| | | SAISON 1 + EVENT + Panic attack |  |
| MESSAGES : 817
RACE : Tout et rien à la fois.
| | Lun 4 Sep - 20:29 | | Le parc « groupe 3 »  Introduction Les récents évènements qui se sont déroulés à Bray ont fait peser sur Bray une tension palpable. Les gens sont devenus légèrement plus méfiants, un peu plus renfermés. Un sentiment qui est ressentis par tous les habitants de Bray. Certains ne sortent même plus de chez eux suite à vague de meurtres en simultané qui se sont déroulé la semaine dernière. Personne ne sait qui sont les auteurs de ces meurtres extrêmement bien coordonné. Une enquête est en cours mais la police n'a encore communiqué aucune piste. Les meurtriers ont été très méticuleux et n'ont pas laissé de traces.
La vie ne s'est pas pour autant arrêtée à Bray, une bonne partie de la population n'a pas cédé pas à la peur et ne s'enferme pas chez eux. Le centre ville est un peu plus calme que d'habitude mais il y a de l'agitation tout de même. Le parc n'est pas le lieu le plus vivant de Bray ces derniers temps mais étant situé entre Golden Coast et le centre ville il arrive que quelques personnes l'emprunte pour aller travailler le matin et le soir pour rentrer.
C'est à neuf heures précise que le calme fut rompu, par un cri en premier lieu, un cri féminin, puis un appel au secours. La voix féminine appelle à l'aide, sa peur se ressent dans sa voix. Vous regardez autour de vous, vous n'êtes pas seul dans le parc, vous redoutez ce qu'il pourrait se passer mais vous ne pouvez pas laisser un habitant de Bray, peut-être un ami qui sait demander à l'aide sans intervenir si ? Instructions Vous voici donc embarqués dans une aventure de groupe. Chaque membre faisant partie de cette équipe devra poster une fois avant que le PNJ n'intervienne Privilégiez les posts courts (moins de 500 mots) afin que l'event progresse relativement vite. Dès le deuxième post du PNJ, vous aurez à faire des choix, c'est pour cela qu'un sujet de discussion a été ouvert juste ici. |
| | | | MESSAGES : 4496
RACE : Humain
MÉTIER/ÉTUDE : Mercenaire / Vigile au DH / Chasseur de Surnaturels
| | Mer 6 Sep - 11:54 | | Tu te lèves tous les matins aux aurores. T'aimes pas spécialement traîner au lit, tu dors déjà assez mal, t'as pas vraiment besoin d'en rajouter, entre les cauchemars et l'insomnie, tu vois pas l'intérêt d'y rester. Alors t'as pris l'habitude d'aller faire ton jogging, tu sors de Pilgrim Village et tu te rends sur la Golden, pour finir par le parc. Tu vois pas mal de mecs et de nanas comme toi, qui eux aussi en ont fait une habitude, tu les salues d'un signe de tête. Toi t'as pas besoin de toutes ces conneries, eux ils ont des appareils pour leur cardio, toi tu fais pas ça pour le sport, tu le fais pour te vider la tête. Puis t'es pas sensé bosser aujourd'hui alors tu traînes un peu, tu regardes les gamins jouer dans l'herbe. T'es pas sensé, mais tu vas quand même le faire. T'as beau te dire qu'on t'a pas demandé ton aide encore sur ces meurtres, tu peux pas t'empêcher de te questionner et de vouloir trouver toi-même les réponses. Parce que tu sais que la police, pour le moment elle rame, ou alors c'est ce que tu t'imagines parce que t'as quand même un sacré ego, à te dire qu'ils pourraient pas s'en sortir sans toi. Ils ont certes fait appel à toi pour des cas plus simples, mais qu'est ce que t'en sais hein, qu'ils sont pas inondés par les pistes fructueuses?
