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 Karen Murphy - put a spell on you

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Karen Murphy



nom | Murphy
prenom | Karen Paula
âge | 44 ans
race | Humaine magicienne
lieu et date de naissance | le 23 septembre, à  Bray, enfin, dans la maison familiale dans la campagne environnante
orientation sexuelle | hétérosexuelle
statut marital | divorcée qui commence à se dire qu’elle finira vraiment seule avec sa sœur et ses chats
metier/etudes | médecin généraliste de Bray
situation financiere | aisée, assez pour commencer à avoir de quoi acheter une maison, enfin, mais pas assez pour se dire « oh, tient, si j’en achetais une deuxième ? »
organisation | aucune
ft | Julia Roberts (c)eiri




détails et anecdotes


Ta mère, bien en vie, est française, originaire de Guyane même. Vous savez, ce département d’outre-mer français qu’un Irlandais ne doit même pas connaître ? Bah là. Mais ton papa, lui, c’est un Irlandais qui a toujours vécu dans les horizons de Bray, c’était un sacré agriculteur. Dans le genre à partir à 5 heures, et revenir à 20 heures. + Ta mère, elle a financé tes études en… Te faisant faire du mannequinat et des petits rôles à la télé. Enfant, adolescente, tu as pu apparaître dans des pages de catalogues de vente par correspondance, des petites publicités locales, des petites apparitions dans des séries du style La petite maison dans la prairie. On s’est parfois moqué de toi, mais en réponse, tu tirais la langue en disant qu’au moins, tu n’as pas eu à faire un crédit étudiant. + Tu as un fichu caractère. En vrai, tu es une femme douce habituellement, plus portée sur les séances de franche rigolade entre copines, mais il t’arrive de péter des câbles monstrueux, qui sortent d’un coup, ravagent tout et ne te laissent plus que ta fierté pour garder la face après. + A vrai dire, des amies, tu en as pas trop mal. Tu as toujours aimé avoir une vie sociale, d’une façon ou d’une autre. Pourtant, tu n’as que ta petite sœur, vraiment, que tu acceptes à tes côtés tout le temps, car vous vous comprenez d’un regard. C’est ta petite sœur, Tata Gâteau – autant car c’est une tata gâteau que parce qu’elle est douée pour faire de la pâtisserie, là où tu cuisines mieux le salé. + Tu es du genre à rester en pyjama tout le weekend dans ton canapé, depuis que ton fils vit dans une colocation pourtant pas si loin que toi. Puis, ça te prend d’un coup, tu enfiles quelques chiffons par-ci par-là, parce qu’il te manque, parce qu’il est ta moitié, et même si l’autre moitié vient de son père, tu ne peux pas t’imaginer vivre sans lui. D’ailleurs, tu ne t’attendais pas à ce qu’il parte si vite... + Divorce, ça, ce mot-là, tu le hais. Car si c’est toi qui a demandé le divorce, et refusé qu’il fasse apparition dans la vie de ton fils pour le protéger – et te protéger toi – tu vis mal cet échec cuisant, qui t’a laissé une marque indélébile. + Tu mets parfois le temps à comprendre à quel point tu t’es trompée sur certaines choses et tu as horreur qu’on te renvoie ces erreurs dans la figure. Tu essayes de les rattraper, mais voilà… Tu te surprends parfois à vouloir te voiler les yeux. Il faut croire qu’étudier la médecine et se considérer comme une personne intelligente n’évite pas les grosses bévues. + Tu as une sorte d’obsession pour Ludwig Van Beethoven. Allez savoir pourquoi, dès que tu entends les premières notes de ses compositions, tu rentres dans une espèce de transe où plus rien n’existe autour de toi. C’est pour cela que tu as voulu que Samuel s’appelle Ludwig… Tu regrettes parfois d’avoir écouté ce [censuré] d’ex-mari qui t’a convaincue de l’appeler Samuel. Sâ-muel. Vraiment, comparé à Ludwig ? + Tu es magicienne de mère en fille, ta mère t’a tout appris, et tu avais l’espoir de tout apprendre à ton fils. C’est désormais un peu compromis… + Si tu aimes beaucoup la musique classique, sans paroles pour te déconcentrer de ton travail, il faut dire que tu es très fan de jazz aussi. Etta Fitzgerald trône en tête de liste sur ton iPod, et que dire de Man’s Man’s world ? Cry me a river ? Arrêtons-là, tu te feras tout son best of… + Nina Simone aussi te donne une pêche absolument extraordinaire, il n’est pas rare que tu te mettes à danser balai en main quand tu fais le ménage. + Dotée d’une compassion sans borne, il peut t’arriver d’être beaucoup trop impliquée dans ton métier, de prendre des choses bien trop à cœur, et de finir par pleurer dans ta chambre aussi silencieusement que possible pour évacuer la pression. + Tu as eu ta période où tu as tenté de rattraper ton divorce, en enchaînant un peu les rencontres. Ce fut légèrement foireux, et tu as totalement arrêté le jour où ça a commencé à être sérieux, pour ne plus l’être à l’instant où tu avais annoncé avoir un fils handicapé. L’homme avait osé grimacer, et tu l’avais jeté dehors, en jetant l’intégralité de tes chaussures rangées dans l’entrée – un tas – à la gueule. Ca aurait pu être un type bien. Mais c’était probablement un prétexte pour le jeter dehors. Car tu n’étais pas prête à remettre le couvert. + Tu aimes aller chez le coiffeur dès que tu as un coup de blue à l’âme. Cheveux roux bouclés, blonds lisses, bruns ondulés, tu fais de tout, tout le temps, tu aimes avoir cette sensation de cheveux qui te caressent le dos, encadrent ton visage. + Tu as une grande bouche, ça tu le sais. Tu essayes parfois de te retenir de rire à gorge déployée, afin de ne pas trop le montrer, mais tu es incapable de t’en empêcher, tu ris aux éclats, on t’entend de l’autre côté de la ville, on pourrait loger le Panama sur ta langue, mais au moins, Karen, tu ris.

