Alexander M. Fitzpatrick

nom Fitzpatrick prénom Alexander Malcolm âge 29 années lieu et date de naissance Irlande, 28 Décembre 1987 orientation sexuelle Hétérosexuel statut marital Célibataire métier/études Officier de police judiciaire situation financière Aisé de par sa famille que par sa généreuse rémunération organisation OBCM ftPaul Wesley

La première chose que l’on remarquait chez Alex était son don pour faire rire les autres. Qu’importe les situations, il arrivait toujours à redonner le sourire aux autres. C’était touchant, jusqu’à ce qu’il arrive à l’école et qu’il continue de faire rire ses camarades ; faisant beaucoup moins rire ses professeurs.
Après que sa petite sœur soit née, une partie de lui a développé un côté protecteur. Il voulait la protéger de ce qui pouvait arriver dans ce monde. Ce sentiment s’est ensuite amplifié et il a décidé d’entrer dans la police pour pouvoir exercer comme il se doit cette aide qu’il propose à tous et chacun.
Malgré son côté sociale et empathique, le blond ne se livre pas à toute personne se trouvant sur son chemin. Son animal totem étant un animal des plus solitaires, il a toujours un besoin de se retrouver seul, ou de travailler en solo. Cette part de solitude lui permet de rester secret vis-à-vis de ce qu’il se passe dans sa vie, son côté surnaturel.
Alexander est assez impulsif (parfois même colérique), loyal et déterminé. S’il voit une personne qu’il connait (ou non) être en difficulté, il n’hésite pas une seconde avant de foncer dans le tas, quitte à en ressortir couvert de blessure. Cet aspect ne lui a pas facilité la vie lorsqu’au lycée, il démarra quelques bagarres, le faisant exclure de son établissement après un certain nombre.
Pouvoir se transformer en jaguar lui a permis de développer d’autres sens qui lui sont pratique, ou non. Il est devenu assez méthodique, capable d’établir des plans de chasses, entrainant une certaine forme de stratège. Parfois nécessitant beaucoup de patience ; à l’inverse de son côté impulsif, il arrive à savoir quand agir pour réussir son coup. Il est tenace et a acquérit  une confiance en lui importante.
Protecteur – Déterminé – Drôle – Stratège – Solitaire – Colérique – Curieux – Combattif – Empathique - Impulsif – Secret – Patient – Tenace – Méthodique – Souriant – Confiant – Dur – Généreux – Autonome – Loyal