Tu t'arrêtes cinq minutes pour boire un coup à la bouteille que t'as pas oublié, cette fois, d'emmener avec toi. C'est ton plus gros problème, te rendre compte que tu meurs de soif sans pouvoir l'étancher. Mais t'as eu l'esprit clair, cette fois. C'est là que tu l'entends, ce cri déchirant. Il transperce l'air silencieux du matin, respectueux, comme un coup de couteau. Alors toi tu regardes partout, les sens en alerte, mais tu vois rien. T'essaies de reconnaître ceux qui t'entourent, mais tu ne vois que des faces inconnues, jusqu'à ce que tu croises le regard de Scylla, vers qui tu t'avances. " T'as vu d'où ça venait?" Tu la salues pas, pas par manque de politesse, mais juste parce que le moment était plutôt mal choisi pour les politesses.
|
| | | | | | | Mer 6 Sep - 16:36 | | J'aime bien me rendre au parc, que ce soit pour me reposer, changer d'air ou pour dealer. J'aime bien ce lieu reposant et sécuritaire. Pourtant tout peut arriver ici, j'en suis bien consciente, mais je ne sais pas, c'est comme si on était hors du temps, hors de Bray, juste ailleurs. Et j'aime bien cette sensation. Aujourd'hui, c'est pour travailler que j'y suis, mais ça ne m'empêchera pas, une fois ma transaction faite, de m'y balader un peu, avant de rentrer retrouver le confort de mon chez moi. J'appellerai peut-être Alexis pour qu'on se fasse une petite soirée entre fille ou alors je me poserai sur ma terrasse pour boire un thé bien frais tout en profitant de la chaleur de cette fin d'été. J'aime toute les saisons, elles ont toutes quelque chose à apporter. Mais j'avoue que je préfère le printemps, il fait chaud mais sans trop, les fleurs commencent à éclore, les arbres retrouvent leurs feuilles, tout revient à la vie. J'aime le début de l'automne, quand les couleurs changent, cela devient un arc-en-ciel de couleur, mais une fois que cette parade est terminée, tout devient triste et terne et là ça devient déprimant. Jusqu'à ce que l'hiver arrive et s'installe à son aise, déposant une fine couche de neige sur le sol et te donnant l'impression que jamais elle ne s'en ira.
En général je fais mes transactions bien plus tôt que 9h, afin d'éviter le monde, de potentielles paires d'yeux qui scrutent ce qu'ils ne devraient pas voir. Mais exceptionnellement, j'ai accepté plus tard. Il avait l'air désespéré, visiblement il ne pourrait pas tenir jusqu'à ce soir, il est prêt à me filer le double, alors bon, je fais une exception. On se voit dans un coin du parc un peu avant 9h, il me file l'argent, je vérifie et je lui file sa dope. Je me détourne de lui sans un mot, on n'a rien à se dire, ce n'est qu'un putain de drogué que j'exècre du plus profond de mon être et je ne suis que sa connasse de dealeuse qui se sert de lui et de ses addictions pour me faire de la tune sur son dos. Donnant, donnant. Je m'éloigne tranquillement, me disant que je n'irai pas tout de suite à la galerie. J'ouvrirai un peu plus tard. Surtout que j'ai bossé tard hier pour pouvoir finir de préparer l'exposition, j'ai le droit de m'accorder quelques heures aujourd'hui. J'entends un cri, perçant, déstabilisant. Je me retourne, tente de voir d'où il vient mais en vain. Je croise le regard de Jägger. Décidément, qu'est-ce qu'on se croise en ce moment. Il vient vers moi. "Non, je crois que ça vient de là bas ..." Dis-je en montrant un coin à gauche du parc, mais sans aucune certitude. |
| | | | | | | Mer 6 Sep - 17:41 | | La fac va bientôt reprendre et Lani rentre d’un week-end mouvementé à Dublin. Plus qu’une semaine avant qu’elle ne reprenne un train de vie d’enfer, enivrant et éreintant. La radio, les cours, les jeux en lignes, Gaya. Elle a bien besoin de cette dernière semaine pour souffler et se concentrer sur sa vie. Ses vies. Ne pas se perdre ni s’emmêler les pinceaux, savoir à qui l’ont dit quoi, quand et où. Toujours osciller entre franchise, douceur et manipulation. Ne jamais oublier, jamais se fourvoyer. Garder le contrôle.