Liens recherchés



ami(e) de réunion tupperware(H/F) + il arrive souvent que Karen et sa petite sœur organisent des soirées tupperwares, entre filles, même s’il est possible qu’un homme se glisse dans le lot, histoire de rigoler ensemble, de jouer aux cartes, de boire un coup et de se raconter ses malheurs !
patient crève coeur (H/F) + il arrive parfois qu’on s’attache à certains patients qui ont une vie de merde, et parfois ils se croisent tous les deux, pour boire un verre, pour avoir des nouvelles, savoir comment ça se passe…
lien recherché (H/F) + ici
lien recherché (H/F) + ici




Ta phrase juste à toi Ton enfance relève de la simplicité pure et dure. Tu as grandi avec un père très absent, au vu de son travail d’agriculteur, et une mère qui travaillait plus simplement comme secrétaire dans une coopérative. Tu passais tes étés avec tes cousins du côté de ton père, et le reste de l’année plus simplement à l’école, où tu étais d’une assiduité presque religieuse. Et si tu étais aussi motivée quant au fait d’être bonne à l’école, c’était parce qu’une fois le soir arrivé, quand ton papa n’était pas encore rentré, ta mère te montrait ses livres de magie, dont tu ne pouvais parler à personne. Sinon à tes cousins, qui étaient aussi dans le milieu, puis à ta petite sœur, née peu après toi. Et aussi à Almath, ta petite cousine préférée, celle qui avait la même vision de la magie que toi, que tu voyais chaque été, soit car elle venait à la ferme, soit car tu allais à Londres chez elle.

Tu passas aussi tes quelques années d’adolescence à poser pour des photos de catalogue de vente à distance, à jouer des petits rôles sans importance dans des séries locales que les petits vieux regardaient. Et chaque centime gagné durant ces petits jobs que tu aimais bien, ta mère le mit de côté, pour tes études de médecine que tu savais déjà que tu feras. On s’est pas mal moqué de toi, disant que tu ne faisais que des choses has-been, cela te coûta même quelques amitiés que tu brisas d’un regard dédaigneux, disant qu’au moins, tu ne seras pas endettée jusqu’à quarante ans.

