Détournant les yeux vers sa main, elle regarda si c’était vraiment ce qui arrivait mais ne put pas vraiment le confirmer à la seule vue. Elle déglutit encore. Elle n’allait pas y arriver. C’était au dessus de ses forces ça, c’était... Trop. Gardant les yeux loin de lui, elle sentit ses yeux s’humidifiaient. Oh my... Si elle se mettait à pleurer, il allait vraiment mal le prendre. Si elle ne pouvait pas lui rendre, tout allait être compliqué. Elle avait peur. Peur d’échouer, d’être nulle et de... Sauf que Bràn ne l’avait pas lâchée et la guidait toujours. Elle n’avait prêté aucune attention à ce qu’il venait de lui faire faire, ce qui ramena son attention sur l’instant présent ce fut le contact avec le tissus. C’était très intimidant. Briseis se souvenait très bien de ce qu’il y avait dans ce coin là, et la dernière fois, ça l’avait blessée. Elle avait eu mal. Elle bloqua sa respiration sans s’en rendre compte. C’était dur. Elle ne distinguait pas tout, à vrai dire, c’était pas vraiment quelque chose qu’elle voulait voir. C’était des caresses tendres et douces, rien de trop compliqué. Elle se laissait toujours faire. S’habituant peu à peu, elle souffla. Jusqu’à ce qu’il ne lui fasse outrepasser le tissus. Une alarme se mit à résonner dans sa tête. Sa main se raidit dans la sienne, signe qu’elle ne se sentait pas sûre de vouloir aller aussi loin. Pivoine, elle devint pâle. Son coeur tambourinait dans sa poitrine. Elle allait faire un arrêt cardiaque, elle n’allait pas y arriver ! Evitant toujours son regard, elle sentait des choses qu’elle... Ne comprenait pas vraiment. Des sensations encore nouvelles. Elle découvrait l’intimité de Bràn ou même d’un homme pour la toute première fois. C’était étrange. Si elle était courageuse, elle chercherait probablement à voir mais elle n’en était pas encore là. Les soupirs de Bràn dans son oreille lui rappellèrent les siens. Ressentait-il la même chose ? Il serra sa main un peu plus fort. Trop fort. Aow. Aucun son de plainte ne sortit de sa bouche, et quand elle le regarda, il avait fermé les yeux. Il ne bougeait plus sa main. Surprise, Briseis resta immobile quelques secondes avant de reprendre les gestes. C’était maladroit, et peut-être trop rapide mais elle voulait en finir vite. Elle n’avait pas dans l’idée de faire durer, à vrai dire elle ne savait pas encore comment on faisait ça aussi. S’apercevant de ses gestes un peu saccadés, elle prit sur elle et inspira avant d’essayer de reproduire exactement ce qu’il lui avait montré plus tôt.
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or your true Paradise

FT. BRISEIS E. ISELEY


Avec douceur et tendresse il prenait soin d’elle, se voulait le plus amoureux transi possible, le plus parfait et le meilleur de tous. Au fond, Bràn se faisait violence pour être ce qu’elle attendait de lui, du moins dans cette situation-là, car dans les autres et au quotidien il ne pouvait réellement balayer certaines mauvaises habitudes gagnées avec le temps. L’on ne se refaisait pas entièrement, quand bien même il ait toujours été adorable plus jeune. Ce n’est qu’une période sombre de son existence qui a pu le rendre aussi brute de décoffrage parfois. Période qui, certes, l’a également fait basculer du mauvais côté, celui de la tricherie, du mensonge et du vol. La facilité en somme. S’il ne faisait des efforts sur lui-même ce n’était que pour plaire à Briséis, et rien d’autre, son attitude envers le genre humain ne changeait pas pour autant. Pas entièrement, disons. Sans doute était-ce son côté loup qui voulait ça, mais il n’hésiterait pas à montrer les crocs en cas de besoin et pour la moindre chose contrariante. Pour l’heure, le métamorphe se contentait d’être incroyablement doux et la voir redescendre sur terre aussi lentement était un signe plus que positif pour lui. Mais voilà, inconsciemment, la jeune femme s’était mise à le chercher et maintenant il hésitait à entamer une deuxième phrase d’approche. N’y tenant plus, il essaya, posa la fameuse question sans être sincèrement sûr de réussir à lui expliquer avec les mots comment faire. Quand elle lui donna une réponse positive, le loup se sentit extrêmement soulagé mais honoré aussi d’une certaine manière. Elle lui faisait confiance, il la regagnait progressivement, pas à pas, même si elle avait toujours cette peur tapie en elle. Même si elle craignait toujours ce qui pouvait se cacher derrière la dernière barrière de tissu. A l’instar de la brune, lui qui n’avait déjà pas de haut, se retrouvait sans pantalon et c’était une chance qu’elle ne dise rien.

