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 L'enfer est vide, tous les démons sont ici. ~ Xion & Sirius [/!\ +18]

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Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile.

Xion & Sirius

Xion ainsi collé contre moi, mon cerveau avait fini par se débrancher totalement pour me laisser dans une semi-conscience bien agréable. Pas de questions, pas d'inquiètude. Mon corps réagissait tout seul, comme si les informations ne passaient pas par le crâne avant. Aussi, quand il tira ma tête en arrière pour m'embrasser et me regarder dans les yeux, je serrais naturellement mes bras autour de lui, répondais à son baiser. C'était doux, c'était agréable, et avec une belle saveur du passé. Une dernière fois. Comme... comme pour se dire adieu, comme pour se séparer définitivement, avec un brin de tendresse. Je n'étais pas contre. Jusqu'à ce que je l'entende. Jusqu'à ce que mon cerveau se remette en marche pour quelques secondes. Jusqu'à ce que je réalise ce qu'il venait de me dire, entre deux baisers, dans un murmure. Sans compter que ça devenait difficile de rester lucide avec l'alcool, la drogue, et ses mains sur mon torse, sur ma peau. Bon sang... ça m'avait manqué aussi... Sentir ses mains sur moi... Ahem. Donc, je lui avais manqué, et il se donnait entièrement à moi... L'alcool devait lui être monté à la tête aussi, il disait ça trop facilement. Ou alors... ça lui faisait dire ce qu'il ne voulait pas dire sobre... Alors qu'il m'embrassait, je mordillais sa lèvre, un peu pour lui dire d'arrêter, même si concrètement, ma langue était plus que heureuse de pouvoir retrouver la sienne. Profitant de notre besoin d'air mutuelle, je posais mon front contre le sien en prenant son visage entre mes mains, caressant ses joues avec mes pouces.

Tais-toi... tu m'as manqué aussi, mais tais-toi... S'il te plais, Xion...



Afin de lui montrer que ça n'avait rien de méchant, je l'embrassais à mon tour avec passion, faisant glisser sa veste de ses épaules. Non pas que ça ne me faisait pas plaisir d'entendre ce genre de choses, je ne voulais pas réfléchir surtout. Ce que me faisait justement faire ses propos. Mes réflexions pourraient tout gâcher, ce que je n'avais absolument pas envie qui arrive en cet instant. Sans me détâcher de lui, je parvins à lui enlever sa veste de costume et aussitôt, mes doigts vinrent détâcher les boutons de sa chemise, commençant par le bas. Et tout en remontant, j'en profitais pour caresser sa peau, pour l'effleurer, la redécouvrir. Il n'avait tellement pas changer. Sa peau était toujours aussi parfaite, toujours aussi douce, toujours aussi merveilleuse. Oh oui... Je lâchais finalement ses lèvres pour venir m'attaquer à son cou et le haut de son torse, les couvrant de baisers. J'avais l'impression d'être... un putain de camé se jetant sur sa première dose depuis des mois de sevrage. C'était pathétique, mais pourtant, alors même que cette image me révulsait, là, je ne pouvais pas m'arrêter, c'était plus fort que moi. Mon corps tremblait d'excitation, mais pas seulement. Je crois que j'étais un peu terrifié aussi. Que tout ne soit qu'une hallucination. Ou que d'ici peu, je me réveillerai dans mon lit, frustré. Chassant cette hypothèse en remontant vers sa bouche, mes mains quittèrent son dos où elles s'étaient arrêtées pour pouvoir lui retirer le dernier vêtement recouvrant le haut de son corps.

En le voyant torse nu, assis sur mes jambes, je soupirais et souriais d'aise en me laissant aller contre son fauteuil. Mes mains avaient repris leur reconquête de ce corps qui avait été mien par le passé, ses épaules, ses clavicules, ses côtes, son ventre, puis ses cuisses. J'avais envie de lui. C'était une évidence. Je n'avais jamais cessé d'avoir envie de lui. Ce n'était pas pour rien que mes conquêtes d'un soir avait toujours plus ou moins une ressemble avec Xion, de près ou de loin. Mais là, j'avais le vrai. L'original. Celui qui me rendait fou depuis le début. Mon sourire se fit d'autant plus grand alors que je sentais mon corps trahir mon excitation et mon envie. Évidement. Ça aurait été trop demander à mon être de respecter un peu mon égo et ma fierté...

