Noah Elian Richardson

Séducteur, j'aime attirer l'attention, charmer par mes mots, mon regard, mon sourire et mes gestes. J'aime envouter par mon charme et créer l'illusion que je suis une personne de confiance, sur qui on peut se reposer quoi qu'il arrive, même si c'est totalement faux. Egoïste, la personne la plus importante à mes yeux, c'est moi. Toutes mes actions n'ont pour but qu'une seule chose, mon petit bonheur personnel. J'ai beau avoir un frère et une soeur, j'ai été élevé comme un enfant unique, avec tous les privilèges qui en découlent, pour le plus grand déplaisir d'Emma et Oswald qui crevaient de jalousie. J'ai toujours été le chouchou de ma mère et la fierté de mon père. Autodidacte, je me suis toujours fermement ennuyer à l'école, du plus loin que je m'en souvienne. Soit je savais déjà, soit cela ne m'intéressais pas. Tous mes profs s'en sont rendus compte, il faut dire que n'aimant pas m'ennuyer, je trouvais toujours des occupations, plus ou moins bruyantes, pour me divertir. Certains comprenaient et tâchaient de palier à ce manque d'investissement de ma part en m'offrant des sujets différents de ceux de mes camarades, pour tenter d'attirer mon attention, ce qui fonctionnait en général, j'aimais récompenser les efforts fournis. D'autres ne comprenaient pas ou ne voulaient pas s'octroyer du travail supplémentaire (trouver des nouveaux sujets, travailler dessus pour être capable de répondre à mes questions, prendre du temps supplémentaires pour corriger mes copies, etc) et se contentaient de me punir ou de me virer de leurs cours, ni plus, ni moins. Loyal n'est pas réellement un terme qui me correspond, en général, sauf pour deux personnes, uniques à mes yeux et qui existent dans ma vie depuis toujours. Ne croyez pas que je parle de mon frère et de ma soeur, je les ai toujours fermement détesté. Je parle de mes deux meilleurs amis. Entre nous, c'est à la vie, à la mort. Toujours fourrés ensemble, nous avons fait tous nos mauvais coups, main dans la main. Nous venons du même monde, nous avons les mêmes besoins et les mêmes envies et nous avons la ferme intention de vivre nos vies comme nous l'entendons et non comme nos parents le souhaitent, malgré leurs nombreuses menaces. Lâche et traitre je ne vous conseille pas de me faire confiance, elle serait bien mal placée et bien mal avisée. Je ne suis qu'un fieffé menteur qui serait prêt à vendre père et mère pour sauver sa peau. De nombreuses personnes ont fait l'erreur de me faire confiance et soit elles sont mortes, soit en prison, soit à mes trousses. Menteur invétéré il est difficile de savoir quand je dis la vérité et quand je mens. Même moi parfois je suis perdu, me faisant prendre à mes propres mensonges. Cherche merde professionnel, je suis passé maître dans l'art de chercher les embrouilles en tout genre. Ca m'éclate, il faut bien l'avouer, ça passe le temps et j'aime me donner des petits défis. Plus les emmerdes sont grandes et plus il est difficile de s'en sortir, le but donc c'est de me surpasser. L'adrénaline qu'on ressent quand on se sent coincé, piégé et qu'on doit rapidement réfléchir pour trouver La solution qui va nous sortir de là ... parce que oui, à mes yeux, chaque problème a sa solution et jusqu'à présent, j'en ai toujours trouvé une, mais sait-on jamais, un jour, à force de tirer sur la corde, je vais finir par me brûler les ailes.