Quand il attrapa sa main dans la sienne pour mieux guider l’autre sur son propre corps, Bràn était à mille lieues de s’imaginer tous les éléments qui s’enchainaient dans la tête de Briséis. Ses doutes, ses craintes. Il n’entraperçut que ses joues rosies qu’il supposait rougir sous le coup de l’intimidation, mais il fit comme s’il n’avait rien vu, déposant un baiser sur ses lèvres et entremêlant leurs doigts. Un court instant, il promena son visage jusqu’au creux de son oreille pour lui murmurer que tout irait bien, et que ce n’était pas compliqué. Juste des caresses, comme pour elle. Lentement et doucement, il lui fit faire le même chemin que pour elle sur son torse, sa peau frissonnant au contact de la main de la brune sur son corps. C’était nouveau pour lui, du moins avec elle. Réitérant la manœuvre plusieurs fois, il ne la vit pas douter de plus belle alors qu’il dirigeait sa main plus au sud. Il ne se laissa toutefois pas perturber et continua doucement, lentement pour qu’elle s’imprègne des gestes, et ce n’est finalement que lorsqu’il outrepassa la barrière qu’il sentit la main féminine se crisper dans la sienne. La panique s’insufflait probablement déjà dans les veines de Briséis et Bràn ne demeura immobile qu’un court instant, montrant les caresses les unes après les autres sans jamais essayer quoi que ce soit d’autre. Le métamorphe avait tellement envie d’elle qu’il finit bientôt par ne même plus se rendre compte de l’angoisse qu’elle éprouvait intérieurement, sa main guide ayant lâché la sienne car trop concentré sur ses soupirs et ses ressentis pour voir le reste. Il perdait lentement pied, comme elle quelques minutes auparavant. Sans doute fut-ce ce qui la poussa à redevenir active et à essayer, car ce ne fut bientôt plus que les draps qu’il sentit dans sa main redevenue libre.

S’il y avait de la maladresse, le loup ne la décelait pas entièrement, soupirant davantage dans le creux de son oreille dès lors qu’elle s’était mise à le toucher à nouveau. Sans prévenir elle prit de la vitesse, ça le surpris sur le moment en se disant que Wow elle ne perdait pas de temps. Il voulut la faire ralentir mais en définitive elle allait tellement vite et il était déjà tellement sur la retenue qu’il ne put dire quoi que ce soit, juste complètement électrisé par ce qu’il se passait, sa main libre serrant définitivement les draps présents en dessous d’eux. Fronçant les sourcils bien que gardant les yeux fermés, Bràn se fiait à l’instinct et la laissait faire, de toute manière il n’était plus en état de dire quoi que ce soit et de prononcer un seul mot. Des soupirs lascifs s’envolaient dans les airs, bientôt rejoint par quelques gémissements qu’il ne pouvait retenir, la faute à l’abstinence forcée. Il perdait pied si vite que lorsqu’elle ralentit pour reproduire les gestes montrés précédemment, cela ne fit que ralentir un peu le moment fatidique pour son plus grand bonheur. Entre deux soupirs, il déglutit, sa main venant finalement reprendre sa course sur la peau de la jeune femme, effleurant ses cheveux puis sa joue, descendant le long de son dos et se crispant légèrement à cet endroit au moment où un autre gémissement quittait ses lèvres.

Son attitude n’avait encore une fois rien de menaçant et il profitait de l’instant jusqu’à ce qu’il se sente déborder, envahit par cette sensation grisante qui avait un goût de neuf par rapport au quotidien devenu bien trop omniprésent. Cette fois-ci ils avaient franchi un cap, et quel cap. Bràn accorda à Briséis ce qu’elle réclamait, c’est-à-dire une fin plus rapide car elle ne souhaitait pas s’éterniser, bien trop gêner pour faire quoi que ce soit d’autre. Ce n’était pas grave, elle découvrait. Lorsqu’il se sentit arriver trop près du précipice, contractant ses muscles, il récupéra sa main dans la sienne et la guida à nouveau, juste au cas où. Dans un dernier élan de crispation, un long soupir s’échappa d’entre ses lèvres. Son rythme cardiaque s’était à son tour emballé, ses iris complètement dilatées et il n’y avait plus qu’un sentiment de plénitude qu’il avait perdu de vue depuis longtemps. Il aurait voulu lâcher un Oh my god significatif mais il se souvint de justesse que ce ne serait clairement pas approprié dans ce genre de situation… Du moins vis-à-vis d’elle. Alors il se contenta de souffler pour mieux reprendre son souffle, soudainement épuisé par tant de pression et de concentration le long de la manœuvre entreprise. Apprendre à quelqu’un ce n’était véritablement pas évident… Mais Briséis était normale en soi, et il avait réussi à la guider jusqu’à ce ciel tant recherché. Enfin, elle allait comprendre. Il espérait. Un nouveau sourire naquit sur ses lèvres avant qu’il ne l’embrasse et se laisse retombé sur le matelas.
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