T'es tellement beau...


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Je n'aurais pas dû lui avouer tout ça. Jamais. Je le sus à la seconde où il m'intima de me taire, de ne plus avouer, consciemment ou non, ce genre de déclarations. J'avais eu un instant de faiblesse. Ca ne se reproduirait plus. Le regard triste, je répondis à l'affirmative en gardant le silence. Ses mots m'avaient transpercé le coeur alors que je ne m'y attendais pas, et le regard qu'il me lançait, aussi doux pouvait-il être, s'arrangeait rien à ça. La douleur était bien présente, vivante au creux de mon coeur. Profiter en silence de ce qu'il m'offrait.

A partir de ce moment, je me laissais entièrement faire, le laissant virer ma veste avant de s'occuper des boutons de ma chemise. Le coeur battant, le désir m'envahissant petit à petit alors qu'une pointe d'appréhension était bien là, cachée derrière la tristesse. La simple pensée qu'il s'agissait sans doute de la dernière fois me faisait un mal de chien. Ce n'était pas ce que je voulais, je n'étais même pas sûr de pouvoir le supporter. Malgré ça, je frissonnais à chaque fois qu'il posait ses longs doigts sur ma peau, peu importe l'endroit. Et ses baisers, n'en parlons même pas.

Lorsqu'il quitta ma bouche pour mon cou, la naissance de mon torse, j'ai levé la tête en fermant les yeux, m'accrochant à lui comme si il pouvait disparaitre à tout instant. Mon corps en demandait plus, évidemment, mais je préférais garder le silence, faisant simplement en sorte de faire taire les gémissements qui menaçait de sortir de ma bouche à chaque fois que ses lèvres me frôlaient.

Quand il s'éloigna pour me regarder, continuant simplement ses caresses, je ressentis déjà un cruel sentiment de manque. Non, il me serait impossible de faire une croix sur lui après tout ça. A ses paroles, j'affiche un faible sourire. J'étais flatté, évidemment, mais cela me laissait un goût amer. Je lui plaisait toujours autant, je savais cela avant même sa réflexion. Mais l'entendre, qu'il me l'avoue de sa bouche, c'était tout autre chose. Et étrangement, je n'avais pas envie de l'entendre.

Me levant alors, je l'attrapais au vol pour qu'il suive le mouvement, nous ramenant debout. J'entrepris de déboutonner sa chemise à mon tour, commençant par le haut, arrivant rapidement à sa ceinture. L'espace de quelques secondes, je me permet de détailler son torse, de le redécouvrir tout comme lui l'avait fait avec moi. Alors, je ne pu m'empêcher de venir l'embrasser, goûtant sa peau tout en glissant mes mains vers l'objet de ma convoitise. Je soupirais d'aise à chaque parcelle de peau, descendant puis remontant jusqu'à son cou que j'avais un peu de mal à atteindre. Comme toujours. Un regard, l'une de mes mains remontant jusqu'à sa nuque. Il ne m'en fallait pas plus pour fondre une nouvelle fois sur ses lèvres.
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Xion & Sirius

Dès que je croisais son regard, un regard triste, je compris que j'avais fait une boulette. Je n'aurais pas dû dire ça. Sans le vouloir, alors qu'à la base mon but était de le faire, je lui avais fait du mal. Et je sentais mon cœur se serrer, je me sentis horriblement coupable, et j'avais envie de me rattraper. Sauf que la partie de moi qui ne voyait que la vengeance hurlait que c'était bien fait. C'était le bordel dans mon crâne, dans mon cœur, mais quand il se leva en me tirant vers lui, une fois encore, ce fut le vide dans ma tête, j'oubliais tout, profitant juste de ce moment. Pendant qu'il détâchait ma chemise, je posais une main sur sa nuque, la caressant doucement, jouant avec ses petits cheveux. Il était pire que beau. Il était divin. Alors qu'il s'amusait litéralement avec mon torse, je ne pu m'empêcher de frissonner à chacun de ses baisers, à ses caresses, à ses mains très proches de ma ceinture. Non... ça ne pourrait jamais être la dernière fois. Impossible. Maintenant que j'avais recommencé à goûter à ses caresses et ses baisers, je ne pourrais plus m'en passer, c'était certain. Je venais probablement de faire la pire (ou la meilleure) erreur de ma vie en le laissant me toucher, je lui redonnais mon âme entre ses mains, je reliais encore mon existence à la sienne. Le cœur tambourinant dans ma cage thoracique, je baissais la tête pour répondre à son baiser en posant mes mains sur ses hanches, le collant contre moi, nos torses, nos peaux nus se frôlaient, se frottaient. Mais elles descendaient lentement vers son fessier, l'aggripant doucement. Ce simple contact m'excita davantage, remua pas mal de choses en moi. La température de mon corps augmenta un peu plus, me donnant l'impression de brûler de l'intérieur.

