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 Maverick | every demon wants his pound of flesh

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Maverick Connor O’Neill
« I suffocate myself inside the bed, trying to cut the circulation of these thoughts inside my head like do I hate me or hate them? »


Ma grand-mère m'as appelé Maverick Connor O’Neill ! Je suis né le 3 février 1991 à Bray, Irlande. Je suis un élément de 24 ans. Pour plus de précisions, je suis hétérosexuel et présentement célibataire. Je suis fier de dire que je travaille en tant que tatoueur et ancien mercenaire , ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt pauvre On me dit souvent que je ressemble à Richard Colson Baker aka Machine Gun Kelly, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe de la terre, et plus précisément je suis un tempestaire du vent.

Les petits détails

Fredonne, siffle, ça te calme, te remet sur terre, te fait oublier les horreurs que tu as commis. ¤ tu fume beaucoup, weed, cigarettes, peu importe, tu fumais pour le high, maintenant tu fume pour rester sain, pour oublier la douleur, pour oublier les fantômes dans la nuit ¤ des cauchemars, toute les nuits, tu ne dort presque pas, restant éveillé jusqu'à ce que ton corps te force à t'endormir ¤ Un avant-bras en moins, tu essaie de s’y faire, de ne rien paraître de ton inconfort, mais la douleur te fait grincer des dents, te fait hurler dans ton sommeil, comme si au fond, ton membre était toujours attaché au reste de ton corps, mais sans jamais pouvoir te soulager, enlever la douleur sans fin ¤ tu traine toujours un vieux zippo engravé “when I die, bury me face down so the whole world can kiss my ass” souvenir de ton séjour dans l’armée ¤ des tattoos, recouvrant ton corps, la moindre parcelle de peau recouverte d’encre, tu as commencé jeune, très jeune, au début pour l’aspect rebelle, ensuite parce que tu appréciait l’art, la plupart d’entre eux, tu te les ai fait toi même. ¤ tu vis toujours à fond, sans demi-mesure, pour toi, c’est tout ou rien, make or break. Tu plonge autant que tu vole, tu vit autant dans tes haut que dans tes bas, jamais de zone grise, tout est noir ou blanc. ¤ tu dort avec un fusil sous ton oreiller, ces cauchemars que tu fais en permanence, tu as peur qu’ils ne prennent forme, ne reviennent d’entre les morts. ¤ tu rafole de la cuisine mexicaine, quesadillas, taco, peu importe, tu pourrais bien manger deux tablés entière si on t’en laissait l’opportunité ¤ tu fais de l’escalade, du moins, tu en faisais, tout petit, tu grimpais partout, trouvant toujours l’arbre le plus haut pour atteindre le sommet. Tu as continuer d’en faire avec ta prothèse, tu n’as pas arrêter, mais tu ne te trouve plus très doué. ¤ tu jouais de la guitare, mais là encore, c’est un plaisir auquel tu n’as plus accès. ¤  tu ne l’avouerais probablement même pas sous la torture, mais tu déteste les films d’horreur, il te foutent la trouille ¤ tu as appris à tatouer lorsque tu vivais chez ta mère et son proxénète, principalement parce que tu as commencé à traîner dans les bas quartier, et d’une manière ou une autre, ça t’as attiré. ¤ tu es superstitieux, tu crois que briser un miroir amène sept ans de malheur, qu’il ne faut pas passez sous une échelle, que les chats noir porte malheur. Tu crois à bien des choses en vrai, mais le mauvais sort, c’est presque ton domaine.  ¤ tu as toujours ton skate avec toi, tu te déplace toujours avec, même si maintenant, tu essaie de retrouver ton équilibre, ce n’est pas la même depuis qu’il manque une partie de toi.  ¤ quand on te voit, au premier abord, rien ne parait de ton passé, principalement parce que tu te cache derrière cet air que tu te donne, ce sourire, ce rire, tes blagues, tes conneries. Tu n’aimes pas parler de ton passé, tu le garde pour toi, mais surtout tu mens en disant que tu as perdu ton bras dans l’armée, tu ne parle jamais de ce que tu as fait, tu ne dit jamais que tu as été renvoyé, au fond, t’as honte de toi. ¤
caractère

