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 Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig

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Ian Craig



nom | Craig ; contre toute attente, sans lien de parenté avec ta doublure
prenom | Ian
âge | 45 balais poussiéreux
race | Humain trop humaniste
lieu et date de naissance | Né en mars dans un bled écossais
orientation sexuelle | A la base, plutôt les femmes, question d'habitude et de facilité
statut marital | Divorcé depuis 10 ans, aujourd'hui tu t'inventes des amourettes pour avoir un truc à espérer
metier/etudes | Inspecteur de police, vivement la retraite
situation financiere | Tout va bien... tant que tu regardes pas ton compte en banque (spoiler: tout passe dans la boisson)
organisation | Elles sont sous ton nez mais tu remarques rien, comme plein d'autres trucs
ft | Adrien Brody (c)tyrell




détails et anecdotes


Plus blasé, on fait pas. Tu soupires plus que tu ne parles et tu tires la gueule du type que rien ne peut surprendre. Tu passes toujours à côté de ta chance par défaitisme parce qu'espérer te fatigue, et tu traites le découragement par le sarcasme + T'as porté la moustache étant jeune, je sais pas pourquoi mais t'étais convaincu que ça t'allait bien + L'alcool est ta bête noire. C'est pas que tu arrêtes pas de tomber dedans, c'est carrément que tu peux plus en sortir. T'en es au point de planquer des bouteilles au bureau et y'en a toujours une tonne qui se balade dans ta piaule. Faudrait que tu te traînes en désintox, mais boarf + T'as vu des horreurs en tant que flic, et c'est ce qui te rend si humain tout en te donnant une piètre idée de l'humanité. T'es loin d'être infaillible à ton job, mais t'as un coeur avec les victimes et c'est le plus important + T'es plus pantouflard que aventurier, le genre à vouloir passer son weekend posé dans son fauteuil avec des charentaises aux pieds, avec de quoi fumer et de quoi boire. + T'es plus porté sur le bon sens et la protection de la veuve et de l'orphelin que sur le strict respect des lois - et pour faire entendre ton opinion, tu te démènes comme personne + En fait, spirituellement, t'as 70 piges. T'as le dos qui craque, tu lis le journal avec des lunettes pour soulager tes yeux et le soir tu regardes des émissions de cuisine. Tu collectionne même les bons de réduction mais surtout parce que t'es pauvre. Tu psychotes sur tes premiers cheveux gris, c'est le boulot qui te tue à petit feu + Tu essaies de surveiller ce que tu manges pour ta santé, mais c'est aussi toi qui fait ramener des gâteaux à tes collègues quand ils oublient d'éteindre la lumière en partant. En fait, t'as de la volonté sauf quand ça te concerne + Si il y a une chose qui te fait vraiment froid dans le dos, c'est bien la maladie mentale. Tu l'as vu sous son pire jour et tu préfères te tirer une balle dans le pied que de le mettre dans l'accueil d'un asile + Le dimanche matin c'est séance de tir, sauf quand t'as la gueule de bois. J'vous laisse imaginer s'il y va souvent + Tu l'admets rarement quand t'as tort, tu préfères t'enfoncer dans la boue jusqu'aux cernes et embarquer tes remords avec toi dans la tombe. Enfin, si t'as un truc à y gagner, tu peux faire un effort + T'as jamais tué un homme, par contre t'as déjà pris une balle. Spoiler: ça fait un mal de chien. Tu te coltines une légère claudication de la jambe droite depuis + Un jour que tu te sentais seul, tu t'es acheté un harmonica. Depuis, ça t'arrive d'en jouer de temps en temps pour meubler le silence par dessus la télé + T'as l'accent écossais qui fait que dans tes mauvais jours on comprend rien quand tu parles. Tu fais des efforts pour tes pauvres collègues mais il ressort tout seul quand t'as trop bu + Ta hantise, c'est que ton fils te déteste, et t'es intimement convaincu qu'il en est vraiment pas loin. Problème: il en est à cet âge où les mots dépassent très souvent la pensée + T'as un bon côté mythomane quand tu t'inventes des relations pour faire croire à tes collègues que ta vie ça va, ou quand tu dis à Cilly que t'arrêtes de boire quand tu veux. Par honte, et pour rassurer. A contrario, l'alcool te rend incapable de tenir un bobard + T'as une prose de poète à l'écrit, il faut bien ça pour corriger les fautes de ton partenaire + Quand tu peux pas boire d'alcool, tu tournes au café serré. Tu te les enchaînes pour lutter contre la somnolence, et c'est un peu la raison de tes cernes de trois kilomètres. Je promets pas qu'il y a pas une goutte de cognac dedans.