Je suis Naïa ! J'ai 29 ans. On me verra dans les parages tous les jours. Je suis fier de dire que j'ai découvert le forum sur FB par le biais des publications de Castiel, il y a quelques temps maintenant , d'ailleurs je le trouve merdique et le staff est à chier, c'est pour ça que j'ai 4 comptes et que je suis admin Je rajoute aussi que mon loulou est un personnage tout droit sorti de mon esprit tordu et que vous allez adorer le détester

Je suis né le 3 décembre 86, dans un hôpital à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Ma famille n'est pas originaire de ce pays, ils sont venus à l'époque de mon grand père paternel pour y faire fortune. Et on peut dire qu'ils y sont plutôt bien arrivé, c'est le moins que l'on puisse dire. Les Jackson ont fait fortune dans le cosmétique, ils se sont diversifiés aujourd'hui et on trois agences de mannequins dans tout le pays. Mon grand père n'est pas du genre à laisser la place au hasard et à l'amour, ce sont deux notions qui n'ont rien à faire dans une vie réussie selon lui et au vu de son parcours, on peut dire qu'il s'y connait dans le domaine. Il était le genre de personne à maîtriser tous les paramètres qui pouvaient être maîtrisés et à tenter d'anticiper ceux qui étaient "imprévisibles". Parfois cela fonctionnait, parfois non, ce sont les risques de la vie. Quand il était aux États-Unis, il s'est marié avec une femme pour qui il n'éprouvait aucune affection particulière, mais qui descendait d'une famille riche et influente dans les affaires. C'était selon lui comme ça que devait être envisagé un mariage, non pas comme un acte d'amour profond pour l'autre, mais comme un partenariat, chacun apportant sa part à ce pacte. C'est comme ça qu'il a élevé son fils et c'est comme ça que nous avons été élevé. Depuis nos plus jeunes âges, nous sommes promis à des personnes qui sont, selon nos parents, de bons partis.... Mon frère, Oswald et ma soeur Emma, ont donc épousé des personnes qu'ils n'aimaient pas, mais qui pouvaient apporter beaucoup pour l'entreprise familiale. Et je devais, selon la volonté de mes parents, me marier à mon tour à mes 21 ans, avec un soit disant bon parti. Malheureusement pour eux, cela ne s'est jamais produit et ce n'est pas demain la veille qu'on m'obligera à faire quelque chose que je ne veux pas. Oh, ne me voyez pas comme un sentimentaliste, cela n'a rien à voir avec une quête quelconque de l'amour. Non je préfère me définir comme un opportuniste. Je n'ai rien contre les mariages arrangés, mais faut-il encore que les termes du mariage me convienne et ce ne fut bien évidemment pas le cas. Je m'en fous des avantages qu'un mariage pourrait apporter à l'entreprise familiale, si je dois épouser quelqu'un, ce sera parce que ça me rapporte à moi avant tout et certainement pas à ma famille.

Je pense qu'il était important de fixer le cadre avant de rentrer plus en détails dans ma vie, même si en soit, mon enfance n'a rien d'extraordinaire. J'ai vécu comme n'importe quel gosse de riche. Mes parents ont une très belle maison luxueuse, avec un nombre incalculable de chambres, des domestiques qui exaucent le moindre de nos désirs et une belle piscine chauffée. Etant le petit dernier de la famille et ayant 5 ans d'écart avec ma soeur et 8 ans avec mon frère aîné, j'ai été élevé comme un véritable petit prince. Tout ce que je voulais, je l'obtenais, je n'ai jamais entendu le mot "non" sortir de la bouche de mes parents. Je crois qu'ils tentaient d'acheter mon affection car ils voyaient bien que j'étais différent de mon frère et de ma soeur. Plus intelligent, je m'intéressais à des choses bien différentes d'eux. Je pouvais passer des heures à lire des livres sur des sujets divers et variés. Je m'ennuyais en cours, depuis aussi longtemps que je puisse m'en souvenir. Parfois je tombais sur un professeur intelligent qui comprenais mon problème et tâchait de diversifier ses cours pour moi, en me mettant sur divers projets, plus ou moins intéressants, mais qui m'occupaient. Parfois je tombais sur des crétins, qui se contentaient de me coller et de me virer de leur cours parce que je chahutais. Je n'ai jamais été un élève facile à vivre, je suis parfaitement prêt à l'admettre et ils ont eu bien du courage à devoir me supporter.
Au départ, je n'étais pas réellement populaire et je ne cherchais pas vraiment à l'être. J'avais 2 amis et ils me suffisaient. Encore aujourd'hui, je n'ai besoin que d'eux pour vivre heureux. Andrea est originaire d'une riche famille italienne et Madison a des origines américaines, comme moi. Nos deux grands-pères étaient déjà liés par une amitié très fortes à leur époque, il faut croire que ça se transmet de génération en génération. On se connait tous les trois depuis le bac à sable, nous avons fait les 400 coups ensemble et étant gamin, nous avons même fait un pacte de sang. Je ne suis loyal qu'envers eux et l'inverse est tout aussi vrai.

