| | | Mer 4 Mai - 12:21 | | Zachariah Andrew Pritchard « 'Cause sometimes to stay alive you gotta kill your mind »   Mes parents m'ont appelé Slade Andrew Pritchard ! Je suis né le 16 septembre 1985 au Reykjavik, Islande. Je suis un élément de 31 ans. Pour plus de précisions, je suis hétérosexuel et présentement célibataire. Je suis fier de dire que je travaille en tant que garde du corps et fraudeur à temps partiel, ça paye pas beaucoup la chasse, ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt modéré On me dit souvent que je ressemble à Garret Hedlund, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe feu, et plus précisément je suis chasseur. Les petits détails
T’as passé quatre ans dans les coins chaud de l’Afrique. T’en as vu de atrocités et ça t’as changé. T’es plus le même que t’étais avant, t’as des principes, des limites à ne pas dépasser, t’es capable de contrôler ta rage, ta haine. ∧ Ta famille, c’est toute ta vie, et même si parfois t’aurais bien envie de les découper en rondelles, tu tiens à elle comme à la prunelle de tes yeux ∧ Ça t’as dégoûter quand t’as appris que tes frangins entretenait une relation plus que familiale. Elle, elle est adopté, c’est pas contre nature d’un sens, mais elle est votre soeur, même si elle n’as pas votre sang. Tu sais pas trop si t’était dégoûter par eux ou par toi qui as pas été capable d’empêcher ça avant, t’était trop occupé à te saouler et à lancer ton poings dans la figure des gens. ∧ T’es un chasseur dans le sang, et même si ta tes limites, tes principes, tu hait les créatures, sans distinction T’as été élevé comme un chasseur, et c’est pas mal tout ce que tu sais faire. T’as ça dans le sang, ça coule dans tes veines, et tu voudrais pas faire autre chose. ∧ Ton arme préféré c’est la machette ∧ Tu excelle au lancer du couteau ∧ T’essaie toujours de calmer les ardeurs des autres membres de ta famille, de leurs mettre un peu de raisons dans le crâne. ∧ Depuis que t’es revenu, tu essai de montrer l’exemple à tes frangins ∧ T’as toujours vécu sur la route, depuis que vous vous êtes installé à Bray, t’as cette envie qui te tiraille, celle de prendre ta voiture et de repartir ∧ T’as une armurerie dans ta voiture, t’as tendance à te dire que t’aime mieux être trop prudent que pas assez ∧ T’as toujours fait de la fraude pour payer tes factures, t’aimais beaucoup trop être sur la route pour t’arrêter quelque part et te trouver un emploi, mais cette fois, tu t’es engagé, t’as trouvé un emploi, t’avais besoin des connections. ∧ t’aime la boxe, ça te permet de cogner, d’évacuer ta rage. | caractère
T’as cette rage en toi, elle fait bouillir ton sang, te fait voir noir, te donne envie de tuer tout ce que tu vois, mais cette haine, cette rage, t’es capable de la géré, t’es capable de voir les teintes de gris, de pas tout voir en noir et blanc, de pas te laisser dévorer par la colère. T’as pas toujours été capable, avant de partir en Afrique, t’était pareil que ta famille, la même haine, la même rage, t’avais bien cette voix dans ta tête qui te disait d’arrêter, qui essayais de te calmer, mais tu l’écoutais pas, et puis t’es partit. C’est peut-être le fait que t’avais plus l’influence de ta famille ou que t’étais dans l’un des pires coins de l’Afrique, mais t’as changé. T’es un peu plus terre à terre que ton frère et ta soeur, t’as des limites, des principes, tu ne tue pas tout le monde, t’es capable d’avoir de la pitié, d'éprouver quelques chose, et t’en as fait un devoir de mettre un peu de plomb dans la tête de tes frangins, de pas les laisser détruire la terre parce qu’ils en avaient envie. Après tout, t’es l'aîné, t’as pas toujours pris ton rôle au sérieux, en vrai, t’as pas souvent donné le bon exemple, mais tu hésite jamais à le rentrer dans une conversation, à faire faire valoir ton point simplement parce que t’es l'aîné. T’es impulsif, t’as tendance à grimper à pété un câble pour pas grand chose, mais encore là, t’as appris à la géré ta colère, à prendre une ou deux respiration, à ne pas dépassé la limite, t’as appris à prendre ton mal en patience, mais t’aime toujours te bagarrer, en vrai, parfois tu cherche la bagarre simplement parce que t’as envie de balancer ton poings dans la figure d’un autre. T’as aussi une grande gueule, t’en manque jamais une. T’aime