Après tout, tu avais fait tes plans sur au moins vingt ans. Faire tes études. Ouvrir ton cabinet de médecin généraliste. Te marier. Voyager. Avoir un enfant. Peut-être même un deuxième. T’amuser avec tes copines, un peu façon Sex and the city. D’ailleurs, durant tes études, tu as rencontré Adam, qui avait semblé parfait, sur le coup. Tu l’avais pourtant testé, éprouvé. Tu l’avais fait ramer, sévèrement. Mais non, vraiment, tu l’as tellement trouvé parfait que tu as porté son nom à peine sortie des études, à peine les fesses posées sur le fauteuil de ton bureau de médecin généraliste. Et deux ans après, avec une régularité aussi religieuse que ton assiduité à l’école, gamine, tu as accouché de ton Samuel Ludwig McCormick. Ton fils, ta bataille.

D’ailleurs, fait amusant si on veut, durant ton accouchement, tu as cédé à l’appel des menaces tant tu souffrais des contractions, et tu avais juré à ton jeune mari qui te serrait la main de ne plus jamais te toucher, plus jamais. Ah, dommage que tu ne sois pas une oracle, mais seulement une magicienne.

D’ailleurs, c’était ta nature de magicienne qui avait causé la débandade. Un jour où tu étais épuisée de ta journée, venant de t’occuper d’une victime de violences conjugales, tu avais retrouvé ton mari devant ton coffre, que tu avais pourtant dissimulé dans le grenier, endroit où il ne mettait jamais les pieds. Il venait de découvrir tes grimoires, ceux que tu avais pu ramasser durant toute ta vie, ceux que ta mère t’avait donné, ton carnet de magicienne avec tes trouvailles. Tu avais pensé utiliser cette occasion pour lui expliquer que tu étais une magicienne, tu te sentais un peu comme dans « Ma sorcière bien aimée », à raconter après la nuit de noce – bien après – que tu avais des pouvoirs. Tu avais tout expliqué.

Slap. Une gifle. « Monstre ! » Une insulte.

Tu étais restée là, prostrée, main sur ta joue. Tu n’arrivais pas à croire que ton mari parfait, le père de ton fils, venait de te gifler, alors que justement, l’enfant était dans son parc, à trois mètres à peine, silencieux, ayant probablement entendu ce mot. La suite, tu ne parviens pas vraiment à t’en souvenir. Tout ce que tu parviens réellement à reconstituer, c’était qu’en tête, tu avais le mot monstre qui tournait, tu ressentais de la honte, de la déception, tu avais aussi le visage en larme de cette victime de violences conjugales qui tournait, tes mots, disant qu’il ne fallait pas s’accrocher à un homme qui frappait sa femme, que ce n’était pas normal. Tu te souviens aussi lui avoir donné des coups, dans ta rage, le faisant reculer, véritable valkyrie vengeresse.

Ensuite, tu avais ramassé des affaires, rapidement, ton fils, qui avait commencé à pleurer, puis tu étais partie te réfugier chez ta sœur.

Tu avais regretté un peu cette décision. Tenté de lui pardonner en revenant à la maison. Mais chaque fois que tu le regardais, tu ne faisais que sentir cette gifle cuisante sur ta joue, et tu te sentais comme marquée au fer rouge, Monstre. Alors, tu avais divorcé, après seulement quatre ans de mariage. A trente ans, tu fus une femme divorcée, aigrie, en colère contre l’homme, que tu voyais désormais tel qu’il était. Un type qui magouillait, qui buvait plus que de raison, une honte pour un docteur. A un tel point que tu le pourrissais auprès de ton fils, dès que ce dernier commençait à insister pour en savoir plus sur cet homme qui manquait à sa vie.