Pendant que ma langue venait retrouver celle de Xion, une de mes mains se glissa entre nous pour venir m'attaquer à sa ceinture et sa braguette, mais la seconde dû s'y ajouter, tellement je tremblais tellement d'excitation et j'avais du mal à me concentrer sur ce que je faisais. Je me sentais à la fois terriblement bien, mais extrêmement mal aussi, je sentais que j'avais envie de pleurer, de hurler, peut-être de le frapper aussi, mais je ne voulais pas qu'il s'en aille non plus. Contrairement à ce que j'avais pû penser, je ne voulais pas qu'il se lasse et qu'il reparte. Je ne voulais pas qu'il laisse tomber. Putain, mais pourquoi est-ce que je pensais à ça maintenant ?! Secouant la tête pour évacuer tout ce bordel, je vins couvrir son visage de baisers, jusqu'à ce que son pantalon finisse pas lui tomber sur les cheveilles. Un léger coup d'œil plus bas suffit à m'exciter davantage et à me donner envie de lui faire du bien. Doucement, je me descendais en couvrant sa peau de mes lèvres, jouant au passage avec son nombril, avant de m'arrêter devant son bas-ventre, à genoux devant lui. Je savais que cette image lui plaisait et ne le laisserait pas indifférent. Avec un mince sourire, gardant mes mains sur son postérieur, j'allais embrasser son sous-vêtement, tirant un peu sur l'élastique avec les dents, pour le lui retirer avec une lenteur calculée. Je voulais le rendre fou autant que lui me mettait dans tous mes états.

Personne ne va venir nous déranger, pas vrai ?



Je faisais exprès de murmurer contre sa cuisse, de souffler doucement sur sa peau pour le faire frissonner, sans pour autant le toucher là où il le voudrait. Pas tout de suite. Je crois que... j'avais envie de l'entendre gémir et se tortiller, je voulais qu'il me demande de lui donner ce qu'il voulait. Non, pas qu'il me supplie. Encore que... Alors que Xion était totalement nu devant moi, je pris le temps de le délivrer de son pantalon et son sous-vêtement à ses chevilles, ainsi que de ses chaussures, le laissant s'appuyer sur moi. Une fois ma mission accomplie, je me relevais et le fis tourner sur lui même pour pouvoir l'observer entièrement. Je n'avais jamais rien connu de plus excitant que de le voir ainsi, dans le bureau de son entreprise. Tremblant toujours, je venais me coller contre son dos, passant mes deux bras autour de sa taille en mordillant son cou.

Rectification... t'es encore plus beau qu'avant, Xion...


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Accroché à ses lèvres, kidnappant une nouvelle fois sa bouche, je me sentais défaillir dans ses bras. Nous étions tout deux à moitié nus l’un contre l’autre, bien loin de notre dispute, de la baffe qu’il m’avait donné, de toute sa haine et sa colère. Et bordel, j’en voulais tellement plus… Encore et toujours plus… Aussi, lorsque ses mains reprirent leurs caresses sur mon corps, se dirigeant vers la fermeture de mon pantalon, je sus qu’il accédait à ma demande silencieuse. Il me voulait autant que je le voulais. Ses lèvres quittèrent les miennes pour couvrir mon visage de baisers jusqu’à ce que je sente mon pantalon atterrir sur mes chevilles. Les battements de mon coeur résonnaient dans mes oreilles tandis que je fermais les yeux alors qu’il descendait, petit à petit, me faisant frissonner comme jamais. Lorsqu’il arriva à la lisière de mon sous-vêtement, je rouvrais les yeux en ayant presque le souffle coupé, rivant mes yeux sur lui, l’observant s’amuser de mon état alors qu’il entreprenait d’enlever le vêtement avec ses dents. Je ne pouvais détacher mes yeux de cette scène, me mordant la lèvre pour essayer de ne pas gémir, de ne pas trembler tandis que tout mon être le désirait de plus en plus ardemment.

