Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

 

 (alrak&skye) the wolves, they howl no more

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
avatar
Invité


       
       alrak & skye
       the wolves, they howl no more.

   
C
es nuits où les rêves s’échappent et où le sommeil n’est plus que lointain souvenir. Ces nuits où les rêves reviennent et où passé se mêle au présent, où les cauchemars se superposent et deviennent réalité. Ces nuits où tu ne peux rester dans un lit devenue mer de sueur. Ces nuits où le vent t’appelle et la noirceur t’attire. Un pas sur le parquet devenu froid sous la fraîcheur étoilé, deux pattes blanches sous le rayon d’une lune pleine. Mon corps s’ébouriffe, s’étire. Il n’est pas rare de me voir parcourir les bois sous les étoiles, le sommeil m’évite ou j’évite le sommeil, et mon corps qui s’élance entre les arbres, le vent contre un museau froid, la fraîcheur s’entremêlant à ma fourrure. Il me porte seul, connaissant chaque arbres, buissons, brindilles dans le moindre recoin de ses veines, de son âme. Mon renard n’est jamais aussi heureux que dehors, respirant l’air frais, goûtant la liberté. Trop longtemps enfermé, il grognait, griffait, mordais pour sentir sous ses pattes autres choses que le béton froid, pour respirer la forêt et les arbres, la brume et la pluie. Mais, cette nuit, le silence le calmais, alors que même les loups ne hurlaient pas, que le gargouillis de la rivière, le  sifflement du vent dans les arbres, mon âme qui chantait sa liberté

Je m'assoyais sur une roche, petite queue blanche entourant mes pattes, admirant la voie lactée, brillant de milles feux dans une nuit noire. Les étoiles. Trop longtemps oubliée, perdue, disparue de ma vie. Aujourd’hui mon âme se trouvais réconforter à leurs vue. Ma liberté n'atteignait jamais son plein potentielle qu’en présence de points lumineux. Ici, oui ici, serais un bon endroit pour dormir. Parce que les étoiles pourront garder le passé à distance, parce que le chant de la rivière calmais mon âme. Mon museau se posa sur une patte, une queue touffue se balançant dans le vide. La liberté. Mon âme songea à celle d’un autre, celui qui rafistolais mon coeur cassé, celui dont le regard se superposait au mien, semblable, différent. Je ne lui avouerais certainement pas, mais il plaisais à mon renard, seul un autre homme avait plus à mon renard et il me croyais morte depuis bien trop longtemps, il faisais partie d’un passé qui ne pourrais jamais se mêler à mon présent. Mes yeux se ferment, mon âme partit explorer des recoins d’espoirs. C’était étrange. Depuis mon arrivée à Bray, je me sentais presque normale. L’espoir qui gagnait mes veines, il n’en savait peut-être rien, mais c’était Ezeckiel qui en était responsable. Similarité, différence. Ils se ressemblaient tellement, mais ils étaient tellement différent. Cette sauvagerie qui déchire l’âme, cette bataille constante contre la vie, contre les jeux d’un destin indifférents à leurs tourments. L’un ne remplaçait pas l’autre, mais mon âme pouvais bien se contenter de l’un ou l’autre, tant qu’une amitié persistais.

Un bruit, un craquement. Mon renard disparu, ma coquille humaine trouvant rapidement le petit tas de vêtements caché sous la roche. Couteau sous la main, mon âme se mit réveilla,  à l’écoute. Un humain, mais il était bon. Seul cette petite erreur l’avais compromis, le silence régnait de nouveau. Mon coeur battait, la peur sous la peau, rugissant, mais aujourd’hui, après tant de crainte et d’horreur et de peur dans une vie trop courte, elle me calmais. Trouvant du réconfort dans le battement frénétique de mon coeur, de celui-ci qui se répercutait avec frénésie dans ma cage thoracique. Il ne me vit pas arriver, mais couteau sur la gorge, il ne pouvais m’ignorer.
WILDBIRD
     
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité

Une rencontre original pour des personnes originaux
Alrak & Skye


Parfois les nuits sans lune apparaissent au détour d'une journée, ces moments sont magiques et irréels. La vie sur cette terre a surement démarré ainsi, mais qui suis-je pour le savoir? Un simple Ours en quête de réponse bien évidemment. Je n'est pas vraiment mile ans au compteur, sauf que des fois j'ai bien l'impression de ne pas vraiment faire partie de ce monde ou en tout cas de ce cycle qui régie toute vie ici bas. Ce n'est pas facile de trouver sa place ou son chemin, mais je m'emploie à y réussir.