Tu le regrettais ça. Tu en avais fait des erreurs, beaucoup. Tu en avais parfois honte. Tu aimerais aussi les rattraper. D’ailleurs, d’une certaine façon c’était ce que tu faisais, avec ta petite sœur. Vous vous étiez toutes les deux installées dans cet appartement cosy, duo parfait pour s’occuper de ton enfant. Tu t’étais d’ailleurs entièrement dévouée à cet objectif : faire de lui un homme meilleur que ce Trench-Coat ambulant qui te harcelait à chaque Saint Valentin/Anniversaire de Samuel pour voir cet enfant. Tu faisais barrage pour que ce petit devienne grand.

D’ailleurs, tu l’avais vu grandir à la fois avec fierté et tristesse.

Fierté, car c’était un excellent élève. Peut-être trop… Mais tu ne pouvais pas t’empêcher d’avoir les yeux qui brillaient et le sourire en mode megawatt dès que tu entendais les éloges sur ton fils. A chaque fois qu’il sautait une classe, tu avais un peu peur qu’il finisse seul, mais il semblait qu’à chaque fois, il s’en sorte pas trop mal. Tu avais pourtant veillé au grain, comme tu pouvais, d’ailleurs, vous vous étiez disputées sur ce sujet, avec ta petite sœur, qui pensait qu’il aurait dû continuer un cursus normal, quitte à s’ennuyer un peu, qu’il reste avec des amis… Enfin, tu étais sa mère, tu étais têtue, alors tu faisais un peu comme tu le sentais, comme tu pouvais.

Tristesse, car physiquement, ton enfant ne te ressemblait pas du tout. Non. Il avait tout pris de son fichu père. De ses yeux à ses cheveux, en passant par ses expressions faciales alors même qu’il ne l’avait jamais rencontré depuis ses deux ans, cela te rendait presque aigrie. Mais tu le trouvais beau malgré tout, car tu devais reconnaître que cet homme, Adam, tu l’avais aimé. Il était même le plus beau de tous, ton enfant. Simplement… Tu n’arrivais pas à te résoudre à partager avec lui ce secret qui avait déjà mis fin à ta relation avec Adam. Et pourtant, quand Samuel trouva un de tes grimoires, que tu te forças à lui expliquer ce qui te caractérisait… Il ne réagit pas tout à fait comme tu t’y attendais, la mort dans l’âme. Non, il était empli de curiosité, pire, il t’en redemanda ! Et il avalait tout ce que tu lui apprenais, tout ce que ta sœur et toi lui enseignaient. Il voulait absolument un génie, ça te faisait peur, mais tu ne pouvais rien faire contre cette demande constante. Et tu ne pouvais rien lui refuser, quand bien même tu avais tes tripes qui remuaient. Cette fois-ci, ce fut ta sœur qui te poussa à l’autoriser à se lancer. Après tout, à son âge, tu avais eu une paire d’invocation à ton actif, de très modestes, pour t’améliorer, petit à petit.

Han le Génie était alors rentré dans vos vies. Il te semblait qu’il prenait beaucoup de place, tu avais un peu peur qu’il t’écarte de ton fils, mais ton fils, justement, brillait, rayonnait comme il n’avait jamais rayonné. Il ne voyait en ce génie qu’un ami, mais toi, tu savais réellement ce qu’il représentait : ce père dont tu l’avais privé, pour son bien, certes, mais un père malgré tout. Et cela aurait pu durer longtemps… Très… Très longtemps.

S’il n’y avait pas eu le pire moment de toute ton existence. Cet appel de tes collègues médecins, des personnes avec qui tu avais fait médecine, des copines de soirée Tupperware même, qui te téléphonaient d’une voix officielle d’hôpital, pour t’annoncer que ton enfant était aux urgences, que c’était grave. Et si tu avais été seule, tu serais probablement morte de panique à cet instant précis. Ce fut ta sœur qui attrapa les clés grâce à ce sang-froid qui la caractérisait dans les pires situations. Quand tu arrivas à l’hôpital et que tu appris la mort de Han en plus de l’opération de ton bébé par l’autre Trench-Coat, ton cerveau eut un blanc.