ça rire, t’aime ça balancer des blagues pourries, de faire chier tes frangins avec des coups bas. Toi ça te fait bien rire, eux un peu moins. Mais tant aussi longtemps que toi ça te fait rire, t’as aucun problème avec la chose. T’aime les femmes, t’aime beaucoup les femmes, et tu ne t’en prive pas, mais étrangement, t’es pas totalement l’enfoiré de service, t’es pas un prince charmant, au contraire, t’as aucun problème à mener une femme en bateau simplement pour l’avoir dans ton lit, mais t’es non plus celui qui ferait à croire que t’es prêt à une relation, parce que toi et les relations, t’en as la haine. Tu peux pas les supporter. Alors, tu te tiens loin des filles à problèmes, des filles qui demande plus qu’une bonne baise. |
on ne change pas le passé Le sang. Tu es née dans le sang, dans la haine et la rage, dans la douleur et les cris qui résonnait dans la terre. Tu es né avec un destin, un but. Avant cette journée, avant ce moment, tu ne te souviens plus de grand chose, tout es flou, c’est ton premier vrai souvenir, ta naissance. Tu es né alors que tu plantais ton couteau dans la poitrine d’un autre enfant, à peine plus jeune que toi, un tempestaire. Tu te souviens de ses cris, tu te souviens de la traque. Tu te rappelle tes parents qui t’encourageait, qui t’aidaient. Tu te rappelle de la haine dans ton coeur, de la rage dans tes veines, de l’adrénaline dans ton âme, de cette voix qui te criait de t’arrêter, cette voix dans ta tête que tu as appris à ne pas écoutez, à l’enfoncer loin dans ton âêtre. Tu voulais tellement rendre tes parents heureux, voir cette fierté éclairer leurs yeux. Et pour être fier, ils l’étaient. Tu avais à peine cinq ans, ta première victime au sol. Ta première traque seul ne se ferait pas avant plusieurs années, tu en avais encore tellement à apprendre, mais tu n’avait pas hésiter, tu était tellement convaincu que c’était des monstres, des créatures qui ne devraient pas exister, on t’avais nourrit de haine depuis le berceau, nourrit de lait agrémenter d’une touche de dégoût, d’un soupçon de répulsion.
Une nouvelle dans la famille, elle t’avais intriguée au début, tu la trouvais un peu étrange, elle ne parlait pas, jamais, pas un mot. Et toi, tu savais pas trop comment géré tout ça, alors tu laissais ton petit frère le faire, tu le laissais t’occuper d’elle parce qu’il semblait bien le faire. Et puis, vous étiez toujours sur la route, sans jamais resté plus longtemps au même endroit que quelques mois, au mieux deux ans. Et tes parents, ils n’étaient pas toujours là, parfois partant pendant des jours, en chasse. Alors toi, tu t’occupais de ton frère, de celle que tu considérais maintenant comme une soeur. Tu essayait de t’occuper d’eux. Mais parfois ta mère restait et c’est toi qui partait avec ton père, et t’aimais ça. T’aimais ça partir en chasse, t’aimer l’adrénaline, la traque, la rage. Tu voulais tellement faire plaisir à tes parents, à voir cette fierté encore et encore et encore. Alors t’enfonçais cette voix, cette voix qui te mettait des limites, pas les enfants, pas les femmes, cette voix, tu l’enfonçais loin. Entouré de ta famille, entouré de leurs haine, de leurs rages, tu n’était pas mieux qu’eux.
Ton dégoût qui se répandait dans tes veines alors que tu pouvait voir les deux corps de tes frangins s'enlacer dans un lit, nu. Cette rage qui t’avais fait hurler, pendant l’espace d’un instant, tu t’était demandé pourquoi tu n’avais pas été plus là, si ce n’était pas de ta faute finalement, de ne pas avoir montré l’exemple, t’avais été trop occupé avec la bouteille, à balancer ton poings dans le visage d’un autre, à ramener des jolies filles dans ton lit. Tu avais arrêter de t’occuper d’eux, t’en avais eu ta claque, alors tu t’étais éloigné et regarde ce que ça donnait. Et même s’ils étaient repentant, même s’ils promettaient de ne plus recommencer, tu as été soulagé quand ton frère à décidé de partir, de s’éloigner. Et puis, elle aussi était partie. Et toi, ta décidé que c’était ton tour, que tu allais suivre le mouvement. T’avais besoin de temps, seul, pour digéré les évènements récents, pour pardonner à tes frangins aussi, pour apprendre à vivre loin de la famille que tu aimais tant. Alors tu es partit, t’as pris ton sac, tes maigres possessions et tu t’es envolé pour l’Afrique.