Cela parait bien impossible la plupart du temps avec toute cette haine et toutes ces horreurs qui font de nous des êtres humains. J'aimerais bien en être débarrassé une bonne fois pour toutes. Je dois être trop lâche pour passer de l'autre côté. Il est vrai que je ne suis pas seul, il y a Simone... Simone je ne sais plus quoi pensée d'elle. Je pense qu'elle a le don pour me faire tourner en bourrique. C'est une forte tête mais elle est tellement attachante.

Un bref frisson me parcourra le corps.

Non, je ne dois pas y pensée, je suis sensé faire mon footing du matin pas m'arrêter sur les détails de ma vie. D'un coup mes muscles se bandèrent et mes jambes me propulsèrent à bonne allure au milieu de la végétation environnante. L'air frais me faisait toujours autant de bien. Que c'est bon de se sentir vivant au milieu de toutes cette vie. La nature, c'est bien une des seules choses que j'ai envie de protéger. Elle au moins, elle ne vous juge pas. Elle vous accepte, peu importe votre taille ou votre physique, vous serez toujours aussi petit en face d'elle. C'est elle qui régit notre monde et non tous ces aristocrates détestables qui tirent les fils du haut de leurs podiums soi-disant étoilés. Ils ne connaissent pas la véritable existence qui vaut la peine d'être vécue.

Mes pieds se mirent à donner de plus de vitesse au reste de membres à cause de toutes cette colère qu'il me fallait absolument évacuer. Des griffes commencer même à sortir du bout de mes chaussures, mais d'un coup, tout mon corps s'arrêta pile sur une brindille qui craqua sous mon poids. Mes poings se serrèrent et se desserrèrent dans un mouvement quasi surhumain pour me calmer.

Je dois contrôler la bête en moi, c'est ce que j'essaye de faire tous les jours, mais ce n'est pas choses faciles quand vous avez un coloc pour partenaire dans votre crâne. Sans m'en apercevoir, un couteau apparut sur ma gorge. La délivrance ? Non, une petite main se trouver au bout du manche. Enfin, petite main oui si on compare avec mes grosses paluches d'Homme-ours. Heureusement cette arme, me permit de stopper toute envie de me transformer en ours. Je devais garder mon secret, peu importe le prix. Personne ne devait jamais savoir ce qui dormait au fond de moi.

Au bout de plusieurs minutes, le silence était toujours présent. Non, je n'avais pas peur de mourir. C'était bien une des seules choses que j'attendais et oui la taille n'indique pas forcément notre envie de mourir. Ne n'y tenant plus, J'adressai la parole à mon agresseur présumé.

Vous savez, si vous souhaitez me tuer. Je vous demande de vous dépêcher, je ne souhaite pas m'attarder ici.

Sans vraiment attendre de réponse, je saisis son bras d'un coup rapide pour me dégager de cette étreinte. Ma main n'ut aucun mal à saisir le manche du couteau et sa main. En parti à cause de sa grande surface. Sans demander mon reste, je fis passer son bras au-dessus de ma tête avant de faire quelques pas en avant pour me retourner ensuite et m'assoir en position indienne. Juste en face d'elle, mes coudes se positionnèrent prestement sur mes genoux et mes mains se s'arrêtèrent juste sous mon menton pour l'accueillir.

Je vais vous poser une seule et unique question. Voulez-vous me tuer ? Si oui, faites-le.

Tout en restant assis, mes bras s'ouvrirent en grand de chaque côté de mon corps. Bien que je sois dans une situation quelques peu délicates, je n'avais pas vraiment peur vu que je n'avais rien à perdre. Enfin, mon regard resta fixer sur celui de cette belle étrangère et on dirait bien que je l'avais quelque peu choqué.
AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité



alrak & skye
the wolves, they howl no more.

