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 [LOTERIE N°5] money, get back (sasha&wolfgang)

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RACE : Tout et rien à la fois.
Loterie RP n°5

« money, get back »

Sasha&Wolfgang

N’importe qui serait faible devant ce temps radieux pour se promener et aller faire quelques achats. Vous n’y avez pas été de mains mortes, à croire que vous vous fichez de saigner votre porte-monnaie dans toutes les boutiques de la rue commerciale. Vêtements, chaussures, trucs inutiles, courses, vous êtes blindés de sac, et trop loin de chez-vous pour avoir le courage de rentrer à pied. Et c’est là qu’est l’os. Vous êtes montés dans un bus, chargés comme une mule. Vous vous en allez pour acheter votre ticket, mais eh, vous avez tout utilisé sans penser au moyen de rentrer chez-vous. Ce n’est pas le Magicobus, il ne suffit pas d’avoir l’air d’une âme en peine pour qu’il vous ramasse gratuitement. Vous êtes renvoyés dehors, et vous avez pas l’air idiot avec vos sacs. Vous cherchez au fond du porte-monnaie. Sait-on jamais, en raclant les fonds de tiroir, vous avez peut-être trouvé de quoi payer votre droit de transport pour le prochain bus. Rien à faire, c’est sec comme une terre aride. Vous n’avez plus le choix : mandiez. C’est assez dégradant, c’est concevable, mais peut-être que votre partenaire sera une âme suffisamment charitable pour vous prêtez deux euros cinquante.


Règles

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I took a walk on a Saturday night,fog in the air, just to make my mind seem clear where do I go from here? I see my breath pushing steam through the air, shaking hands run through my hair, my fears, where do I go from here?

Au lieu de rester enfermé dans ta demeure, tu as choisi de flâner dans le centre en ce temps radieux. Tes pas résonnent à cause de ta canne, tu te tiens bien droit. Lorsque l’on t’adresse un bonjour, tu leur réponds en baissant légèrement le menton par signe de politesse. Le jour t’éclaire, et tu parais moins effrayant que dans ta salle de classe. Tu caches bien ton jeu, tu le conçois, mais tu aimes aussi entretenir ce masque de bienveillance. Cela te donne l’impression de ne pas avoir décrocher avec ta vie à Berlin. Quand tu n’étais encore qu’un jeune magicien qui appréciait la musique et qui savait se faire apprécier des autres. Maintenant, il y a ces ténèbres qui te rongent, qui te rendent plus distant vis-à-vis des autres. La présence plus régulière de ton Djinn, aussi plaisante soit-elle, est un triste résultat ; tu t’endurcis, tu les épouses. Auparavant, jamais tu n’aurais levé la main sur un innocent. Tu l’aurais davantage défendue face à l’injustice, ou bien tu l’aurais aidé à s’échapper comme tu l’avais fait pour aider les prisonniers de l’Est passer en Ouest. Maintenant, tu leur arraches les yeux, tu les tortures, tu les condamnes sans jugements préalables. Tu n’en avais pas besoin, toutes les créatures étaient des erreurs de la nature, des démons. Cependant, une part d’humanité demeure encore, et c’est cette même part qui t’empêche de toucher à tes semblables et à leurs compagnons Djinn, ou bien encore aux humains faibles, fragiles et vulnérables. Le monstre que tu es devenu apprécie toujours autant la sociabilité, et c’est pour cette raison que personne ne se doute de ce que tu peux tramer dans ta cave. Car tu es poli, courtois et bienveillant à l’égard de tes élèves et de tes collègues. Même dans tes activités ombrageuses, tu demeures quelqu’un de droit dans ses bottes. Les Dux Tenebris ne t’apprécient par pour cela d’ailleurs. Ton âme est trop rigide, et quand tu as une idée en tête, tu la mènes jusqu’au bout. Même si cela veut dire ruiner la mission d’un autre. Tu t’en fiches puisque de toutes manières, tu n’es avec eux qu’à temp partiel. Cela te fait rire doucement. Ils te mettent à l’écart parce que tu leur inspires la terreur, mais ils ne sont pas un exemple de douceur non plus. Serais-tu encore plus monstrueux que les monstres en eux-mêmes ? Oui, et tu en es fier. Tu avances dans cette rue commerciale, et les gens s’écartent. Par politesse de voir un boiteux, ou par crainte, tu ne sais pas. Dans cette foule, sans doute y avait-il des victimes de tes chasses, des créatures que tu as croisées et qui sont dans ton collimateur, ou bien simplement des habitués de tes cours d’occultisme. Tu déplores dans Bray une absence notable de magicien, mais tu ne t’en plains pas plus que cela. Après tout, cela te permit d’avoir plus de temps pour toi le soir. Tu t’arrêtes devant une boutique d’ésotérisme, et tu jettes un coup d’œil. Tu vois s’il y a de nouveau arrivage. Un livre que tu n’avais jamais vu en vitrine encore te saute aux yeux, et tu en déduis que celui-ci est fraîchement arrivé. Or, tu ne peux passer à côté d’un ouvrage inconnu, alors tu entres et tu t’adresses à la vendeuse. Toujours aussi terrorisée en ta présence, mais tu ne dis rien. Tu te contentes de déposer un beau billet sur le comptoir et de prendre le parpaing de page, de code magique et de savoir sous le bras. Tu ressors, cette fois-ci chargé, mais tu ne fais preuve d’aucune maladresse. Tu es Wolfgang Weïssmüller, homme riche et bien éduqué, jamais tu ne te permettrais de trébucher ou de faire preuve d’une quelconque maladresse. Pas même avec ta canne. Tu reprends ton chemin, et ta route croise celle d’une jeune femme. Dépourvue, démunie, qui vient de se faire jeter de l’autobus. Tu hausses un sourcil, te demandant ce qu’il se passe et tu vois le véhicule partir. Tu la vois, charger de course plus que la raison ne le permettrait, et tu en déduis qu’elle a eu les yeux plus gros que le ventre. Tu ne la juges pas pour autant, et tu t’approches d’elle. Le claquement de ta canne contre les pavés annonçait ton arriver, et tu pris la parole. « Bonjour, est-ce que je peux vous aider ? Vous m’avez l’air prise par surprise. »Tu avais cherché tes mots pour ne pas paraître trop discourtois ou bien trop moqueur. Ce n’est pas l’envie qui te manquait, tu n’allais pas mentir sur ce point, mais tu te permettras d’en rire plus tard, quand le souci sera réglé.