Tu es toujours le premier à rire, à sourire, à sortir une blague bidon, on te regarde et on ne pourrais pas deviner la vie que tu as eu, pas au premier abord, parce que tu te cache bien Maverick, tu te cache sous toutes ses couches de rires et de sourires, sous ta façade d’innocence, comme si tu n’avais rien vu de la vie, comme si tu avais eu une vie parfaite, mais c’est ton moyen de te cacher, de ne pas laisser les autres regarder plus loin que la surface, plus loin que ce que tu veux bien montrer, de ne pas creuser. Toi qui ne te promène qu’en planche à roulette, toi qui semble toujours avoir une connerie à dire, le mot de la fin, le rire qui se déclenche. Mais tu es bien plus que ça, tu essaie de guérir de ta vie, tu essaie de ne plus voir cette culpabilité qui te ronge les os, celle de tout ceux que tu as tué, tout leurs visages, ils te reviennent chaque nuit, alors t’évite de t’endormir, t’évite de voir la mort qui te suit, parce que Maverick, tu n’es pas un lâche non, mais tu ne regarde jamais la vérité en face, tu ne regarde jamais ce qui pourrais t’apporter de la douleur, non, tu aimes mieux l’éviter jusqu’à ce que tu n’es plus le choix, jusqu’à ce soit la seule chose que tu puisse voir. Tu es maladroit, tu n’as aucune délicatesse, tu es le genre de mec qui évite de rentrer dans les magasins avec des articles trop délicats parce que tu le sais que tu vas briser quelques choses. tu es un peu un boulet, un peu gauche à tes heures, avec ton rire qui vient couvrir tes dégats, et autour de toi, les gens t’aime bien, peut-être parce que tu essai toujours de vivre au lieu de survivre, ils sont attiré par toi, par ton rire, par ta manière d’être, alors même que toi, tu cherche cette attention, tu as besoin d’être entouré, tu as besoin d’être apprécié. Tu n’es pas spécialement violent, non, ça t’en prends beaucoup, mais tu finit toujours pas exploser, par péter un plomb, par devenir agressif, et ça c’est bien la seule chose que t’essai de contrôler, simplement parce que tu n’as pas envie de tuer à nouveau, non, tu as envie de mener une vie droite, de rendre ta famille fière, même s’il ne connaisse rien de l’homme que tu es devenu. Tu n’es pas arrogant, au contraire, en fait tu as toujours tendance à douter de toi, de ta vie, de ce que tu fais, et puis, tu es un peu crédule au fait, au peu naïf, tu as tendance à croire tout ce que l’on te dit.

on ne change pas le passé


"Close my eyes cause I see demons round my bed, so depressed open em up hopin, I'm dead"

La sueur qui perle sur un dos courbé, des jambes qui s'emmêle, des gémissements feints,  un regard embrumé, voilé par l'abus de substance illicite, pour continuer, pour survivre, pour vivre jusqu'à demain, pour oublier. Conçu durant ces quelques minutes payante, ces quelques minutes où tes géniteurs se sont enlassé dans la plus intime des étreintes pour la première et la dernière fois, dans cette petite chambre de motel crade où les rideaux jaunis pas la fumée semblait tomber en lambeaux. Un miroir au plafond, elle pouvais voir ce reflet qu'elle évitait depuis des mois, elle pouvais voir cette lueur de dégoût dans ses pupilles alors que l'homme en elle poussais des grognements de plaisir, cette lassitude qui l'encombrait. Tout pour payer sa prochaine dose, tout pour pouvoir sentir cette sensation sans fin qui lui faisait oublier l'espace de quelques instant cette vie qu'elle avais choisit à contrecoeur. Tout pour s'oublier. Cette femme qui deviendrais mère quelques mois plus tard, cette femme qui te laisserais au pas de la porte de sa mère, ta grand-mère, une simple note sur une couverture. Disparaissant à nouveau, t'oubliant peu à peu. Et dans ses conditions, dans cette vie, sans elle, tu aurais pu devenir un autre homme, un homme bien. Alors que malgré la vie, malgré les horreurs du monde, malgré la pauvreté, ta grand-mère te prenais dans ses bras, chaque soir, chantonnant cette ville chanson en gaëlique, cette chanson où encore aujourd'hui, il t’arrivais de fredonner pour te calmer, cette chanson qui signifiait bonheur et amour. Cette chanson qui te remettais les pieds sur terre, t'amenant dans un passé qui n'existait plus et qui n'avais aucune chance d'exister encore.

“Happiness : I think i need some so I overdose on fantasy.”