Ses paroles, je les accueillaient d’un hochement de tête positif, incapable de m’exprimer autrement alors qu’il continuait son manège, apparemment bien décider à me rendre totalement fou. Soit, je ne pouvais demander mieux pour notre dernière danse. Il ferait ce qu’il voudrait de moi, quitte à ce que je perde la tête. Il n’arrêta de me torturer que pour me libérer de mes entraves encore présente à mes pieds. Ensuite, il se releva, me faisant à nouveau face, ses yeux bleu me transperçant littéralement. J’y voyais le désir qui l’habitait, ce regard que je connaissais tellement bien. Ce regard était tout ce que je désirais. Je me laissais encore faire alors qu’il me faisait tourner sur moi même pour m’admirer. Je sentais son regard sur moi, sur chaque parcelle de ma peau qui s’enflammait à la seconde. J’eu l’impression que les quelques secondes qui s’écoulaient avant qu’il ne me touche ressemblaient à des siècles.

Puis, je sentis son corps se coller au mien, m’arrachant un gémissement alors qu’il s’attaquait directement à mon cou. J’accueillais son compliment en essayant de réprimer un tant soit peu mes désirs, mais j’abandonnais vite l’idée, ayant bien trop envie de m’abandonner à lui. Je sentais son envie contre mes fesses, et je devais l’avouer, cela ne faisait que m’exciter encore plus, si du moins c’était possible.

L’une de mes mains glissa jusqu’à sa tête, dans ses cheveux, tirant légèrement dessus comme pour l’encourager, pour qu’il ne s’arrête jamais alors que l’autre rejoignait la sienne, la dirigeant vers mon bas ventre, là où mon envie se faisait attendre. Qu’attendait-il ? Combien de temps continuerait-il ses tortures, si douces soit-elles ? Je refusais de le supplier, pas maintenant… Pas tant que lui arrivait encore à se contrôler.

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L'avoir ainsi dans mes bras, contre moi tenait presque du miracle. Je ne parvenais pas encore à le réaliser, valait peut-être mieux pas en fait. Je commençais enfin à être bien, à ne plus me poser de question pour juste profiter de ce moment merveilleux. Au contact de sa main sur ma nuque, je frissonnais violement et mordis de nouveau dans son cou, lui laissant la trace de mes dents. C'est son truc qui allait se poser des questions ! J'adorais rien que cette idée. Une de mes mains resta posée sur sa taille alors que l'autre, guidée par la sienne, attrapait son érection doucement, commençant des caresses un peu plus appuyées. J'adorais le sentir dans ma main, l'avoir dans le creu de ma main, sentir, constater combien il avait envie de moi ne pouvait que rendre plus réelles les choses, plus vraies. C'était tout ce dont j'avais envie. Savoir qu'il me voulait, moi et aucun autre, savoir que je lui faisais toujours autant d'effet, il n'y avait pas mieux, pas plus... excitant. Presque malgré moi, tout en le caressant et jouant avec la peau de son cou, je frottais mon bassin contre ses fesses, commençant à me sentir un peu frustré de ne pas être touché. Si bien que je lâchais sa taille pour prendre sa main à mon tour et la glisser entre nous. Je portais encore mon pantalon et mon sous-vêtement, je ne lui avais pas vraiment laissé le temps de s'occuper de moi, mais là, ça commençait à être un peu trop tendu pour moi. Je glissais donc sa main sous mes couches de vêtements pour que lui aussi touche mon érection et soulage un peu la tension. Je ne voulais pas aller trop vite non plus, histoire de pouvoir faire durer chaque minutes, chaque secondes passsées à ses côtés. Je n'avais pas de mots pour décrire mon bonheur en cet instant. Je n'étais peut-être pas le plus heureux des hommes, mais c'était quelque chose qui s'en rapprochait.

Alors que nos mains étaient très occupées, et que j'avais toujours envie de l'entendre gémir à nouveau, je vins chercher ses lèvres avec les miennes, mais pas pour l'embrasser. Pour jouer avec elles, pour les martyriser, et toujours un peu pour le provoquer. Ça avait toujours été un jeu entre nous, à celui qui craquerait le premier. Et j'avais bien l'intention qu'on reprenne ce petit jeu, quelque que soit la durée de... nos retrouvailles, ou quoi que ce soit ce que nous faisions. Nous avions cet avantage de connaître nos points sensibles, nos zones érogènes, ce que nous aimions et ce qui nous faisait perdre la tête. Je savais comment le satisfaire, je savais comment le combler. Je savais comment lui faire prendre son pied. Et toute la tour allait le savoir. D'ailleurs...