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Money, get back


Il arrive parfois dans la vie qu'on est besoin de se changer les idées et ce qui fonctionne très bien pour moi, c'est le shopping. Quand tout va mal ou quand je me sens déprimée, je sors m'acheter un truc ou deux et ça va mieux. Bon, en général c'est mon portefeuille qui fait grise mine derrière, mais mon moral va beaucoup mieux. Et aujourd'hui, je ne fais pas exception à la règle. J'ai passé une nuit affreuse, à rêver encore de mon oncle et de ma tante et du jour où je les ai découvert dans un bain de sang. Je n'arrive pas à m'enlever ces images de ma tête, j'en fais toujours des cauchemars, même après plus d'un an. Et vu que je ne travaille pas, j'ai décidé d'en profiter pour faire un magasin ou deux. Après tout, je n'ai pas fait de dépense inutile depuis longtemps et j'ai bien le droit de me faire plaisir de temps en temps moi aussi. Je travaille dur, j'ai le droit à des petits plaisir de temps en temps. C'est en tout cas ce que je me dis en me dirigeant dans le centre de la ville. Malheureusement pour moi, il y a une différence entre un petit plaisir sans conséquence et vider son compte en banque pour des achats inutiles. Enfin inutile, c'est vite dit, cette petite robe que je me suis achetée à H&M fera un malheur cet été et ces chaussures à talons me donneront un look d'enfer quand je sortirais boire un verre ... si un jour j'arrive à reremplir mon compte en banque, bien évidemment ...

Sauf que voilà, c'est bien jolie de jouer les dépensières mais maintenant comment je fais pour rentrer ? J'ai plus un radis. Pourtant j'étais persuadée que j'avais encore un peu de monnaie ... "Raaah non, c'est pas possible !" Râlais-je dans ma barbe en fouillant mon portefeuille, puis le fond de mon sac, en quête de quelques pièces qui y traineraient. Pourquoi je suis aussi bête parfois ? Je m'exaspère ! J'habite à l'autre bout de la ville et je suis chargée comme une mule. Je ne me vois définitivement pas rentrer à pied, c'est impossible, je ne suis pas sportive et c'est trop lourd, il faut que je trouve une solution ! Une voix me sort de ma recherche et je lève les yeux sur un mec d'une quarantaine d'années, à l'allure un peu particulière, qui me fait face. "Bonjour !" Dis-je en souriant. "Je ... oui pour être honnête ! Je pensais qu'il me restait un peu de monnaie pour prendre le bus mais je me rends compte que j'ai mal calculé mon coup ... et je me retrouve un peu bête, sans argent pour rentrer chez moi ! " Dis-je en me sentant de plus en plus ridicule au fur et à mesure que je réponds à cet homme. Je dois passer pour la pire cruche qu'il ait rencontré. Cela dit ça ne doit pas être totalement faux. Comment voulez-vous que je demande de l'argent à des inconnus, les bras chargés de sacs ? Les gens ne sont pas débiles, ils vont bien comprendre que je suis qu'une pauvre conne qui a tout claqué dans les fringues et autre et maintenant se retrouve comme une débile, coincée ici. Ils me diront certainement de marcher, que ça me fera du bien et peut-être que ce serait une bonne leçon à retenir, mais je suis claquée, j'ai fait les magasins tout l'après-midi, j'ai juste envie de rentrer. Aaaah, si mon oncle était là, ça règlerait mon problème, mais je vais devoir me débrouiller toute seule. "Vous devez me trouver bien sotte !" Dis-je un peu timidement, mal à l'aise d'offrir cette image de moi ...