La jungle, la chaleur étouffante, tu avais un terrain de chasse, ton terrain de chasse. Et puis, une journée, tu as suivit les cris qui résonnait jusqu’à toi, tu as suivit les coups de feu, l’odeur de la mort, l’odeur du sang. Et tu l’as vu, ce village à feu et à sang, des enfants massacrés au sols, des femmes se débattant, d’autres mutilées au sol, les hommes massacrés. Toi, tu pouvais rien faire, tu pouvais que partir, t’éloigner. T’étais pas un héro, tu le savais, et eux, étaient beaucoup plus nombreux que toi. Alors t’es partit, avec la haine qui pompait ton sang. T’as chercher à savoir pourquoi, comment. Tu savais ce qui se passait dans le coin, t’avais fait tes recherches, mais tu n’avais jamais vu cette folie dans les yeux d’un homme, jamais à ce point. Alors tu t’es engagé avec l’armée, t’était pas un militaire, t’étais pas sous leurs ordre, mais tu savais te battre, tu n’avais aucun problème à tuer, et eux avait besoin de toute l’aide nécessaire. Et t’as appris à écoutez cette voix dans ta tête, à ne plus l’enterrer. Tu continuais à tuer des monstres, mais t’avais tes limites, tes principes, même s’ils te dégoûtaient tout autant. Tu te disais qu’un jour tu reviendrais quand les enfants serait adultes, que pour l’instant, ils n’avaient eu comme seule faute, de ne pas avoir les bon parents. Tu te dit que c’est parce que pour la première fois, tu était seul, loin de ta famille, de la haine et de la rage qu’elle engendrait, tu n’avais plus besoin de leurs approbation, de leurs fierté. Pour une fois, t’étais seul. Alors t’appris à penser par toi même, à te mettre des limites, à poser des questions avant de tuer, à contrôler ta rage, ta haine. T’as tout vu, tout entendu, des enfants soldats qui ne semblaient plus totalement humains, des femmes tellement mutilées que tu n’avait que d’autre choix que celui d’achever leurs souffrances, des villages entier massacrés, t’as vu la peur dans des hommes fort, la haine chez des enfants d’à peine trois pommes de haut. Et tu t’es reconnu. Tu t’es vu chez eux. Et pour la première fois de ta vie, t’as eu l’impression de vraiment faire une différence, tu traquais toujours, tu débarrassais les monstres de la terre, mais tu aidais aussi et tu demandais rien en échange.
Pendant quatre ans, tu as parcouru les pays chauds d’Afrique, et tu as eu l’impression d’avoir fait une différence, mais quand tu as décidé de revenir, quand tu as réalisé que ça faisait assez longtemps que t’étais partie, assez longtemps que tu était loin de ta famille, tu es revenu. Tu as repris ton sac et tes maigres possession et tu t’es envolé pour l’Amérique. Et même si au fond de toi, t’as eu l’impression que tu allais peut-être revenir l’homme qui enterrait ses limites et ses principes, tu savais que ce ne serait pas le cas. Tu avais changé, beaucoup plus profondément que tu ne le pensait. Et pour une fois dans ta vie, tu savais que tu pourrais prendre ton rôle d'aîné, que tu aurais la force de l’assumer. Alors t’as quitter la chaleur et la nature, tu es revenu près de la famille que tu aimes tant. Tu te sentais prêt. Et puis, tu savais que ce serait un défi, parce que la folie que tu avais aperçu dans le regard de certains hommes, elle se reflétait dans le regard des membres de ta famille.
Tu étais content de tous les revoir, parce que malgré tout, ils étaient ta famille, et la famille, ça l’avais toujours été important pour toi, ça l’avais toujours été une partie de toi, indissociable de ton toi-même. Et même si parfois t’avais envie de tous les séquestrer et de leurs apprendre à vivre, ton coeur était rempli d’amour pour eux. Pour eux, tu piétinerais tes principes, tes limites. Pour eux, tu mettrais le monde à feu et à sang. Et même si parfois, tu semblait un peu distant, tes frangins étaient pas mal plus proche l’un de l’autre que tu ne le serais jamais. T’as repris la route, revenant que quelques jours, quelques semaines, avant de repartir aussi longtemps. T’aimais la route, t’aimais prendre ta voiture, voir les paysages défilé devant toi, et même si parfois t’aimerais ça avoir un co-pilote, tu t’arrangeais bien avec ta solitude, avec ton toi-même, ça te permettais de mettre tes idées au clair.
Un nouveau départ, tu t’en doutais qu’ils ne resteraient pas éternellement dans la petite ville des États-Unis, tu n’en avais cure. Alors t’as suivit le mouvement, après tout, tu voulais resté avec ta famille, près d’elle du moins. Vous êtes partit à Bray, en Irlande, une autre petite ville. Amplement de quoi chasser sans faire des kilomètres, alors tu t’es pris un boulot, t’as mis une pause sur la route, t’as décidé que tu allais te rapprocher de ta famille, que tu allais montrer l’exemple pour une fois dans ta vie, mais parfois, tu te prenais à regarder la route, celle qui menais à l’extérieur de la ville, et toi, ça te démangeait de reprendre ta voiture et de repartir à l’aventure. Mais tu secouais la tête, et tu reprenais ton train-train quotidien, mais tu le savais qu’un jour tu allais repartir, que tu serais pas capable de rester éternellement dans aux même endroits, même si tu savais que vous repartiriez tous d’ici quelques années, pour toi c’était trop longtemps. T’avais la bougeotte dans le corps, t’étais un nomade après tout.  | Derrière l'écran
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beau gosse 
Garrett est juste 
je l'ai déjà incarné et j'y avais pris beaucoup de plaisir (surtout pour les yeux 
)
J'espère que tu t'éclateras avec ce nouveau personnage 
(Et puis Garrett 