Au fait... il y a des caméras de sécurité dans ton bureau ?


C'était à la fois une demande pour notre intimité et confort, mais aussi une réelle curiosité. Si quelqu'un nous surprenait, il se pourrait que ça puisse tourner les choses à mon avantage. Pour prendre les images et monnaier le silence ou non de la personne. Bon, je n'étais pas non plus à me dire qu'on pourrait en faire une sextape, mais quand même ! Les lèvres contre les siennes, j'avais plongé mon regard dans le sien, essayant de lire tout ce qu'il refusait de me dire, de sonder son cœur, quelque part. Je lâchais doucement son membre pour pouvoir le retourner encore et le soulever, faisant ainsi passer ses jambes autour de ma taille, le collant contre moi, faisant se toucher, se caresser, se frotter nos bassins. Là je savais qu'il allait gémir, qu'il allait forcément craquer. Enfin, moi aussi, mais ce n'était pas très grave. Tant que je le faisais gémir, j'avais gagné. Je posais mes mains sur ses fesses, pour le maintenir bien en place. Automatiquement, de pouvoir voir son sublime visage dans la lumière de la matinée, je souris, un vrai sourire. Un sourire franc, un sourire qui lui était réservé et qui n'avait pas illuminé mon visage depuis au moins trois ans.

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Lui tirer les cheveux eu l’effet recherché, et alors que je me délectais de ses dents qui pénétraient mon cou, je fermais les yeux, me laissant totalement envahir par la légère douleur suivie de l’extase de son geste. J’aimais ça. J’avais toujours adoré ça. Il le savait. J’allais avoir une belle marque pendant sans doute plusieurs jours, mais je m’en fichais, le simple fait d’avoir son emprunte sur moi suffisait à me satisfaire. Ce moment était à nous, et ses marques, elles n’appartenaient qu’à moi. Putain, ça m’avait tellement manqué.

Heureusement, il fini par rapidement accéder à ma demande silencieuse. Emprisonné dans sa main, je dus me mordre l’intérieur de la joue pour ne pas lâcher un gémissement bien trop intense. Il n’attendait que ça, je savais, mais je voulais le faire languir, ne pas tout de suite lui céder en sachant parfaitement que je finirais par le faire, tout comme lui. Ce petit jeu pouvait durer longtemps, mais après toutes ses années, je n’étais pas sûr d’avoir la même patience qu’avant. Ne pouvant qu’apprécier sa torture, je laissais mon désir monter en flèches tandis que les souvenirs de toutes nos parties de jambes en l’air me revenaient à l’esprit tel un flashback. Il me connaissait encore par coeur. Il savait où me toucher pour me faire défaillir, m’embrasser de manière à engager le manque, à me provoquer pour que je finisse par m’abandonner complètement à lui. Il jouait avec moi, et il continuait à le faire en m’incitant à le caresser lui aussi. Ravi de retrouver l’objet de mes désirs, je m’appliquais à lui donner le plus de plaisir possible, mettant mon propre plaisir au placard pour un petit temps. J’avais envie de lui en donner plus, de voir ses expressions, de lui faire perdre la tête sous mes coups de langue.

Sa question me paru venir d’ailleurs, apparaissant comme un murmure dans les oreilles. Je mis un temps à lui répondre tout en me demandant où est-ce qu’il voulait en venir, me félicitant mentalement d’avoir expressément demander à ce qu’aucune caméra ne soit installée dans cette pièce. Je tenais à avoir ma tranquillité, à réellement être seul quand l’envie me prenait. Et Dieu savait à quel point cela était habituel. Alors, dans un murmure, je lui répondis simplement que non tout en essayant de contrôler les frissons de plaisir qui ne cessaient de m’envahir.