D’ailleurs, tu te souvenais avoir pensé [i] « J’espère qu’Adam n’a pas bu »[/b].

Tu n’arrivais à penser à rien. Tu ne fis qu’attendre assise sur ce siège, à côté de ta sœur, avec quelques amies qui venaient par là, te montrer leur soutien, te donner une tasse de café, prêter leur épaule pendant les deux minutes où tu arrivais à t’endormir un peu, pour te changer les idées sans y arriver. Puis son réveil, l’annonce, il ne remarchera plus jamais.

Tu étais médecin, tu avais voulu relire le dossier. Tu avais confronté Adam pendant que ton enfant était en sale de réveil, attendant qu’il revienne à lui. Mais rien à faire. Tu avais évacué sa frustration sur lui, mais le dossier était clair, ce connard avait fait de son mieux, et il n’aurait probablement pas fait mieux qu’un autre.

Tu eus la sensation d’avoir perdu ton enfant à ce moment-là. Tu avais tout tenté, voir des psy, demander des conseils de partout, assister à des réunions de parents et d’amis d’handicapés, avec ta sœur, toujours, ta complice éternelle, mais rien n’y faisait. Il s’était allumé grâce à la magie, il s’était éteint à cause de la magie. Tu avais tenté de comprendre ce qui était arrivé cette nuit-là, mais finalement, cela ne pouvait être que des chasseurs. Tu aimerais les torturer, les massacrer, les trouver pour que plus personne ne puisse les revoir un jour, mais tu n’en étais pas capable non plus. Alors, tu voulais juste sauver ton fils.

Pourtant, encore une fois, ce fut une autre personne qui sauva ton fils. La Myst&Co. Ce petit groupe de jeunes surnaturels, qui tournaient des vidéos, enfin, tu ne savais pas trop. Tu avais gardé tes distances, afin de laisser tout de même de l’air à Samuel, qui semblait en avoir besoin. Tu avais eu beaucoup de mal mais au final… Cela semblait être ce qu’il y avait de mieux pour lui. Tu ne faisais donc apparition que de temps en temps, quand il t’appelait à l’aide, ou quand tu avais une pulsion, le week-end, à déprimer toute seule dans cet appartement devenu trop vide.

D’ailleurs, pour pallier ce manque affectif, ta sœur et toi avez décidé de devenir propriétaire, à deux. D’acheter une maison, dans les environs, de prendre un peu de temps pour vous, une sorte d’année sabbatique, pour vous remettre de ces émotions des dernières années, de la retaper ensemble. De la faire à votre image. Tu te plaisais à penser que tu pourras la donner ensuite à ton fils, que ça sera ton héritage pour lui. Des projets, pour t’occuper la tête.
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Sasha Lennox



copine de ciné + C’est une fille que tu as rencontré au cinéma et vous avez partagé des popcorn au caramel ! RP en cours.


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Samuel Murphy



lien + Lui, c’est l’homme de ta vie, le seul et l’unique. L’être autour duquel tu as tout créé, tout organisé. Tu l’as mis au monde et depuis, il est cette responsabilité que tu aimes, chéris, plus que tout. On pourrait dire que tu as fait beaucoup d’erreurs, avec lui, que tu as été trop laxiste, trop permissive, tu te sens aussi coupable du fait qu’il est dans un fauteuil, il n’en reste pas moins que tu fais ce que tu peux, que tu apprends du passé, pour t’améliorer, pour qu’il soit le plus heureux des hommes sur Terre. Enfin, ce même si tu ne parviens pas à t’empêcher de le voir comme ton bébé que tu portais dans tes bras il n’y avait pas si longtemps que ça.