Questions Additionnelles



Si vous connaissez l'existence du Surnaturel, quel rapport entretenez-vous avec les autres espèces? répondre ici
(pour les membres avec orgas) pourquoi avoir rejoint cette organisation et quel rôle y jouez-vous? répondre ici
(pour les sans orgas) Connaissez-vous l'existence des organisations et quel est votre avis les concernant? répondre ici
(pour ceux n'ayant pas connaissance du Surnaturel) Si votre personnage venait à être au courant du Surnaturel, quelle serait sa réaction? répondre ici




Ta phrase juste à toi NAISSANCE + Elle a commencé somme toute banalement, ton histoire. Dans un de ces coins paumés d'Ecosse, oublié du vingt-et-unième siècle, où l'industrie rime encore avec la pêche au brochet. Y'avait pas de grandes histoires, seulement des ragots passés de génération en génération, comme dans tous ces petits villages du Nord où tout le monde connait tout le monde. Depuis toujours on te rabâche cette histoire du marin dans le commerce de la truite, qui avait rien d'autre que son chalutier, et qui se traînait toujours sur lui cette odeur d'iode et d'écailles faisandées ; l'histoire du pêcheur qui s'était pris d'amour pour la fille d'un propriétaire terrien ce qui valait presque un bourgeois pour l'époque. Il avait fallu du temps à ton grand-père pour accepter de laisser la main de sa fille à ton poissonnier de père, et les harangues aux repas de famille prouvent encore que la hache de guerre n'est qu'à demi enterrée. Tu es né là, au milieu de tes parents, de tes grands-parents, de leurs truites, de leurs poules et de leurs moutons. Autrement dit, tu es né paysan.

PRIMAIRE + Tu n'as pas eu de grande éducation. Il n'y avait qu'une école primaire, là où tu te trouvais, et tu as davantage appris au contact de la terre qu'assis devant le tableau noir et le maître. Tu n'étais pas le plus obéissant étant gamin, tu étais un aventurier. Tu t'inventais des histoires, tu t'étais fait un sabre en bois, tu allais t'éclater les genoux dans les collines avec d'autres gamins. Vous cherchiez des fées dans les bosquets, des sirènes dans les grands lacs, vous vous inventiez des hommes derrière des animaux. Tu y croyais, au surnaturel - vous y croyiez tous, jusqu'à l'âge adulte, jusqu'à réaliser que vous n'aviez jamais rien vu de tel, qu'il ne s'agissait que d'un jeu. C'était de ton grand-père que tu tenais toutes ces histoires, lui n'avait jamais cessé d'y croire. Tu aimais passer des heures à l'écouter parler de ces êtres extraordinaires, de cet aveugle qui lui avait un jour prédit qu'il épouserait sa femme.

SECONDAIRE + Tu as eu 12 ans, il a bien fallu que tu t'en ailles. Tu es arrivé à la ville, avec ton accent impiffrable, tes cheveux mal peignés, et on t'a empaqueté en dortoir pour tes quatre prochaines années de vie. Un enfer à ta taille, où pour le coup tu t'es réellement fait rabrouer ton audace. Tu t'es fait bousculer, tu t'es bagarré, tu t'es fait punir, et tu t'es plaint un demi-million de fois à tes parents par voie postale. Sans cesse, répétant que tu voulais partir : le lot de tous les enfants de ton âge qui se retrouvent loin de leurs repères et de leur liberté. Il n'y avait plus beaucoup de place dans ton esprit pour croire aux brownies et aux farfadets, et l'on s'est bien assez moqué de toi quand tu t'obstinais à y croire. Tu as quitté ta scolarité à 16 ans avec ton diplôme élémentaire - au grand désarroi de tes parents qui voulaient te voir faire des études longues, mais ils étaient mal placés pour faire des commentaires.