C
ette vie qui te regarde de haut, qui te fixe d’un air narquois alors que tu te débat pour t’échapper de son emprise. Je connaissais bien cette indifférence entre vie et mort, mais jamais je ne l’ai laissé s’approcher de moi si prêt sans rien faire, comme l’homme devant moi semblait faire. Une part de moi eu envie de combler son souhait silencieux. Mais tout ce sang sur mes mains, innocents, coupable, peu importe, il était bien lourd à porté, mon âme cassée n’avais pas besoin d’une charge en plus. Depuis mon arrivé dans cette ville, il me semblait parfois voir un changement au plus profond de mon être, il fut un temps où je n’aurais pas hésité, il serait mort et j’aurais poser les questions après, parce que dans mon monde, pour survivre, il n’y as pas de seconde chance. Je fermais mes yeux, l’espace d’un instant. Le reflet de la lame disparut, enfoui dans son étui enroulé autour d’un mollet. Mon regard se porta sur lui, détaillant chaque trait, chaque marque. Assis, comme ça, en indien, il ne semble plus aussi grand, aussi massif. Aussi grand que je suis petite. Si je n’avais pas conscience en mes habilité, j’imagine que je me sentirais tel une souris, insignifiante, vulnérable, mais être petite as bien des avantages.

‘’Si c’est le suicide que tu cherche, va ailleurs.’’

Ces mots sèches, craché comme du venin, je n’aurais jamais de respect pour ceux qui ne se battent pas. On n’as qu’une chance, une vie. Mais je pouvais comprendre cette indifférence. Il fût un temps où je dansais avec la mort, elle et moi, côte à côte, se tenant pas la main. Je ne la cherchais pas, mais sa compagnie me poussais à vivre, à l’apercevoir une nouvelle fois, juste une. Mais cette homme face à moi, assis, indifférent. Il était un peu comme moi, avant, maintenant. Si la mort vient, elle viendras. Et cet homme m’intriguais. Alors je me mis en indien face à lui, repliant mes jambes sous moi. On ne m’intriguait plus souvent, j’avais trop vu trop jeune. Une jalousie qui me triturais les tripes lorsque je voyais ceux qui avait encore une innocence perceptible, comme si la vie n’était qu’arc-en-ciel et licorne. Parfois, j’aimerais avoir cette innocence qui rend les blancs plus blancs et les noirs plus noirs, mais l’ai-je jamais eu? Il n’y as plus de blanc, ni de noir dans mon monde. Tout est en nuance de gris, cinquante plus exactement.

‘’Qu’est que vous faites par ici?’’

C’était mon territoire, mon espace de rêve et de paix. Et même si parfois, il m’arrivais de le partager, mais je ne connaissait pas cet homme. L’endroit étais si reculé, si escarpé, peu tentais le voyage, peu voulais tenter le voyage. Je m’y étais cru à l’abri, mais j’aurais du le savoir qu’il n’y as nul endroit sur terre qui méritais cette épellation. Mon erreur. Une que je ne répéterais pas une deuxième fois. Mon corps semblait détendu, mais j’avais pleinement conscience de mes veines qui pompaient le sang plus rapidement, de ma main sur le manche, de mon renard prêt à sauter sur l’homme devant moi. Il envahissais mon territoire, mon espace, mon terrain, même s’il ne m’appartenait pas complètement. Et même si je le contrôlais un peu, l’envie me démangeait. Il voulais voir la mort de toute façon n’est-ce pas?
WILDBIRD
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité

Une rencontre original pour des personnes originaux
Alrak & Skye


Je ne souhaite pas réellement mourir. Je sais juste une chose, même si ma vie arrive à son terme. Il y aura bien peu de gens qui pleureront ma mort. Sauf peut-être Simone... Pour elle oui, je me battrais, mais face à cette femme, quelque chose me disait que je n'avais rien à craindre d'elle. Quelque part, je préférerais autant mourir sans personne autour de moi. Au moins, on ne me regrettera pas. Oui c'est la solution facile d'attendre la mort bien gentiment, mais parfois on perd aussi l'envie de se battre. Pourquoi se battre quand on n'a rien à protéger ? Ou plutôt quand on a tout perdu... Je me rends bien compte que je ne suis pas le plus malheureux des hommanimaux, c'est juste que la solitude commence à me peser à force... Je me suis trop retrouvé seul ces dernières années pour pouvoir vraiment arriver à surmonter toutes ces angoisses et ces peurs au fond de moi. Bien peu de gens comprennent réellement ce que je suis sous ma cuirasse de géant. J'ai beau faire dans les deux mètres de haut. Je reste avant tout une personne avec un cœur plutôt sensible même.

Je ne savais pas si je devais me confier ou non à la personne en face de moi, mais le fait qu'elle s'asseye en face de moi après avoir rengainé sa lame me faisait pensée que ma dernière heure n'était pas encore arrivée.

Alors comme ça, elle avait pris ma proposition comme une invitation au meurtre. Il est vrai que c'était un peu le cas, mais bon il faut essayer de me comprendre aussi.

-Bonjour tout d'abord.

Un sourire franc traversa mon visage face à la dureté de la jolie demoiselle.

-Je me nomme Alrak et vous m'avez quelques peut déranger pendant mon footing habituel. Je suis le garde forestier de ce magnifique endroit et je ne cherchais ici que la solitude. En plus de la présence rassurante de la forêt.

Un visage amical et rassurant s'afficha sur mon visage. Après une petite pause, je me remis à parler.

-Je vais commencer par te tutoyer si tu le permets. Je n'est pas l'habitude de parler avec des gens aussi respectueux ces temps-ci. Maintenant que je t'est expliquer la raison de ma précense ici. Peux-tu me dire pourquoi tu m'as menacé avec ton couteau et pourquoi tu ne m'as pas tué ou tout simplement égorger ensuite?

Mon visage se ferma ensuite sans pour autant exprimer une quelconque agressivité dans ma posture.

AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité



alrak & skye
the wolves, they howl no more.

U

n moment alors que la musique du silence résonnait entre nous alors que j’essayais de calmer la bête en moi, profitant de la chaleur de la lune et de la lumière des étoiles. J’avais envie de fermer les yeux pour m’allonger dans la liberté, me repaître de nature et de voie lactée. Ma tête se penchant sur le côté alors qu’il me saluait. Mon couteau avait été sur sa gorge moins de quelques seconde auparavant et déjà il semblait l’avoir oublié. Ou pas. Sourire carnassier qui étirais mes lèvres.

‘’On m’appelle Skye.’’

Un grognement qui sortit de ma gorge, un avertissement. Mon animal avait toujours été proche, rôdant sous ma peau en permanence, tel un prédateur en manque de proies, mais à cet instant précis, il semblait prendre le contrôle sans même y revoir à deux fois. Je voulais le sommer de se calmer, mais sa colère d’être envahit semblait prendre le dessus sur le miens.

‘’C’est mon territoire.’’

Je n’allais pas expliquer pourquoi je ne l’avais pas tuer, parce qu’il me troublait, parce qu’il était étrange d’attendre la mort comme cela, parce qu’il me ressemblait dans cette manière de na pas être effrayé pas la fin, par la vie qui s’éteint. D’un sens, il me ressemblait sur certains point, dans cette façon d’être sans ce soucier de la noirceur qui rôde. Pas que je ne m’en soucis pas, elle est toujours là, près de moi, surveillant mes faits et gestes, tel un animal assoiffé, attendant la moindre erreur qui me ferait trébucher. Je ne lui expliquerais pas, parce que ce n’est pas aussi simple, parce que rien ne change et tout change, parce que j’aimais les surprises et les rebondissements, j’aimais sentir l’odeur d’un autre homme, ses doigts sur ma peau, son âme contre la mienne, dansant dans l’éternité. Et malgré tout, malgré le vent qui change et la mer qui monte, tout reste semblable, et mon âme est resté la même, dans sa douleur et ses peurs, dans ce moment bien précis où la mort et la vie n’apporte pas plus d’intérêt l’un que l’autre. Et même si je sais que je ne suis plus seule, que que mon coeur est enveloppé d’une chaleur externe et que la vie à beaucoup plus de sens que la mort, mon âme est toujours à cet endroit, sur ce fil, balançant sur la route entre la vie et la mort. Je le sens chez l’homme devant moi et le renard en moi est intrigué par cette ressemblance. Alors il se calme, se rassied, intrigué. Comme moi, observant et analysant, curieux de cet ressemblance. Elle n’était pas aussi poussé qu’avec Ezeckiel, pas aussi profonde, mais elle existait, vivait. Je ne saurais être capable de mettre en mot le pourquoi du comment, je ne pourrais lui expliquer pourquoi je ne l’ai pas tuer.