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I took a walk on a Saturday night,fog in the air, just to make my mind seem clear where do I go from here? I see my breath pushing steam through the air, shaking hands run through my hair, my fears, where do I go from here?

Tu la surplombes du regard et tu écoutes ce qu’elle t’explique sans vaciller. Cela ne t’intéresse pas vraiment de savoir ce qui lui était arrivé. Mais comme tu es d’un naturel poli, et que par simple banalité tu lui as posé la question, tu te dois d’écouter sa réponse maintenant. Elle t’explique alors son problème. Une simple erreur de comptabilité si tu en crois son récit et tu regardes ses bagages. Tu te demandes si ce n’est simplement pas une question d’irresponsabilité. Tes deux mains se joignent sur le pommeau de ta canne et tu ne rétorques que lorsque tu avais jugé pouvoir le faire. Nul déni ne traversait tes yeux sur le moment, car grandement récupérer par l’amusement qui l’envahissait. Un amusement naturel si on en juge ton caractère moqueur habituel, mais tu essayes de ne pas le faire voir pour qu’elle ne se froisse pas. Tu te redresses et tu ouvres enfin la bouche, ne serait-ce que pour placer un petit commentaire. « Ce sont des choses qui arrivent malheureusement, vous habitez loin ? Je peux vous ramener chez-vous si vous le souhaitez, ou bien vous dépanner d’un peu de monnaie. » Tout en prononçant tes paroles, ta main droite quitte son perchoir pour remuer l’air afin de donner du tonus à tes propos. Tel un chef d’orchestre, cet automatisme illustre ta bonne volonté comme s’il s’agissait d’un acte que tu faisais tous les jours. Ce qui n’était pas tout à fait faux avec du recul. Car pour être crédible et bien vu, tu ne peux pas te permettre de faire une bonne action dans le mois. Une par semaine, voir une par jour était le mieux que tu puisses réaliser pour être convainquant. Tu ne souris pas. Pas de manière excessive en tout cas, mais tu as l’air sûr de toi, c’est indéniable. Tu aimes l’argent, le luxe et l’or, mais tu n’es pas avare au point de ne pas partager un peu. Car tu sais très bien que tu n’en manqueras pas et que le bon dragon que tu es assureras toujours son lit de pièce dorée. Et puis, ce n’est pas deux euros cinquante qui va te ruiner. Tu attends sa réponse, son choix pour être exact entre tes deux propositions, et tu reposes ta main à sa place. Tu t’étais tut, elle n’avait plus aucune utilité. Elle a l’air si embarrassée, et elle te demande ton avis quant à sa sottise. Tu avais une violente envie de lui confirmer ce doute, de lui dire qu’elle avait été idiote de ne pas surveiller son argent, et d’avoir autant dépenser alors qu’elle n’avait pas des ressources infinies. Tu avais envie de la gifler pour lui remettre les idées en place, mais ce geste était surtout motivé par son attitude qui te rappeler cette de ce morveux pleurnichard et incapable qui est allé jusqu’à te laisser gober son œil pour pouvoir sortir de son cachot. Ce n’était pas Rod, calmes-toi. D’autant plus que tu fais laisser planer de longue seconde d’interrogation et de suspens inutilement. Ta langue claque sans un bruit contre ton palet et ta mâchoire craque un peu. Tu reprends ; « Pas vraiment, tout le monde est imprudent et ce genre d’accident arrive à n’importe qui. » La réponse la plus juste à ton gout que tu avais pu sortir. Maintenant que tu y penses, tu ne t’étais pas présenté. Quelle erreur bête. Et comme vous allez passer un peu de temps ensemble, suffisamment pour qu’elle soit dépannée, tu te devais de remédier à ça. « Je ne me suis pas présenté aux faites. Wolfgang Weïssmüller, j’enseigne à l’université. » Entre autres. Mais comme tu ne savais pas à qui tu t’adressais exactement, tu ne pouvais pas donner plus de détails. Droit comme un I, tu attendais qu’elle se présente à son tour et son prénom résonne dans ton esprit comme un échos. Tu portes tes doigts à ton menton, traçant ce dernier avec tes doigts. Si ton nom était connu pour les plus anciens Dux Tenebris comme étant le monstre a évité, toi tu connaissais davantage les nouvelles recrues car, paradoxalement, on te confiait la tâche de les roder pour les endurcir et les préparer à toutes les éventualités. Le dernier en date était l’un des petits-fils de ta cousine, et il allait longtemps s’en souvenir le pauvre.