Un minuscule corps enveloppé dans une vieille couverture, des cris percent la musique du silence, des pleurs sans fin, ton regard curieux porté sur cette minuscule chose sur le pas de la porte. Granny se précipitant derrière toi, un soupir de désespoir au bord des lèvres. Elle avais déjà de toi à s'occuper, du haut de sa peau ridée et de son vieil âge, elle n'avais pas le courage pour tout recommencer à nouveau, pour avoir un autre enfant à élevé, à surveillé, chérir. Elle ne comprenais pas ce qu'elle n'avais pas donné à sa propre fille, elle ne comprenait pas comment elle pouvais abandonner ses enfants, qu'elle ait choisit un chemin aussi différent que celui sur laquelle elle même avançait. Mais elle ne dit rien, pris ce nouveau fardeau dans ses bras, un léger sourire au lèvre, essayant de calmer les pleurs de la petite chose emmitouflé. Et toi, tu les regardais, toujours curieux, à la recherche de cette fillette qui deviendrais le centre de ta vie, ton bonheur sous forme humaine alors même que Granny se penchait vers toi, et que la petite chose te vit, arrêta de pleurer et sourit. Pour toi. Seulement pour toi. Tu étais jeune, pas plus haut que trois pommes, un an, mais déjà, tu le savais que cette petite humaine, tu la protégerais contre l'univers. Elle était ta soeur, la tienne uniquement.


"Hold your head high motherfucker, don't ever look down. Be confortable with who you are, our flaws what makes us perfect."

Il y avait peu de chance que tu soit un tempestaire, les probabilités minuscules, encore moins que tout les deux vous le soyez, toi et Eliot, ta petite soeur, le centre de ton univers. La famille de ta mère avait des pouvoirs, c’était presque un devoir d’entretenir la lignée, le sang O’Neill, mais avec toi et ta soeur, il était plus que probable que la ligné ait disparu, que le sang des tempestaires ne coulent plus dans vos veines. Elle ne le croyais pas, Granny, que vous ayez des pouvoirs quelconque, d'être autre chose que purement humain. Elle ne savais pas que sa fille, elle était populaire, renommé, une putain tempestaire, elle avait fait son nom parmi la communauté, ne ramenant presque que cette clientèle années et tu peux encore te souvenir du rire d’enfant de ta petite soeur alors que tu propulsais des bourrasses de vents sur elle, faisant virevolter ses cheveux. Elle riait toujours la petite Eliot, d’un rire clair, cristallin, apaisant mon âme l’espace de quelques instant. Mais de vous deux, c’était elle la petite fille calme et studieuse, celle qui ne disait jamais un mot de travers, celle qui était toujours tranquille, toi tu était le garnement, celui qui courrait partout, riant de tes mauvais tours, faisant rire le voisinage, après tout, tu as toujours aimé être le clown du quartier. Vous aviez cru que tu avais été chanceux, qu’Eliot n’était rien d’autre qu’humaine, libre de tout pouvoir, et au fond, tu en étais un peu heureux, parce que ça te permettait de la protégé, parce que tu ne voulais pas qu’elle soit une cible pour personne, jamais. Mais, un soir, tu devais avoir dix ans, une chicane éclata, réveillant les pouvoir ensommeillé au fond de son être, ceux d'Eliot. Et cette dispute, basé sur un caprice d'enfant, ce n’est que bien plus tard que je réalisais que cette rage, cette colère, elle courait dans notre sang, le feu rougeoyant dans la cheminé, un cri de rage, l'explosion, l'incompréhension. Tu te retrouvais dans l'autre pièce, propulser par le la bombe qu’elle venais de créez sans le savoir, et si toi, tu étais encore en vie, alors que la douleur hurlais dans tes tympan, ce n'était pas le cas de ta grand-mère, de celle qui avais pris le rôle de ta mère, celle qui t'avais élevé, celle qui t'avais chérie. Trop proche de la source, trop proche de ce qu'Eilidh avait créez sans le savoir. La douleur, se mélangeant, se transformant, alors que tu réalisais ce qui venais de ce passer, sans comprendre, comment aurais tu pu savoir? Mais tu l'as vis, du haut de ses sept ans, dans un coin, pleurant, sous la douleur, sous le choc de l'impact, tu te levais, l'instinct prenant le dessus sur la douleur, la prenant dans tes bras, l'amenant à l'extérieur, en sécurité, loin de flammes et de la destruction, sous la douleur et les larmes, la mort et la solitude.