‘’Tu m’as surprise’’

C’est tout ce que je peux lui dire, tout ce que mon esprit est capable de dire dans le méli-mélo qui as emparé mon âme depuis qu’un autre homme l’as envahit.
WILDBIRD
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité

Une rencontre original pour des personnes originaux
Alrak & Skye


Skye, ce nom ne me disait absolument rien. Je ne connaissais en tout cas personne qui portait ce nom. Je ne me rappelais pas non plu l'avoir entendu quelques parts dans Bray. Elle était surement de la région tout de même vu qu'elle connaissait ce coin reculer de la forêt. C'est vrai que pour être tranquille et en paix. C'est surement l'une des meilleures destinations de Bray. Peu de gens circulaient dans les environs. Enfin, je ne vois pas surtout pas à quoi ça pourrait leur servir. Ralala, les gens sont bien superficiels de nos jours... À part leurs petits train-trains quotidiens, il y en a très peu à qui il viendrait l'idée d'aider une vieille dame à passer d'un trottoir à l'autre.... Enfin, la faute vient surtout des dernières générations. Avant, tout le monde était plus ou moins proche de la nature, mais on avait tous un minimum de contact avec les arbres, le vent, la pluie et tout le reste. Maintenant, tout n'est plus que béton, armes blanches, violence, internet, pollution et j'en passe des vertes et des pas murs. Toujours est-il que Skye ne fait surement pas partie de cette catégorie là. Non, j'en suis même sur et certain.

Quand un petit grognement sortit de la bouche de la jeune demoiselle, un déclic se fit dans mon esprit. Elle aussi était une métamorphe. Au fond, j'en étais sur et certain. Sinon, pourquoi aller en pleine forêt au milieu d'arbre et de danger en truite genre? Elle faisait partie de  ma race! Même si je ne savais pas exactement à quelle branche elle appartenait au niveau de son esprit animalier. Mon ours intérieur s'exitat à l'idée de rencontrer l'un de ses congénères. Il n'était pas excité dans le sens violent. C'était plus une envie de rencontrer quelqu'un qui le comprendrait. Des tremblements me traversèrent de par en part même s'ils étaient invisible à l'oil nue. Je les ressentais de plus en présent au fond de moi. Je ne voulais pas me dévoiler, vraiment pas. Je ne la connaissais pas. Je ne savais que son nom, mais je n'avais pas encore un contrôle total sur l'animal en moi. Il se faisait de plus en plus présent. Il voulait sortir, il me forçait à le faire en s moment même. Mes doigts commençaient même à se transformer en griffes... N'y tenant plus, je me suis levais d'un coup sec sans même entendre ses dernières paroles.

Je sais qui vous êtes, ou en tout cas je sais à quelles races vous appartenait en se monde. Je m'excuse d'avance pour tout ce qui va se passer ensuite, mais sacher qu'il ne vous ferra pas de mal. Alors rester, ne vous enfuyez pas. Je vous en prie.

Sans même attendre sa réponse, je suis dépêcher d'aller me déshabiller derrière un arbre... Oui je ne pouvais plus le retenir, mais je pouvais au moins le retenir le temps de me déshabiller. Mon corps est peut-être déjà assez grand, mais je tenais tout de mémé a garder des vêtements intacts. J'en avais déjà déchirer hier, ça suffisait pour la semaine.