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A vous Karen Murphy - put a spell on you 508348443
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Moi je veux un lien avec Sasha et/ou Utah Karen Murphy - put a spell on you 508348443
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Hey mon chocolat... chocolaté Karen Murphy - put a spell on you 2210271934
J'ai relu tes deux fiches (parce que je suis quelqu'un de consciencieux Karen Murphy - put a spell on you 1159721841 ) et j'ai imaginé quelque chose d'assez idiot comme situation à faire entre Karen et Sasha Karen Murphy - put a spell on you 2210271934 J'ai cru comprendre que mademoiselle Lennox était fanatique de pop corn avec un maximum de caramel dessus, et imagine, un jour, Karen débarque, prend l'énorme pot qu'elle s'enfile au cinéma, mais bim, Sasha arrive et y'a plus de caramel Karen Murphy - put a spell on you 2402467468 Evidemment, Karen, bonne âme qu'elle est, proposera le partage des deux au cinéma, et à partir de là, sans une salle vide de cinoche tôt le matin, elles regardent un film tout en discutant Karen Murphy - put a spell on you 2571641524 Puisque Sasha raconte super facilement sa vie et que Karen, elle adore parler, je pense que ça pourrait donner quelque chose de bien mignon Karen Murphy - put a spell on you 2571641524

Par contre, j'avoue qu'Utah... Je n'en ai pas la moindre idée, là comme ça... Karen Murphy - put a spell on you 2210271934 Genre, zéro Karen Murphy - put a spell on you 2210271934
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Pour Utah, elle pourrait être son médecin ? Karen Murphy - put a spell on you 3665663622
C'est un lien banal mais ça me paraît assez logique, vu qu'il vit à Bray depuis toujours et qu'il est du genre casse cou depuis toujours. J'ignore depuis quand elle est médecin à Bray, mais on peut imaginer qu'avant elle, il aurait pu être suivi par un médecin que Karen a remplacé, un truc du genre Karen Murphy - put a spell on you 3665663622

Pour Sasha, j'adore l'idée. Le fait de savoir qu'il n'y a plus de caramel va lui briser le coeur et si une bonne âme lui offre de partager le sien, elle va être folle de joie xD Parce que bon, le pop corn, c'est la vie Karen Murphy - put a spell on you 118876108 Et oui je confirme, Sasha peut être très bavarde quand elle se retrouve avec quelqu'un qui la met à l'aise et peut facilement raconter sa vie, surtout si on la lance un peu sur le sujet xD
J'adore cette idée de lien Karen Murphy - put a spell on you 2571641524
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Ca doit faire à peu près Karen Murphy - put a spell on you 3665663622 15 ans ? Qu'elle est médecin ? J'avoue que j'ai pas compté, mais ouais, elle a pu au moins le connaître ado, Utah Karen Murphy - put a spell on you 2210271934 J'l'imagine tellement le voir arriver au cabinet, elle soupire et demande Nom de dieu, qu'as-tu fait encore ?... Karen Murphy - put a spell on you 2210271934 Mais oui il est possible qu'elle aie repris les patients d'un médecin parti à la retraite Karen Murphy - put a spell on you 2210271934 Hé bien quand t'auras un bobo, mon p'tit Utah, tu sauras qui venir voir Karen Murphy - put a spell on you 288477863

Quant à Sasha je suis contente que ça te dise Karen Murphy - put a spell on you 2571641524 Du coup ça te dit un p'tit rp ? Karen Murphy - put a spell on you 3293157673 Je pourrais le lancer :tacos:
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Récemment j'ai dis qu'il s'était blessé au bras et qu'il était allé à l'hôpital pour se faire soigner. Il a eu quelques points de sutures à l'avant bras mais le médecin qui l'a soigné à remarqué une anomalie au niveau du coeur en faisant un check-up complet. Ledit médecin lui a demandé de faire des recherches sur sa vraie famille, histoire d'en savoir plus. Le RP n'a jamais avancé puisque Brady est aux abonnés absents mais on peut imaginer qu'Utah ait voulu faire transférer son dossier à Karen parce qu'il a plus confiance en elle qu'en un parfait inconnu. Et vu qu'elle le connait depuis au moins 15 ans, elle sait que le sujet "famille" est un sujet sensible xD

Quant à Sasha c'est parfait et je veux bien un RP ma grenouille bleutée Karen Murphy - put a spell on you 2571641524
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Karen Murphy - put a spell on you
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