Avec le temps, je me suis fais des amis, mais aussi des ennemis. Des gens qui visiblement n'aimaient pas ma tête. J'ai été victime de racket durant une année entière, avant que j'ai les couilles de le dire à mes parents. Je n'avais pas envie d'être vu comme un faible, mais il était évident que je n'avais pas vraiment la carrure d'un athlète et qu'il était facile de me brutaliser sans trop se forcer. Au bout d'un an, je les ai balancé à la direction et je dois bien avouer que les voir devenir les "victimes" et non plus les "bourreaux" m'a beaucoup plus et m'a certainement donné de la suite dans les idées. Aujourd'hui, j'ignore ce qu'ils sont devenus, mais je suppose pas grand chose. Ils n'ont certainement jamais bougé de Wellington, ils ont une petite vie rangée, avec femme et enfants et ils n'aspirent à rien d'autres qu'à continuer à évoluer dans la boite où ils travaillent, sans plus d'ambition que ça. Moi je rêve de conquérir le monde, d'aller de pays en pays pour y foutre la merde. Je veux devenir quelqu'un, avoir de l'influence et pas seulement dans une minable boite de comptabilité ou dans la boite de papa. Je sais ce que l'on dit de moi, que je suis trop intelligent pour mon propre bien. Peut-être ont-ils raison, je l'ignore, mais ce que je sais, c'est que je ne m'arrêterais pas tant que je ne serais pas satisfait de ma vie et le moment n'est pas encore venu. Je me suis bien éclaté, j'ai vu du pays, j'ai fais des choses que certains n'oseraient même pas rêver et il faut bien l'avouer, je me suis éclaté, mais je ne suis pas au bout de mes limites, je peux encore faire mieux, j'en suis persuadé.

Au lycée, dès que mes parents partaient pour le weekend, j'organisais les plus grosses fêtes mais ma vie a vraiment pris un tournant à la fac. Nous sommes partis avec Andrea et Madison à Auckland pour nos études. Nous n'avions aucune envie de rester bien sagement chez nos parents alors que le monde s'ouvraient devant nous. Cela n'a pas enchanté nos darons, cela va s'en dire, mais nous avions de bons arguments. Nous avions trouvé des cursus géniaux là bas, qui nous permettraient d'apporter un peu de renouveau dans les entreprises familiales. La vraie raison c'est que nous voulions respirer un peu. Nous étions tous les trois voués à des mariages forcés et cela ne nous enchantait pas des masses. Andrea devait épouser une fille d'une entreprise concurrente à celle de son père. Ce mariage allait permettre une fusion des deux entreprises, il n'était donc pas envisageable qu'Andrea se soustrait à ses engagements. Quant à Maddie et moi, nous étions voués à nous épouser. J'aurais largement pu tomber plus mal, mais même si nous couchions déjà ensemble à l'époque, l'idée de me marier ne me vendait pas de rêve, loin de là même. Je crois que pour elle c'était différent, d'une certaine façon, elle a toujours été amoureuse de moi, le mariage n'était qu'une formalité qui ne la dérangeait pas. Bref, nous sommes partis pour l'Auckland et là bas, nous avons fait la connaissance de membres d'un gang, spécialisés dans la drogue. Ils voulaient agrandir leur territoire et j'étais curieux de voir ce que ça faisait d'avoir un pied dans cet univers, alors nous avons fait un marché. Nous vendions pour eux la drogue sur le campus et nous avions une part sur l'argent récolté. Rien de mirobolant, l'idée n'était pas tant de se faire de l'argent que de découvrir un autre univers et toutes les sensations fortes qui allaient avec. Le campus a découvert le trafique de drogue et ce fut le début des emmerdes. Ils n'étaient pas au courant du gang pour qui nous travaillons et nous nous sommes bien gardés de les balancer, de peur des représailles. Nous savions de toute façon que ça serait pire s'ils venaient à apprendre pour cette alliance. Nos parents ont été avertis et avec eux, leurs avocats. Après des heures, que dis-je, des jours de négociations en tout genre, nous avons échappé à la prison. Cela dit, nous avons été exclu de l'université avec interdiction de passer des examens durant 5 ans. L'université quant à elle a reçu un don substantiel de la part de nos familles, ce qui signifie en langage simple : un pot-de-vin, pour qu'ils ne préviennent pas les autorités. Voilà comment se règle un problème de riche : de l'argent, une tape sur les doigts et un retour au bercail et le problème est réglé.