C’est étrange, cette vie que l’on a. On ne se rappelle pas de ce qu’il se passe dans le ventre de notre mère, de notre premier souffle ou de notre premier pas. On ignore notre premier mot, ou ce qu’on a pu faire alors que nous n’avions pas conscience de nous-même. Nous n’avons pas conscience des mots que nous apprenons chaque jour, ni du sens qu’il y a derrière. Nous n’avons pas conscience que cette femme qui nous prends dans ses bras est notre mère, ou que celui qui joue avec nous est notre père. Pour autant, nous ne nous sentons pas en danger. Un lien étrange nous lie, oui, mais pourquoi ? Serait-ce une manière de pouvoir nous retrouver ? Savoir que nous sommes à notre place ?
Alexander ne se rappelle de rien avant ses cinq ans. Il ne sait pas quel jouet a été son préféré, ni s’il avait une berceuse que sa mère lui chantait pour s’endormir. Rien. Il sait juste que du jour au lendemain, il a pris conscience qu’il était dans une famille aimante. Qu’il avait un frère un petit peu plus jeune que lui, que sa mère aimait peindre et que son père travaillait beaucoup mais qui passait le reste de son temps libre avec lui. Que ses grands parents avaient une bibliothèque et qu’ils lui donnaient une sucrerie lorsqu’ils se voyaient. Il se rappelle qu’après ses sept ans, une nouvelle tête est venue s’ajouter à la fratrie, une petite fille. Il se rappelle avoir pensé à sa petite taille, à sa vulnérabilité face au monde, et qu’à cet instant il décida de la prendre sous son aile, qu’il l’a protégerait quoi qu’il arrive. L’enfant appréciait cette famille dont il faisait entièrement parti. Il se bagarrait avec son petit frère, protégeait dans un premier temps sa petite sœur. Le temps passait, Aisling grandissait, lui aussi. Il travaillait bien à l’école, bien que son côté farceur lui valait les représailles des instituteurs.
C’est au collège que cette petite tranquillité changea. Il était avec son père, se disputant au sujet d’une broutille lorsque, perdant son calme, son sang bouilla en lui. C’était une sensation atroce ; il ne comprenait pas pourquoi cette colère était si douloureuse. Et par un sort dont il ne comprit rien, il se transforma en quelques secondes en un jaguar de taille moyenne, pas encore au sommet de sa force, mais pas pour autant un bébé. Son père semblait au bord de la crise de nerf en trouvant son fils ainsi ; il ne savait plus quoi faire, et la peur prit le dessus sur la colère. Tandis qu’il ne savait quoi faire, Alexander poussait de petits miaulements de douleur. Il ne dura pas plus d’une heure dans cette forme. Il se retrouvait épuisé et courbaturé, et totalement perdu. Quelques jours plus tard, alors qu’il demandait une énième fois à son paternel comment cela avait pu se produire, ce dernier lui avoua d’une part son incapacité à répondre, et de l’autre la raison de celle-ci : son adoption. Le père confia au fils les circonstances dans lesquels lui et sa femme décidèrent de garder cet orphelin dont la mère avait disparu et dont le père s’était tué dans un accident de voiture.
Alexander mit un certain temps à accepter ce fait, il n’en parlait pas, puisque ni son frère ni sa sœur n’étaient au courant. Une certaine peur d’être rejeté lui faisait garder ce secret. Une angoisse plus grande concernait ce don dont il n’avait aucune connaissance, et surtout, aucune maîtrise. Il comprit au fur et à mesure que ses émotions pouvaient agir sur le déclenchement de la transformation, jusqu’à ce qu’il apprenne à contrôler de plus souvent quand il souhaitait se transformer ou non. Malgré tout, restant de nature de sang chaud, il déclencha beaucoup de bagarre ; l’une d’elle faillit déclencher sa transformation avant qu’ils ne soient séparés. Après cela, son père le força à prendre des cours de boxe pour gérer cette impulsivité marqué par la colère.  Le jaguar est un être solitaire, ce trait de caractère a influé sur celui du jeune homme ; plus le temps passait, plus il s’éloignait de ce frère avec qui il partageait pourtant tout ; il ne pouvait partager ce secret, et créait une distance avec la seule personne avec qui il avait pourtant tout confié. Il s’isolait parfois plus que nécessaire, parfois ne revenant qu’au lever du jour. L’adolescence d’Alexander a été difficile, il devait prendre de nouvelles habitudes qui ne lui correspondait pourtant pas : il aimait être entouré, pourtant avait besoin de garder une certaine distance, ne pouvant jamais être totalement honnête. Il devenait secret et solitaire au même moment ou le soleil tombait. Ce dernier n’influait pas réellement sur son animal totem, mais après une journée, il aimait se ressourcer seul. Chasser la nuit lui arrivait de plus en plus souvent, il savourait ces moments dans le noir des bois.
A présent, l’adolescence est bien loin de l’homme devenu. Alexander, a presque atteint la trentaine, s’est engagé dans les forces de l’ordre, où ses capacités de stratège lui permettent de devenir officier de police judiciaire. Il parvient à maintenir un équilibre entre son jaguar et lui-même, ce qui reste une tâche ardue. Décidé à agir pour le bien commun, il décida il y a de cela quelques années de s’engagé dans l’Organisation pour le Bien des Créatures Magiques en tant que soldat. Il n’hésite pas à devoir faire le sale travail, le marquant parfois plus que prévu. Il ne veut pas être sous le contrôle du Dux Tenebris, ni qu’un jour le surnaturel soit su de tous. Il veut protéger ceux qui en ont besoin. La liberté a un prix qu’il est prêt à payer. Malgré la certaine distance qu’il a mis avec son frère, sa promesse concernant la protection de sa petite sœur reste inchangée, et s’il a été surpris de son orientation sexuelle, il ne l’a jamais jugé : qui était-il pour cela ? Ses propres relations ne duraient jamais plus d’un mois, et une part de lui respectait sa force pour avoir avoué qui elle était. Jamais il n’imaginait pouvoir avouer qu’un jaguar se trouvait enfoui en lui.
Alexander, en intégrant l’OBCM, pensait par la même occasion pouvoir trouver ces cinq années de sa vie occultée ; qui était sa mère ? Pourquoi avait-elle disparue ? Son rôle dans la police lui permet d’accéder à toutes les ressources dont il pourrait avoir besoin, de même de sa présence au sein de l’Organisation.