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Wolfgang & Sasha

Money, get back


Hé oui, ce thé glacé en terrasse m'était complètement sorti de l'esprit et pourtant c'est à cause de lui que je suis à la rue pour le moment. Pourtant il était si délicieux, sa fraîcheur m'a fait un bien fou et m'a requinqué, on ne va pas se mentir. Sans lui, je n'aurai jamais pu faire les deux dernières boutiques. Cela dit, sans lui, je serai rentrée plus tôt, je n'aurai pas dévalisé mon compte en banque et j'aurai toujours de la monnaie pour le bus ... Mais pourtant, je ne le regrette pas, il était vraiment bon, frais et c'était ce dont j'avais besoin pour vraiment être de bonne humeur. C'est triste à dire mais si je pouvais revenir en arrière, je le prendrais quand même ! J'adore le thé glacé, est-ce vraiment un crime ?... Bon cela ne sert à rien de se prendre la tête avec cette histoire, quoi qu'il arrive je n'ai pas les moyens de revenir en arrière donc autant assumer ma bêtise et trouver une solution. Un homme est venu me parler, très certainement parce que je dois bien faire pitié actuellement. Je fouille désespérément dans mon portefeuille et mon sac, en quête d'un peu de monnaie, en vain. J'ai certainement l'air d'une folle, je ne me suis pas regardée dans un miroir mais il fait chaud et j'ai fait les magasins toute la journée, ma coiffure doit partir dans tous les sens actuellement, je dois être un peu rouge parce que j'ai chaud et je dois afficher une mine mi-désespéré, mi-contrariée. Je ne sers vraiment à rien, je me désespère toute seule. Je ne suis vraiment pas capable de m'occuper de moi. Je ne suis qu'une assistée !

"Oh c'est très gentil de votre part mais je ne veux pas vous déranger en vous faisant traverser toute la ville ... Par contre je ne peux nier que si vous aviez un peu de monnaie à me dépanner, je ne dirais pas non !" Je ne vais pas prétendre que ça ne me dérange pas de mendier de l'argent, mais on parle de quelques pièces pour payer le ticket de bus, pas de quoi me payer un nouvel appartement. Et puis je trouve ça moins dérangeant de lui demander un peu de monnaie plutôt qu'il se prenne la tête à faire un aller retour à l'autre bout de la ville rien que pour me dépanner. Si encore on se connaissait un peu, j'aurai certainement eu moins de scrupule, l'invitant à boire un verre à la maison en compensation ou à manger un morceau ensemble, mais là, je me vois mal inviter un total inconnu chez moi. Déjà parce que je sens qu'on ne vient pas du même monde, ce serait plus une corvée de venir dans mon appartement qu'autre chose et ensuite, je ne le connais pas. Je sais que je suis le genre de personne à faire dormir n'importe qui chez moi juste pour dépanner mais avec tout ce qui m'est arrivé ces derniers temps, j'essaye d'être un peu prudente. Mais bon, on ne va pas se mentir, je crois que ce qui me retient le plus, c'est que je ne me sens pas à l'aise avec lui et que j'entends mon oncle m'engueuler en me disant que quelques pièces suffiront largement et qu'il est hors de question que je dérange ce monsieur plus longtemps. Il est déjà sympathique de me proposer son aide, je ne vais pas en abuser.

Le silence s'éternise un peu et pour être honnête, ça ne me met pas vraiment à l'aise. Après je ne peux lui en vouloir de ne pas avoir envie de rebondir sur ma remarque. Oui, je suis une sotte et oui, il le reconnaît. C'est un peu vexant, c'est un fait, mais quand c'est vrai, pourquoi mentir ? Pourtant il finit par rompre le silence en me rassurant, prétextant que ça pouvait arriver à n'importe qui. Le voilà bien adorable de vouloir me rassurer ainsi. Ce n'est certainement pas complètement faux mais ça n'enlève pas le fait que je ne suis pas aidée malgré tout. Mais je lui offre un sourire de remerciement, j'apprécie qu'il ne m'enfonce pas ou ne me fasse pas la morale. Je sais que je suis une gourde, je n'ai pas vraiment besoin qu'on me le répète. "Sasha Lennox ... Je travaille dans une librairie." Je ne me considère pas comme libraire, parce que je n'ai pas l'expérience et le savoir d'un vrai libraire, je me contente juste de tenir la boutique pendant que le vrai libraire est à Dublin. Je fais de mon mieux, pour ne pas paraître trop incompétente et je dois bien avouer que depuis que j'ai commencé, je commence de mieux en mieux à me débrouiller. C'est pas encore le top et on sent que j'ai encore besoin de me faire les armes, mais il y a du progrès. Les habitués qui m'ont vu commencé sont les premiers à me dire qu'ils sont contents de me voir de plus en plus à l'aise dans mon travail, ça fait plaisir à entendre. "Vous enseignez quoi ? " Lui demandais-je, autant par politesse que parce qu'au fond, ça m'intéressais. Je ne suis jamais allée à l'université. Je sais que je n'ai pas ma place là bas mais parfois j'imagine ce qu'aurait pu être ma vie si j'avais continué mes études.