Selon le rapport, ce fût un accident, un problème de conduit dans le foyer, mais tu le savais, vous le saviez, que c'était elle, elle qui avais fait exploser le foyer, avec son pouvoir, qu'elle pouvais contrôler le feu. Tu ne dis rien, ne lui dis rien, l'aidant du mieux que tu pu avec le peu de connaissance que tu avais. Contrôle. Calme. Survivre. Et tu essayais de ne pas lui faire perdre son sourire, de rester ce clown pour simplement l’entendre rire une dernière fois, simplement voir qu’elle allait bien, que la perte de votre grand-mère ne la faisait pas trop souffrir. Il te semblait que vous étiez seul au monde maintenant. Seul contre la vie.


"But for the price I had to pay, I wish I'd stopped breathing"

Tu ne sais toujours pas comment tu as fait pour atterir chez ta génitrice, cette femme qui vous avais conçu avec des inconnus, des hommes qui payais pour prendre leurs plaisir avec elle. Tu pouvais le dire haut et fort, ta mère c’était une pute, une fille de joie, une prostituée. Ta mère, elle était toujours sous l’influence de la drogue, trop sonné pour seulement voir ce qui se passait sous son toit. Cette femme qui n’en avait rien à faire de toi et d’Eliot, cette femme qui n’avais même pas conscience que vous étiez dans sa maison. Tu aurais voulu que l’on t’amène ailleurs, tu t’en foutais un peu d’où, tout était mieux que dans ce trou à rat. Il avait cette fille, Alexis, celle qui avait été ton amie depuis si longtemps, mais tu comprenais pas trop pourquoi, ni comment, après tout, vous étiez jeune tout les deux, mais tu tomba amoureux, de ce premier amour de jeunesse, celui que tu n’oublie jamais réellement parce que vous aviez cette innocence et cette façon de voir l’amour comme si jamais ça ne changerais. Vous étiez jeune, vous aviez la vie devant vous, vous vous aimiez.  Mais toi qui avais aimé l’école, toi qui avais aimé les amis que tu t’y étais fait, tu arrêtais d’y aller, progressivement, au point où que finalement, tu préférais toujours aller dans la rue, traîner avec tes nouveaux potes qui fumaient du pot et faisait des graffitis dans les bas fond, ceux que t’avais rencontré en traînant dans ton quartier, tu continuais à la voir, elle, cette fille, Alexis, mais déjà, tu savais que ça commençais à changer un peu, qu’elle s'éloignait de ton univers qui commençais tranquillement à s’obscurcir, mais tu continuais, tu n’étais pas capable de l’oublier, incapable de tirer un trait sur elle. Tu était influençable Maverick, tu l’es toujours, mais c’était bien pire avant. Alors t’as commencé à consommer, boire, tagguer les murs ici et là, et puis t’as découvert le tatouage, t’as voulu franchir cette étape, te faire remarquer de ta mère, parce que tu ne l’avoueras probablement jamais, mais tu voulais seulement qu’elle t’aime, qu’elle lève les yeux sur toi, qu’elle remarque ta présence, celle d’Eliot. Et la colère qui se percutait dans toute les veines de ton corps alors que tu le trouvais sur elle, la touchant à des endroit qu’elle n’aurait jamais dû être touché, souillant sa jeunesse. Tu ne pu t’empêcher de plonger sur l’homme qui blessait la seule partie de ton âme qui étincellait toujours de lumière, de joie et d’innocence, et un couteau de cuisine à la main, tu fonçais sur lui, enfonçant la lame dans son corps, le sang se répandant dans la pièce alors que tu continuais sous la rage, la haine, le larmes de colère coulant sur tes joues. Tu l’as vis, se réfugier dans un coin de la pièce, et alors que le sang teintait ta chevelure, ton visage, tu ne pu t’empêcher de voir cette lueur de panique dans ses yeux, cette terreur absolue alors que des gouttes de sang perlait sur son visage. Il ne t’avais pas vu venir, n’avais même pas eu le temps de réagir. Et toi, tu l’as pris dans tes bras, l’espace de quelques instant alors que la police débarquais dans l’appartement, t’éloignant, alors que tu te débattais, tu ne pouvais pas la laisser seule. Pas maintenant.