Nous sommes donc bien sagement rentrés chez nos parents. Nous venions d'entamer notre dernière année d'études, ce qui était un peu rageant, en sachant que nous ne pourrions pas valider nos cursus avant quelques années, en tout cas c'était l'opinion de nos parents. Nous, nous nous en moquions, la seule chose qui nous révoltait, c'était d'être de retour à la case départ. Cette expérience m'avait ouvert les yeux sur ce que j'avais envie de faire dans la vie et ce n'était pas d'avoir une vie bien rangée avec femme et enfants. Je voulais voyager, je voulais être du mauvais côté de la barrière, je voulais m'amuser ... Car oui, tout cela m'amusait profondément. Avec notre retour, les préparatifs des mariages ont débuté. Il n'y avait plus de raison d'attendre, nous pouvions commencer notre "nouvelle vie" rapidement et oublier cet épisode regrettable. Mes parents refusaient d'en parler, préférant tout simplement enterrer l'affaire. Mais si une dispute éclatée, vous pouvez être sûr qu'il me la ressortait. La tension commençait à se ressentir à la maison. Je ne voulais pas me marier, j'avais beau adorer Maddie, je n'avais aucune envie de me faire passer la corde au cou. Je voulais profiter de ma jeunesse, faire le tour du monde, coucher avec un maximum de personne et ce, sans avoir une crise de jalousie derrière. J'ai commencé à travailler dans l'entreprise familiale et durant un mois, j'ai eu l'impression que l'Enfer venait de s'abattre sur terre. Avec les préparatifs et ce boulot ennuyant à mourir, j'avais la sensation d'étouffer. Et vint un moment où ce n'était plus envisageable : soit je sautais dans le vide pour ressentir une ultime sensation forte avant de mourir, soit on s'enfuyait. La seconde option fut donc adoptée par Madison et Andrea. En secret, nous achetâmes des billets d'avion : Etats-Unis en premier, puis le Mexique. Et un soir, nous disparûmes de chez nous, pour ne plus jamais y revenir ... en tout cas jusqu'à aujourd'hui. Nous restâmes quelques semaines à Los Angeles, avant de descendre sur Las Vegas pour jouer. Ensuite, nous partîmes pour Tijuana. Nous visitâmes un peu le Mexique, avant de nous poser à Tijuana. On fit tout ce qui était possible pour attirer l'attention d'un Cartel de drogue. Notre but était de réitérer l'expérience d'Auckland. Nous savions que nous allions mettre du temps avant de gagner leur confiance. Nous n'étions que trois gosses de riches en quête de sensations fortes. De chez nous, nous n'étions pas partis les mains vides. Nous avions "emprunter" à nos parents de belles sommes d'argent que nous avions virer sur un compte off-shore. Grâce à cet argent, nous achetâmes une belle baraque et nous commençâmes à faire des fêtes. Nous vendions la drogue durant ces fêtes et ainsi, nous gagnâmes quelques habitués qui n'étaient pas la cible de base du Cartel. Rien d'extraordinaire en soit, mais plutôt un bon début pour des amateurs. On travailla 5 ans pour ce Cartel. Au fil du temps, la confiance se tissa et les idées que nous proposions pour améliorer leur système commencèrent à être écouté. Durant ces 5 ans, j'eus plusieurs relations, dont une avec une des filles d'un des lieutenants du Cartel. J'aurais bien voulu visé plus haut, mais j'étais toujours vu comme un étranger là bas et il m'aurait fallu beaucoup plus de temps pour tenter d'approcher vraiment une des filles du boss. Carmen fut un choix stratégique plus qu'un coup de foudre. Après un an et demi de relation, nous nous mariâmes, pour le plus grand déplaisir de son père qui aurait préféré la voir avec un mexicain. Mais j'avais toujours montré patte blanche jusqu'à présent et avec Maddie et Andrea, nous étions efficace dans notre branche. Les riches se sentaient plus à l'aise de faire affaire avec nous, qu'avec un membre du Cartel et ils pouvaient dépenser beaucoup en peu de temps, ce qui n'était pas négligeable.