Avant que j’ai pu faire quoi que ce soit pour réaliser ma nouvelle lubie, il arrêta ses gestes, me retournant face à lui avant de me porter, m’incitant à croiser mes jambes dans son dos alors qu’il glissait ses mains sous mes fesses. Au moment même où il commença son manège, l’idée que j’avais eu s’envola comme si elle n’avait jamais existé, écrasé par un désir bien trop longtemps retenu. A la seconde où je cédais alors, ne serait-ce qu’un peu, je capta son sourire, ce sourire que j’avais tellement chéri et que je rêvais encore de voir sur son visage. Pour le coup, je le lui rendis en me sentant encore plus troublé alors que tout ce que nous nous étions dis me revenait en pleine face. Je refusais de le croire une seule seconde à présent. Tout n’était pas fini entre nous malgré tout ce qu’il pourrait dire. Il m’aimait, à cette seconde, j’en était persuadé.

Pour toute réponse, je l’embrassais passionnément, d’une manière encore plus intense - si du moins cela était possible - m’abandonnant définitivement à cet homme avec qui je voulais partager ma vie.

« Fait ce que tu veux de moi… Tout ce que tu veux… »

Un chuchotement à son oreille, une plainte qui traversait mes lèvres alors que ma voix me faisait défaut. Je le voulais, je voulais qu’il soit à nouveau à moi, comme avant, comme si ses dernières années n’avaient été qu’un cauchemar.
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Xion & Sirius

C'était comme si ces trois années n'avaient pas existé. Ou du moins, à peu près. C'était un peu comme si on ne s'était jamais quitté, et... ça me plaisait. Je ne pouvais pas demander mieux que de pouvoir leurrer encore un peu plus mon cerveau pour lui faire croire que ça n'avait qu'un bad trip long et douleureux. Je fus quelque peu déçu d'apprendre qu'il n'y avait pas de caméras de surveillance, mais tant pis, c'était un détail, rien de plus. Je me perdais dans son regard, dans ses magnifiques yeux, Son visage sublimes. Mon regard se posa sur la marque que je lui avais faite, par encore trop visible, mais elle le serait dans quelques heures, un sentiment de fierté m'envahit alors, là où je l'avais mordu, il ne pouvait pas totalement la cacher. Je ne pouvais qu'être fier de moi et de cette preuve qu'il m'appartenait, qu'il était mien. Tout comme je lui appartenais, mais ça, je ne voulais pas qu'il le sache, s'il venait à l'apprendre, non seulement ma colère perdrait toute crédibilité, mais en plus il serait capable de croire que je lui étais acquis et qu'il pourrait faire ce qu'il voulait. Le plus longtemps il pensait qu'il devait se battre, le mieux ce serait.

Resserant ma prise autour de ses fesses, je haussais un sourcil en l'entendant m'autoriser à faire ce que je voulais de lui. Même si ça avait bien était mon intention depuis le départ, je ne crois que je ne m'attendais pas à ce que ce soit Xion qui me le dise. Ceci dit, j'en étais plus qu'heureux, je ne pouvais que constater son envie et son désir de me retrouver, peut-être de se faire pardonner... Mon côté vengeur me disait que je devais le laisser poirauter, il le méritait bien, mais j'étais bien trop excité pour le faire, j'en avais beaucoup trop envie et je ne pourrais pas me frustrer ainsi. Mon front contre le sien, je répondais à son baiser avec tout autant de fougue et je retournais lentement près du bureau, le faisant s'assoir sur le bord du bureau. Mon beau mage qui n'attendait que moi, qui n'attendait plus que l'on fasse de nouveau un. Je passais doucement mon pouce sur le coin de sa bouche puis sur ses lèvres, redescendant sur son menton et sur sa petite faucette. Je crois que je tremblais d'excitation mais tout simplement de bonheur aussi de pouvoir le toucher et sentir sa peau. Me collant contre lui, je relevais un peu ses jambes pour approcher mon érection de ses fesses, mais au dernier moment, je m'arrêtais, sans pour autant le lâcher.

Dis moi plutôt ce que tu as envie que l'on fasse. Ce que tu désires le plus.


Tout ça pour ne pas avouer que je voulais qu'il me touche, tout ça parce que je ne voulais pas le supplier de me faire un peu de bien pour quelques minutes. Depuis le temps que je rêvais qu'il me touche à nouveau, que les mains des autres soient les siennes, que les caresses que je recevais viennent de lui. Je savais qu'il comprendrait de toute façon ce que je voulais dire, on se connaissait trop bien. Je caressais ses cuisses doucement, remontant vers son membre que je touchais délicatement, comme une supplique silencieuse.

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