PETIT BLEU + Tu ne voulais pas faire dans la truite ni dans le mouton, c'était difficile de revenir sur tes pas après avoir connu le monde civilisé. Tu ne voulais pas non plus être l'employé modèle qu'on abrutit sur sa paperasse, ni l'ouvrier qui s'abrutit tout seul sur son chantier. Ce que tu voulais, c'était aider les gens, et pour ça tu avais peu de portes ouvertes. Tu t'es fait engager comme policier, et tes débuts ne furent pas bien glorieux. Tu as passé trois ans à la circulation, avant d'avoir suffisamment de crédibilité pour qu'on te laisse faire autre chose. Ensuite, on t'a mis aux contraventions, puis aux stupéfiants - jusqu'à ce que tu te prennes une balle dans la hanche. Longtemps, tu es resté un couteau suisse. Longtemps, t'aurais juré qu'on te refilait toujours le plus assommant pour être sûr que tu te lasserais du job. Mais où que l'on te mette, t'étais toujours là, à te démener, à en faire trop. En l'absence de tout le reste, ta vie tournait autour de ton boulot.

MARIAGE + Pourtant, tu as fini par rencontrer quelqu'un, au moment le plus inattendu. Une jolie brune qui t'a sorti la tête de ce carcan, qui t'a fait voir qu'il y avait plus dans la vie que le travail pour gagner son pain. Tu es tombé amoureux le premier, tu t'es découvert maladroit et romantique ; elle t'a découvert gentil et ridicule, et elle s'est laissée emporter par le mouvement. Auprès d'elle, tu t'es remis à lire, à penser à l'avenir, à avoir des projets. Après deux ans, tu l'as épousée : tu en avais peut-être vingt-six. A vingt-huit, tu es devenu l'heureux papa d'un fils. Tu renouais avec la première valeur que l'on t'avait enseigné : la famille. Tu aurais tout fait pour elle, tu aurais tout fait pour lui. Et pourtant, pourtant il fallut bien peu de temps pour que tout parte en fumée.

DÉGRINGOLADE + Le problème, c'était le travail ; ça avait toujours été le travail. Il n'y en a que pour ton boulot, tu l'entendais souvent, surtout depuis qu'on t'avait affilié au Service des Victimes. La vérité, c'est que depuis tes débuts tu étais muté à droite à gauche - un rythme saccadé, qui laisse peu de place à l'amour et aux amitiés de longue date. Depuis ton mariage, ta femme et ton fils suivaient le mouvement, au détriment de sa carrière, au détriment de sa scolarité. Ton métier, tu y mettais ton cœur, et il t'a fallu trop de temps pour comprendre que ce cœur-là, tu aurais dû le laisser à ta femme. Le travail bouffait ton temps, l'épuisement a tué votre complicité. Votre mariage aura tout de même tenu neuf ans : tu en avais trente-cinq lorsqu'elle a glissé sur la table les papiers du divorce. Trente-cinq ans, quand tu as fondu en larmes devant ton môme de sept printemps.

DÉMÉNAGEMENT + L'ironie du sort, c'est que le divorce t'a donné un coup de fouet. Au début, tu t'étais même mis en tête de la reconquérir, et quand elle est partie pour Dublin, tu l'as suivie sans hésiter. Tu as quitté ton job, pour le reprendre à l'étranger, et le plus étonnant, c'est qu'il n'y avait plus cette espèce d'obsession visant à te coller des bâtons dans les roues. Ils n'ont pas hésité à reconnaître ton expérience, et tu t'es fait une place dans ce nouveau pays. Hélas, il a suffi de huit mois pour que ton ex-femme ne te tombe dessus, et qu'elle menace de te traîner en justice si tu la pourchassais encore. Tu aurais cédé s'il n'y avait qu'elle, mais il y avait aussi ton fils. La seule idée de ne le voir qu'une fois toutes les deux semaines t'était insoutenable. Alors tu as quitté Dublin, pour éviter les problèmes, mais tu t'es installé à peine plus loin, en campagne, pour être certain d'obtenir la garde alternée. Bray, que l'on t'avait vendue comme une ville paisible. Peut-être qu'en fin de compte, cette "gentillesse" ambiante avait quelques arrières pensées : il fallait être écossais pour ne pas savoir qu'être muté là-bas, c'était une sale idée.