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Gentil de ta part ? Tu as presque envie de lui rire au nez, mais tu te retiens. Gentil, rien que ce mot te révulse. La gentillesse est -à tes yeux- relative à la naïveté de l’individu. Et toi, tu es loin d’être quelqu’un de naïf. Tu n’es pas tout noir, ni tout blanc. Mais tu as suffisamment d’expérience pour transformer ta fourrure blanche en écailles écarlates. Tu n’es pas gentil, tu es profiteur, calculateur. Tu cherches toujours à soigner ta notoriété et ton image. Pas pour te faire bien voir, ou même que l’on parle de toi. Non-non, pour qu’on ne te suspecte pas de quoi que ce soit et que personne ne vienne fouiller dans tes affaires. Quoi que, avec du recul, tu trouves que cela serait une bonne chose. User de ton propre exemple pour semer la terreur dans les yeux des autres, et les pointer du doigt pour montrer que le surnaturel est le mal absolu, le fruit du diable. Envahir leur esprit, mettre un visage sur le mot démon, ton visage. Tu as déjà traumatisé un oracle, pourquoi ne pas continuer ? Parce qu’aussi monstrueux es-tu, tu as encore une petite part d’humanité. Une petite voix qui te permet de te raisonner, quand tu es seul, sans ton Djinn. Tu finiras seul de toute manière, tu en as totalement conscience. Tu as conscience de tes actes, tu sais qu’ils sont impardonnables. Tu plonges la tête la première dans les ténèbres, et tu te réconfortes en te disant que c’est pour une bonne cause. Tu contrebalances en enseignant, en partageant ton savoir, en formant les futurs magiciens à user de leurs dons avec précautions. Ainsi, tes grisonnantes journées te permettent de fermer les yeux et de dormir à poing fermer. Mais bon, tu t’égards et dans tout cela, tu n’as même pas sorti ton portefeuille. Tu n’insistes pas quant à la ramener directement chez-elle, et tu fouilles ces plies en cuirs pour trouver deux trois pièces suffisamment grosses pour l’achat d’un ticket. Tu les lui donnes, et tu rouvres la bouche. « Cela ne m’aurait pas dérangé, ne vous en faites pas. Je n’habite pas non plus le centre. Tenez. » Aussi dérisoire était cette somme, tu sentais que cela te faisait mal malgré tout. Ta pitié avait ses limites, et l’argent valait plus que la bouille dorée de cette jeune femme. Tu n’avais pas à le compter à chaque fin de mois, tu n’as aucuns soucis à te faire là-dessus. Mais que veux-tu, tu es d’une vénalité déconcertante. Tu as beau démentir ton vilain péché, tu restes quand même quelqu’un de très avare. C’est d’ailleurs parce que tu estimes ne pas l’être que tu l’es, c’est ce qu’ils disent tous après tout. Tu t’efforces malgré tout de te concentrer sur autre chose, d’oublier rapidement tes quelques pièces devenues les siennes pour regarder les alentours. Tu te concentres notamment sur l’abris bus, et en particulier les horaires de passage. Toi qui prends très rarement le bus, car tu ne peux supporter le petit peuple agglutiné à l’intérieur, tu dois bien avouer que le tableau est d’un bordélique. Il a fallu que tu te fasses violence pour déchiffrer les lignes, les suivre du doigt pour ne pas te tromper. Tu souhaites surtout repérer le prochain, et tu en profites pour écouter ce qu’elle répondait à tes présentations. Une libraire ? Intéressant. « Je vois, vous aimez la lecture, non ? Est-ce que vous travaillez avec Mademoiselle Foalan ? » Car s’il y a une seule librairie que tu côtoies, c’est bien celle de la petite aveugle. Elle vendait beaucoup de livre susceptible de t’intéresser. Le dernier venait tout droit du Japon, et tu n’avais pas encore terminer de le traduire totalement pour comprendre les nouveaux esprits qui s’offraient à ton contrôle. Cependant, si Sasha ne te revenait pas en mémoire, c’est sans doute parce qu’elle ne travaillait pas avec Aoife. Voilà qu’elle te demande dans quoi tu enseignais, et ton regard avait quitté le planning pour se river sur elle. Question de politesse, on regarde à qui on s’adresse, c’est la base après tout. « Je suis professeur d’occultisme » annonças-tu un premier temps pour amorcer tes explications. Puis tu continues. « J’apprends la science des cartes, de la divination, de l’astrologie, du mantra, ce genre de chose. Cela est souvent considéré comme une science occulte, mais je pense que nous souffrons surtout d’une mauvaise image. Notamment à cause des différents médias qui se sont amusés pendant un temps à passer notre science pour un mensonge, ce qui a suscité beaucoup de méfiance. Cependant, cela est bien plus complexe qu’une simple diseuse de bonne aventure le nez rivé sur sa boule de cristal. » Tu te stoppes, tu te laisses emporter, et tu marques un arrêt dans ton monologue pour sonder l’attention de la jeune femme. Qui sait, peut-être que tu allais lui donner envie d’assister à ton cours. « Prenez par exemple les fameuses lignes de la main. Il est en effet possible de prédire l’avenir avec celles-ci. Mais ce n’est pas quelque chose qui reste au beau-fixe. Un être humain se sert régulièrement de ses mains, et ils les usent au quotidien. Ce qui fait que les lignes changent et que c’est pour cette raison qu’un voyant -ce terme m’exacerbe- ne dira pas la même chose qu’un autre. » Tu avais glissé un petit commentaire à voix-basse, continuant malgré tout tes explications.