"Maybe eventually we'll relive memories and you’ll be next to me, and both of us can stay a while"

Ce meurtre, on le qualifiais d’horrible. Sans ton âge, sans les ecchymoses sur ton corps, le témoignage courageux de ta petite soeur, tu aurais été juger comme un adulte, tu n’aurais pas sortit de ton trou avant longtemps, ce trou qui se trouvait à Dublin, Bray n’était pas équipé pour des jeunes comme toi. Ta soeur, elle ne vint jamais te voir, mais tu ne voulais pas, tu ne voulais pas qu’elle te voit dans l’état que tu était, tu ne voulais pas qu’elle te voit enrager comme tu était, cette haine, cette douleur que tu ressentait au plus profond de ton être alors que tu ne voyais plus que ce grillage qui s’élevait en hauteurs, t’empêchant d’aller bien long. Tu n’eu pas plus de nouvelle d’Alexis, tu n’avais aucune idée de ce qu’elle devenait. Mais même dans ce trou, tu essayais de garder le sourire, de raconter des blagues, d’être à la hauteur de ta réputation, tu semblais intouchable mais à l’intérieur de toi, tu avais la trouille comme jamais tu ne l’avais eu. On te fit sortir à tes dix-huit ans, il te semblait que le monde n’était plus le même, que quatre ans, c’était long quand tu était en dedans. Et enfin, tu était libre, libre de tes mouvements, de ton futur, et tu retourna à Bray, une seule nuit, la regarder de loin, voir comment elle allait, s’assurer qu’elle avait survécu, et tu repartit, loin, tu ne pouvais affronter cette terreur que tu avais aperçu dans ses yeux.

“How can I be a hero when I’m the one needed save?”

L’armée, elle fût la porte de sortie que tu croyais pouvoir tenir dans tes mains, et si au début, elle te donna la confiance qui te manquais, on t’appris à te battre, tuer, mais ça, tu savais déjà. On t’appris à réparé les tanks, les camions, peu importe, tout ce qui contenait un moteur passais entre tes mains habiles, parce que tu était habile de tes mains petit Maverick, tu l’avais toujours été. L’armée, tu y cru voir le bout du tunnel, celui qui te mettrait sur le droit chemin, celui qui rendrais ta Granny heureuse de là haut, c’était un métier honnête, tu réparais les tord que tu avais pu causé dans ta vie, celui de l’avoir abandonné, de ne pas avoir le courage de retourner la voir. Jusqu’au jour où tu l’as rencontrais, cette femme, cette vipère qui vint briser tes défenses, tout ton être, te fit tomber amoureux d’elle, de sa voix de sirène, de ses courbes enchanteresses, de son rire de velours. Tu tombais à ses pieds comme un gamin tombait dans un plat de bonbons. Tu lui aurais décroché la lune si elle avait voulu. Elle n’avais qu’un désir, celui d’avoir à sa botte ce petit tempestaire, utiliser tes talents. Oh que tu étais naïf. Et comme un con, tu tombais dans son jeu, tuant les cibles qu’elle te montrait sans même sourciller, trafiquant les armes de ton propre bataillon à vos ennemis. Tu étais devenu un traître pour les beaux yeux d’une femme. Et même si tu croyais pouvoir t’en sortir, parce qu’elle te le murmurais doucement à la moindre peur que tu évoquais, elle te rassurait toujours, et tu n’avais même pas le réflexe de peser sur le frein alors que le mur fonçais vers toi à tout vitesse.

"Its lions, it’s tigers, gangster, disciples, Lords, Judas it's shank and them rifles, whore who swear that they lived by the bible, friends who think they deserve more then they title."