Une fois complètement nue, l'ours sorti d'un coup. Il voulait sentir la terre et tout ce qui l'entourait. Je me trouvais toujours aux commandes, mais maintenant j'étais devenu bien plus imposant qu'il y a quelques minutes... Je sortis du couvert des arbres pour me retrouver juste en face d'une Skye étonner par ce qu'elle avait sous les yeux... Enfin, c'est ce que je voyais avec mes yeux d'ours...


AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité


       
       alrak & skye
       the wolves, they howl no more.

   
U

n instant dans l’air du temps, le silence qui régnait, vibrant entre nos deux corps. Je le savais, que ce grognement, plus animal qu’humain, avait été une erreur. Je n’étais pas si stupide, je ne pouvais pas être aussi stupide. Au fond de moi, j'eus envie de me gifler, de me dire qu’il n’avais peut-être rien entendu, mais ce silence, pesant, lourd qui régnait. Mon être sur ses gardes de nouveau alors que ce même silence continuais entre les chants de la nature. Mon renard s’agitait, près à mordre. Je fixais l’homme devant moi, cette boule dans mon estomac remontant en moi, pendant l’espace d’un instant la faible peur qu’il soit avec le centre vint effleurer mon esprit, pour s’évaporer aussitôt, ce n’était pas leurs techniques. L’homme se releva, marmonnant qu’il savait que j’étais une métamorphe, de ne pas me sauvez. Un regard rempli de questionnement, perplexe, alors que la terreur envahissait mon âme, alors que cette vague pensée me martelais l’esprit. Je le savais bien qu’un jour ils allaient me retrouver, qu’un jour j’allais de nouveau me retrouver dans leurs griffes, envahit par les ténèbres, envahit par la mort, et je savais que lorsque ce jour viendrais, il ne me resterais plus que les souvenirs pour me raccroché à mon humanité, je n’allais pas m’en sortir complète, c’était impossible, pas là bas, pas au centre. Mon envie de partir, de m’éloigner, de fuir, je la combat, parce que je ne serais pas moi si je fuyais, cette lâcheté, cette faiblesse, si je n’avais pas été un moindrement forte, je n’aurais pas survécut, enterrer six pieds sous terres.

Un mouvement alors que l’homme revenait, du moins, l’ours. J'écarquillais les yeux l’espace d’un instant, un infime mouvement sur mon visage de pierre, je ne m’étais pas attendu à cela. Et même si la menace du centre planais toujours, j'eus cette soudaine envie irrépressible de rire. Cette drôle d’émotion que je n’avais jamais réellement expérimentez avant, jamais ressentit, elle était apparu en même temps qu’un autre homme, un autre métamorphes. Un sourire qui étire mes lèvres, un autre. Alors je me levais à mon tour, sans dire un mot, me cachant derrière les arbres, je me transformais à mon tour, petite boule blanche, petit renard dans l’ombre d’un ours géant. Mais je n’en avais cure, cette petitesse avait toujours été un avantage. J’allais m’asseoir devant l’énorme bête, une drôle de grimace qui semblait être un sourire, les yeux pétillants. Le renard avait envie de jouer, lui qui venait de découvrir les joies des jeux. Mon âme était triste pour mon renard, pour la fillette, eux qui avait vécu dans la douleur et la mort, eux qui n’avais jamais appris à vivre, à aimer, à voir la lumière, et même si j’avais voulue leur offrir cette vie qui n’avais pas été la mienne, je me noyais toujours dans la noirceur de mon être, rescapée par un seul rayon de soleil. Une queue touffu secouait la terre, faisant virevoltez la poussière, il voulais jouer. Et une flamme d'espoir s'illumina au fond de mon être. 
WILDBIRD
 
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
 
(alrak&skye) the wolves, they howl no more
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» ALRAK C. KINDARAN
» Une nuit, Une rencontre! (Alrak&Phoebe)
» Quand l'imagination prend le dessus sur la raison (Alrak & Scylla)
» <skye> Résistance
» Skye Kinkaid

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
► URBAN LEGENDS :: Les écrits-