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Wolfgang & Sasha

Money, get back




Je lui offre un sourire. Il n'habite peut-être pas dans le centre mais on peut très bien habité dans des quartiers totalement différents, voire même à l'opposé l'un de l'autre. Ca me dérangerais vraiment de me dire qu'il va traverser la ville pour me ramener chez moi et qu'il sera obligé de la traverser de nouveau dans le sens inverse pour rentrer chez lui. J'ai beau être un boulet je n'ai aucune envie de faire subir ça à quiconque, que je le connaisse ou non, même si c'est proposé avec beaucoup de gentillesse. Le bus est une très bonne alternative et qu'il se déleste de quelques pièces est déjà appréciable, il me sauve la vie. Je ne suis pas une grande sportive, ça aurait été compliqué de rentrer chez moi avec autant de sacs à porter. Surtout que je suis déjà fatiguée, j'aurai certainement fini en rampant. "Merci beaucoup !" Me contentais-je de dire en lui souriant. Il m'enlève une grosse épine du pied, je vais pouvoir rentrer chez moi comme je l'avais prévu, même si le prochain bus n'est pas encore prêt d'arriver. Ca m'apprendra à me laisser aller, sans vérifier que j'ai de quoi rentrer. La prochaine fois j'achète un ticket de bus dès le début, pour ne pas me retrouver dans cette situation. Ca serait quand même un comble si je refaisais cette erreur deux fois de suite.

Wolfgang, puisque c'est son nom, ne s'en va pas après m'avoir donné les pièces, il reste pour me faire la conversation, ce qui est plutôt sympathique de sa part. Au moins grâce à lui je ne verrais pas le temps passer et en toute honnêteté, même si ça me posait problème - ce qui n'était pas le cas - j'aurai pris sur moi pour paraître la plus sympathique possible parce que je lui devais bien ça. Mais pour être honnête j'étais ravie d'avoir pu tomber sur lui et j'étais curieuse d'en savoir un peu plus sur mon sauveur. Il était professeur d'occultisme ... Vraiment ? Ca existe ce genre de filière ? Je reste sans voix quelques instants, l'écoutant sans vraiment comprendre. Je ne prétends pas que ce n'est pas une filière intéressante, je pense qu'on peut apprendre plein de choses improbables, mais de quoi crâner un peu au détour d'une conversation entre amis ou autre, mais pas de quoi baser son avenir dessus, si ? Qu'est-ce qu'on fait une fois qu'on a obtenu son diplôme ? Et d'ailleurs c'est une filière en combien de temps ? "Ca m'a l'air très intéressant. Je ne savais pas qu'il existait ce genre de filières à l'université. Et vous avez beaucoup de monde ?" Lui demandais-je curieuse. Je me demande qui peut suivre ce genre d'études. En toute honnêteté, je crois que ça n'aurait même pas étonné ma famille si j'avais émis l'idée de continuer mes études et de prendre cette filière. Mais c'est moi, je ne fais jamais les bons choix et souvent ça ne mène jamais à quelque chose de sérieux ou de solide. Mais pour les autres, ça donne quoi ? Je pense que les parents doivent faire une tête de six pieds de long en apprenant ce choix. "Et ça mène à quoi concrètement parlant à la fin ? " Lui demandais-je. Je ne voulais pas qu'il prenne mal mes questions, après tout si cette filière existait, c'était pour une bonne raison. J'aime à croire qu'il y a des débouchés derrière, j'ignore juste ce qu'ils sont. Je ne savais même pas que ça existait alors forcément, je nage en plein brouillard actuellement.