Après 5 ans de bons et loyaux services, les autorités nous tombèrent dessus. Nous étions le maillon faible du Cartel, il fallait voir la réalité en face. Nous étions les plus faciles à coffrer et à intimider. Contre des remises de peines et un transfert dans des prisons américaines, nous avons balancé la moitié des hommes du Cartel. Nous avions 26 ans et aucune envie ni de mourir, ni de passer nos vies derrière les barreaux. Nos parents nous ont tourné le dos, préférant oublier qu'ils nous avaient eu. Il n'était plus question de reprendre contact avec eux, nous étions tous les trois déshérités. Nous nous sommes donc débrouillés tout seul. Nous avons passé plus de 3 ans en prison avant que le procès du "parrain de la drogue" ne débutent. Nous devions être des témoins capitaux pour cette affaire. Mais on sait tous comment finissent ce genre de témoins. Nous avions réussis à survivre dans les prisons où nous avions terminés, il était évident qu'on n'avait aucune envie de crever en allant témoigner. Grâce à nos avocats, payés grassement, nous avons orchestrés notre fuite. Nous avons engagés des professionnels qui devaient nous faire évader au moment où nous quittions notre prison. Nous étions dans 2 fourgons différents, Maddie d'un côté, Andrea et moi de l'autre. Les choses se déroulèrent sans accro, j'eus vraiment cette impression d'être dans un film.

On changea d'identité et on partit chacun de notre côté. Il fallait pendant un temps qu'on se fasse oublier, loin du Mexique et des Etats-Unis. Je suis parti au Portugal, ensuite je suis remonté en Espagne quelques semaines, j'ai passé un mois à Paris, avant de passer 2 mois à Londres. Aujourd'hui, j'ai posé mes valises à Bray. C'était la ville que nous avions choisis pour nous retrouver si on s'en sortait. Elle est à côté de Dublin et il y a peu de chance qu'un membre quelconque du Cartel ne nous retrouve là bas. Me voilà donc, sous ma nouvelle identité, pauvre comme les blés, ruinés par les avocats et les professionnels qui nous ont aidé à sortir des emmerdes. Bien entendu obtenir une nouvelle identité et une nouvelle vie n'étant pas non plus gratuit, nous avons vidés nos comptes pour repartir à zéro. Le peu qu'il nous restait, nous l'avons dépensé en billets d'avions, de train, de bus et en hôtel. Aujourd'hui, je n'ai jamais été aussi fauché et j'ignore comment vivre comme les pauvres ... Elle va être belle la vie ...