Et vint le jour où on te renvoya avec un coup de pied dans les fesses, la mention déshonorable étamper sur le front, le mot traître courant dans tes veines. Ce fût comme un coup de poings, tu te tournais vers celle vers qui  tu ne pouvais que te tourner, la seule qui avait cru en toi. Elle avais ce sourire, ce venin dans les veines, ce démon dans son âme. Elle t'attira dans ses filets, te fit entrer dans un groupe de mercenaire, tout pour elle, quitte à vendre ton âme au diable en personne, tout pour lui faire plaisir, elle avais fait de toi un pantin, un foutu pantin. Tu n’avais pas un gros rôle dans l’organisation, non, t’étais le mec un peu naïf qui croyait que l’on ne tuais pas les innocents, ce mec un peu con qui faisait toujours le sale travail sans savoir que ce l’était. T’étais loin d’être un élément important, mais on te gardait, principalement à cause de ton pouvoir, t’étais capable de faire diversion là où d’autre échouait lamentablement. T’étais le mec un peu étrange qui c’était retrouvé par la force des choses à tuer, mais qui n’aurais jamais dû avoir être sur ce chemin en premier lieu. Non, tu n’avais rien d’un mercenaire sanguinaire, tu n’avais rien du type sans principe qui tue tout ce qui bouge. Et cette nuit là, tu la découvris dans les bras d'un autre homme, l'un de ses partenaires. La rage bouillant dans tes veines, la trahison dans ton âme. Cette même colère que tu avais éprouvé des années auparavant. Tu as tué en lâche, sans même leurs donné l’occasion de s’expliquer, de ce lever, peu importe, une balle dans la tête, le silence qui résonnait. Tu ne pardonnais pas, tu n’avais pas besoin d’expliquation, mais tu te sentais trahit au plus profond de ton être. Tu avais tout fait pour elle, tu serait morte pour elle si elle te l’avais demandé et maintenant, tu le savais, elle aurait finit par le faire. Mais on ne tue pas les membres de l’équipe, pas dans une bande de mercenaire, pas alors que la confiance c’était la première chose sur laquelle on s’appuyait lorsque la mort nous courrait au trousse. On te le fit payer cher, laisser pour mort au milieu de nulle part, tu voguais entre réalité et illusions, la douleur te faisant perdre la tête, et tu l’as vis, elle, ta petite soeur, son visage souriant se superposant à la douleur, à la mort. Tu ouvrit les yeux sur un mur blanc, une chambre aseptisé, l’hôpital, mais surtout cette étrange impression qu’il te manquais quelque chose, une partie de toi, une partie de ton âme, et lorsque tu te levais, passant une main dans tes cheveux, tu le vis, ton bras gauche, ta main, tu n’avais plus rien, rien qu’un moignon en bas du coude, un pansement le recouvrant. Tu ne le cru pas un instant, ce devait être un mauvais tour, peu importe, mais il te semblait que ton monde s’arrêtait, que la vie s’arrêtait. Un homme entra dans la pièce, je le reconnaissais, il était dans le groupe lui aussi, un instant j’eu peur qu’ils sachent que je m’en soit sortie, que j’ai survécut, qu’ils reviennent faire leurs sale boulot, mais ce ne fût qu’après qu’il es ouvert la bouche, expliquer que c’était lui qui avait sauvé ma misérable peau. Il les avait trahit pour sauver un traïtre, oh l’ironie.

“I never thought for a minute, if you showed me a picture of my life now, that you wouldn't be in it”

Tu ne pu t'empêcher de repartir sur sa trace, de la retrouver, elle, cette petite soeur qui avait été toute ta vie. Conrad, cet homme qui t’avais sauvé la vie et qui restais à tes côtés sans que tu sache trop pourquoi, mais au fond, cet homme, il te guidais, te tontrais la voie. Tu revenais dans votre ville natale, dans ce coin de pays que tu n’avais pas revu depuis des années. Tu la regardais de loin, sans pouvoir t'approcher, sans être capable de faire autre chose que de la protégé de loin, essayant de trouver le courage de la regarder dans les yeux, de la prendre dans tes bras, cette petite chose qui était si précieuse à tes yeux. Mais chaque fois que je tu la regardais, tu ne pouvais t'empêcher de voir ces yeux rempli de terreur se superposer à son visage. Elle avait eu peur de toi, terrifiée par ce que tu avais fait. Tu ne pu te résoudre à partir, pas maintenant, pas alors qu’il ne te restait qu’elle au monde. Alors tu t’installais, trouvais un boulot comme tatoueur,tu avais beau avoir un bras en moins, je tu débrouillais avec ta protèse, tu avais tout perdu, tu n’avais plus un sous, rien, nada, mais il ye restait elle, elle que tu pouvais toujours protégé, t’assurer que personne ne la touchais, personne ne lui faisait du mal. Malgré que tu ai trop la trouille pour tout simplement l’approcher, lui parler pour la première fois en onze ans.


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Tu vas maintenant pouvoir aller recenser ton avatar et recenser ton groupe . Une fois cela fait, tu seras libre de créer ta fiche de liens ainsi que de te trouver un logement ou même de demander un joli rang ! .Et enfin pour finir, tu peux créer ton ou tes scénarios en cliquant ici ! Si tu as toutefois envie de rp tout de suite, voici un sujet de demandes de rp, tout beau tout propre ! Une dernière chose et puis ce sera bon, pour récolter ton argent et te procurer les dernières nouveautés IG (et sur le forum, sait-on jamais), je te propose de te rendre au marché de Bray. Si tu souhaites t'éclater en rp et gagner un peu plus de sous, les défis sont là pour toi ! N'hésite pas à voter pour le top site, ni à poster un joli message sur PRD pour nous faire connaître . Bon jeu sur UL !!!!
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