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I took a walk on a Saturday night,fog in the air, just to make my mind seem clear where do I go from here? I see my breath pushing steam through the air, shaking hands run through my hair, my fears, where do I go from here?

Pathétique. Voilà le premier mot qui t’a traversé l’esprit tandis que ton regard se fige sur la demoiselle. Elle est si rayonnante que tu ne peux t’empêcher de tordre tes lèvres dans un grognement quelques secondes. Tu n’es pas invincible, Wolfgang, et voilà l’un de tes points faibles : tu es père. Chose que tu considères comme exécrable tant cela te rend un peu trop tendre avec les jeunes adultes et autres enfants. Tous. Ils le sont tous à tes yeux. Des petits êtres fragiles qui ne demandent qu’à être guider. Sauf que, tes jumeaux t’ont laissés un souvenir cuisant. Toi qui a tout fait pour eux, toi qui t’es donné corps et âme pour qu’ils ne manquent rien, leurs abandons de ta personne a été comme un coup de poignard dans le dos. En découle une forme de manque. Celui de n’avoir nul personne à t’occuper. C’est aussi pour cette raison que tu aimes enseigner malgré ta cruauté avec les créatures surnaturelles. Seulement ces dernières, car ta cruauté n’en reste pas moins sélectives. Il n’y a aucune raison de s’en prendre à des êtres humains tout ce qu’il y a de plus banal. Au magicien et au Djinn également, bien que ces derniers soient dotés de rares exceptions en fonction de ton humeur. Tu lèves les yeux aux cieux à ses remerciements, et tu ne rajoutes rien. Il n’y a rien à rajouter, et tu n’apprécies pas t’encombrer de dialogue inutile. Autant aller à l’essentiel, et lui tenir compagnie le temps que le bus suivant arrive. Ne serait-ce que pour t’assurer que les deux euros cinquantes que tu as arraché à ton porte-feuille ne soient pas gâchés. Elle te question quant à ta profession, et indirectement, elle touche ton égo. Tu bombes le torse, tu te redresses et toute ta carrure semble soudainement menaçante. Pourtant, tes mains demeurent sur le pommeau de ta canne, sereine, tandis que tu expliques sans entrée dans les détails ta profession et l’objet de cette dernière. Heureusement qu’elle n’ait pas dit le fond de sa pensée à voix-haute, car il aurait été malheureux pour elle qu’elle te contrarie. Tu rebaisses le menton en sa direction, attentif. Curieuse, c’est un trait de caractère que tu apprécies qu’en temps et en heure. Si elle peut conduire à la mort pour certain, elle alimente également les conversations. Tes lèvres étirent un léger sourire, satisfait, et tu réponds : “Ce n’est pas une matière très connues et reconnues, car il n’est pas nécessaire pour les professions officielles. Si bien qu’à l’université, elle est en option. Lorsque j’ai commencé à enseigner, il n’y avait pas grand monde. Mais petit-à-petit, j’ai réussi à grappiller l’intention, et les bancs se sont remplis. Si bien que le directeur ne songe plus à supprimer cette option des programmes.” Tu ne restes pas sur tes acquis cependant, car tu sais pertinemment que si matière il y a à sacrifier, la tienne sera sur le top-départ. Chose qu’elle te rappelait assez rapidement avec sa question suivante. Il a fallu que tu prennes une grande inspiration pour ne pas pester ou bien hurler qu’elle n’écoutait rien. Quoi de plus étonnant, venant de la part d’une petite qui n’avait même pas songé à se garder un peu d’argent pour prendre son bus. Si ce trait de caractère était jugé attachant pour la majorité de la population humaine, toi tu le trouvais exaspérant. Mais bon, tu étais un gentleman aussi, et c’est pour cette raison que tu as passé l’éponge dessus et que tu t’es fait violence pour te répéter. “Rien. Du moins, rien d’officiel. Tout dépend de la croyance et la foi de chacuns. Pour ma part, elle me permet d’attirer les plus impliqués dans un tout autre genre de cours. Mais, pour la plupart, ce n’est qu’une matière amusante qui sert à distraire. L’être humain a toujours été passionné pour les sciences occultes sans jamais comprendre à quoi elle servait. Je pourrais leur expliquer, cependant je suis tenu au secret. Alors, ces cours me permettent de sélectionner les plus talentueux pour passer le niveau au-dessus.” Et le niveau au-dessus, c’est la magie. Elle n’a rien d’officiel aux yeux du grand public, car tout n’est que prestidigitation. Mais toi qui la pratiques avec excellence, tu la connais sous une toute autre utilité. Tu pourrais lui en dire plus, mais tu ignores si elle baigne dans cette banalité que ce monde s’entête à préserver pour “le bien de la population”, ou bien si elle a déjà sortit la tête de l’eau.