Les rayons du soleil chatouillent sa nuque dévoilée. Elle médite assise en tailleur dans l’herbe douce du parc. A coté d’elle traîne son vieux sac à dos en toile, de quoi se rassasier et une petite enceinte qui crache une musique indienne. Le son de la flûte de pan fait planer la jeune femme, yeux clos, focalisant ses pensées sur un univers onirique bien à elle. Elle ressent dans tout son corps une douce chaleur relaxante et profite de cet instant pour focaliser son esprit. Cette nouvelle année lui promet de belles choses et peut être même de nouvelles perspectives professionnelle. La minuterie de son téléphone la sort de ses songes et la ramène à la dure brutalité de la vie. C’est repartit, Leïlani doit régler encore beaucoup de chose et les heures d’une journée sont toujours de 24. Il faut qu’elle règle le problème de son père et pour le coup, il faut prendre le taureau par les cornes. Seulement, un cri strident l’interrompt. Leïlani se surprend à courir vers l’endroit d’où ça provient. Au fil de ses pas, le cri se transforme en un appel à l’aide déchirant qui lui provoque un frisson dans la nuque. Elle se fige lorsque plus aucun son n’envahis le parc. Ce silence est oppressant. Sac à la main, elle roule de grands yeux autour d’elle pour trouver quelqu’un qui aurait entendu comme elle. A moins de 100m, deux jeunes se rejoignent. Elle décide d’en faire de même en marchant pour essayer de calme son rythme cardiaque. « Pardon mais, j’ai pas rêvé ? Vous avez bien entendu comme moi ? »
D’un geste mécanique, relevant presque du TOC, elle saisit son pendentif et le serre doucement. Elle se ressaisit lentement, pensant qu’elle ne pourrait pas fuir si la situation est aussi alarmante qu’elle le sent.
|
| | | | | | | Mer 6 Sep - 22:50 | | Par delà les millénaires, Anonyme avait appris des leçons de vie assez basiques.
Par exemple, les gens avaient du mal à agir en situation de crise si on ne le leur en donnait pas l'ordre express. Bystander effect, comme disaient les américains. Le djinn avait beau n'être qu'une créature immatérielle, avoir endossé l'identité de personnages importants - un commandant ottoman, en outre - lui avait laissé la fâcheuse habitude de prendre sur ses épaules les rôles d'autorité lorsque les créatures dotées d'humanité ne réagissaient pas. Ou pas assez vite. Ou pas assez tout court.
Raphaël échangeait des passes de ballon avec les enfants présents, faisant office de baby-sitter tandis que les parents parlementaient adultat quelques mètres plus loin, lorsque le temps se suspendit dans le parc suite à un cri déchirant. Les rires juvéniles s'éteignirent et ne subsista que le vent dans les branches, répétant comme une litanie l'appel au secours - une seconde, puis Raphaël se retourna vers les jeunes pour les intimer, d'un geste, à retourner vers les parents. Il s'assura qu'ils s'éloignent tous correctement sans broncher avant de s'élancer vers la direction d'où venaient le cri, passant à côté d'un groupe de trois personnes qu'il interpella sans cesser sa course, les pointant très clairement du doigt.
« Vous trois, avec moi. »
Et c'était autoritaire, mais il ne cessa pas sa course pour continuer à avancer vers son but. |
| | | | MESSAGES : 817
RACE : Tout et rien à la fois.
| | | | | | | | | | | | | | | | | |
Sujets similaires | |
|
| | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|
Accueil