(c) SIAL ; icons Istina


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Wolfgang & Sasha

Money, get back




Visiblement son travail lui tient à coeur et il a l'air d'en être très fière. C'est assez amusant de le voir bomber le torse de cette façon pour parler de sa matière et en même temps ça a quelque chose d'un peu effrayant. A bien y réfléchir, je n'aimerai pas trop le croiser dans une ruelle sombre, la nuit par exemple. C'est un peu bête de dire ça, parce qu'il vient quand même de me dépanner et de m'enlever une belle épine du pied en m'offrant de quoi payer le bus, mais je ne sais pas, je trouve qu'il y a quelque chose d'étrange chez cet homme. C'est certainement son style vestimentaire, sa façon de se tenir si droit, de me regarder. J'ignore ce qu'il se passe dans sa tête, c'est frustrant. Vous allez me dire, c'est le cas de l'ensemble des gens qui m'entourent et je vous dirais que vous avez raison, mais je n'ai pas peur de l'ensemble des gens qui m'entourent. Enfin, je n'ai pas vraiment peur de lui, c'est un peu plus compliqué que ça. Je crois que ça vient surtout du fait que je n'arrive pas à la cerner. Il a l'air si poli, si calme, si élégant, si ... intellectuel ! En fait il me fait penser à Hannibal Lecter. Et on ne va pas se mentir, il vaut mieux être un ami de ce monsieur, que son futur en-cas. Enfin bon, je délire totalement et laisse mon imagination prendre le dessus. S'il savait seulement ce que je pense, il en serait outré j'en suis sûre. Il faut que j'arrête de croire que les gentleman qui sont sympathiques avec moi son forcément des psychopathes. Je sais que j'ai eu quelques mauvaises expériences avec certains mais faut que j'arrête de faire une généralité pour autant. Maxwell, bien que très étrange, ne m'a jamais fait de mal. C'est bien la preuve que je psychote pour rien du tout.

J'arrête de rêvasser et me concentre sur ce qu'il me dit. C'est don une option et non un véritable cursus. Bon, c'est déjà rassurant. Enfin pas rassurant, mais j'avais un peu du mal à voir comment on pouvait s'en sortir dans la vie avec ce genre d'études. Enfin vous allez me dire que s'il enseigne tout ça c'est qu'il a bien dû l'étudier quelque part, non ? D'ailleurs oui, c'est une question intéressante. Comment en est-il arrivé à enseigner ça ? Et où a-t-il appris tout ça ? Est-ce qu'il existe, en dehors de Bray ou de l'Irlande, une université qui l'enseigne ? "Mais comment êtes-vous arrivé à enseigner tout ça ? Et où avez-vous acquis tout ce savoir ?" A moins qu'il ait étudié seul de son côté, mais il a fallu quand même à un moment donné qu'il vérifie auprès d'expert ses sources, non ? Et comment on en vient à avoir envie d'apprendre ça ? Est-ce qu'il est une créature magique ? Ca pourrait expliquer sa connaissance sur le surnaturel. Encore que, on parle d'occultisme, pas forcément de créatures magiques. Bon, en vrai j'en sais rien, j'y connais pas grand chose dans tout ça.  Je me rends compte tardivement que ma question était peut-être stupide, je le vois légèrement changer d'attitude, mais l'orage n'éclate pas, dieu soit loué. Il me répond avec la même voix et je me dis qu'il devait être habitué à répéter constamment les même choses, après tout, il est prof non, c'est son job de rabâcher les mêmes informations toute la journée pour des gamins qui n'écoutent qu'à moitié ! "Mais ça signifie quoi au juste ? Ceux qui passent les sélections ils deviennent quoi ensuite ? Vous leur donner des cours particuliers ? Vous avez formé une sorte de club élitiste et vous vous rassemblez pour parler de tout ça plus en profondeur ?" J'ai bien compris qu'il ne voulait pas parler à proprement parler de ce qui leur enseignait vraiment, mais j'aime à croire qu'il peut bien me dire sous quel forme est cet enseignement. C'est bête à dire mais je commence à être vraiment passionné par le sujet et trouve cet homme vraiment intriguant.


CODAGE PAR AMATIS
AVATARS PAR old money. et hedgekey


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[LOTERIE N°5] money, get back (sasha&wolfgang)
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