CRIM&CRAIG + Ta situation était inconfortable, mais tu t'y faisais. Après des années au côté des victimes, on a décidé de te mettre à la criminalité. C'est plutôt par ton ancienneté que tu as pu monter en grade, le concours d'inspecteur n'était vraiment qu'une formalité et tu n'as pu compter que sur ton expérience pour en remplir les cases. Tu voyais ton fils, pas autant que tu l'aurais espéré, mais tu le voyais et tu le gâtais autant que possible pour t'en faire aimer. Bray était en sous-effectif et ta position en était devenue plus stable, tu ne risquais plus d'être subitement muté à l'autre bout du territoire. Tu as fait un an, en équipe avec un ancien qui t'a montré toutes les ficelles locales. Et puis il a pris sa retraite, et tu t'es vu imposer un nouveau coéquipier. Un jeune freluquet, et tu as plutôt mal vécu qu'il prenne sa place et se retrouve très vite sur le devant de la scène - t'as eu cette sensation d'être effacé, dépassé, par l'éclatante vigueur de la jeunesse, qui se retrouvait là car elle avait étudié. Cerise sur le gâteau ? Il s'appelait Craig. Cillian Craig. De quoi le rendre immédiatement désagréable.

ALCOOLISME + Et puis, comme si tu n'avais pas assez à penser, ton ex-femme s'est remariée. Malgré toi, tu n'avais jamais cessé de l'observer à distance, et il fallait bien que tu la vois occasionnellement pour vous ramener l'un l'autre votre fils. Il aurait mieux valu pour toi que tu cesses de la voir pour l'oublier, mais dans cette configuration, elle n'avait de cesse de reparaître dans ton champ de vision, et de faire de ta vie un supplice. Ce fut un coup dur, ce mariage, alors que tu touchais à tes quarante ans, et d'entendre ton fils parler de son incroyable beau-père fut pire encore. Depuis le divorce, tu t'étais mis à boire, mais ce fut le réel élément déclencheur de ton alcoolisme : tu étais malheureux, et tu noyais ta détresse et ta solitude. Tu n'as réalisé ton problème d'alcool que le jour où, ivre, tu as voulu partager ta boisson avec Richardson. Tu es resté un quart d'heure à pleurer devant l'aquarium où il est mort à cause de la bouteille que tu y as vidé. Le revers de la médaille, c'est que ton ex-femme t'a fait passer pour instable, et obtenu que ton fils ne vienne réellement plus te voir qu'un weekend sur deux.

FOUTOIR + Aujourd'hui, le travail te permet de t'occuper l'esprit et de ne pas envisager le pire. Tu as de quoi faire, entre les disparitions, les tentatives d'assassinat, les trafics de stupéfiants et d'armes, sans compter ce corps que l'on a déterré il y a peu sur témoignage anonyme, et cet autre gamin défiguré que l'on t'a ramené au poste et qui refuse de cracher le morceau. Ta vie est un foutoir. Ta mère refuse catégoriquement de t'adresser la parole et tire la gueule dès que tu rentres en Ecosse, ton père se contente de te glisser en cachette quelques billets, désolé de l'état dans lequel ton alcoolisme réduit ton compte en banque. Quant à ton grand-père de 98 ans, il te traite de petit con quand tu passes dans la même pièce, et il ne perd pas espoir de parvenir un jour à te secouer hors de tes états d'âme. Même ton fils a honte que tu sois son père. Et Craig, l'autre Craig - plus le temps passe, plus t'as été obligé de reconnaître que t'avais besoin de pouvoir compter sur lui, parce que l'alcool te rendait le plus inutile des deux. Ton partenaire, c'est devenu un peu ton seul ami. Tu t'es même mis à l'appeler Cilly. Ou Greg, quand t'as envie de l'emmerder. Deux pauvres tâches pour ramener la paix à Bray, juste que lui ça marche un peu plus, et toi, faut attendre que t'ait cuvé.

Salut salut ! Moi c'est Mos et je débarque du haut de mes 20 ans. J'aime être en vacances, je déteste écrire un mémoire et on me dit souvent que je prends trop de place. On me verra dans les parages H24. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à all by myself ♪ et d'ailleurs je le trouve splendiiide. Je suis un inventé et puis je tenais à terminer en vous disant que Dagda est l'incarnation du mal ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non ça devrait le faire

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L'incarnation du mal, t'exagères bro Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 2210271934
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C'est toi qui est venue me tenter en plein rush de mémoire Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 1805094654
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Oui bah euh hein voilà. Bon.
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Hey you Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 1282174132
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Bon bah, re-bienvenue chez-toi eh Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 1620860120
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@Castiel Salut toi Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 2877644098

@Shura Merci eh Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 1620860120
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Welcome (again) bô gosse bis ! Je veux un lien aussi :D
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Merci Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 2077382092 Ce sera avec plaisir !
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Re bienvenueeeeeeee Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig 3838337997

Ian Craig a écrit:
all by myself ♪
Merci je l'ai en tête XD
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Surmenage, défonçage, marécage | Ian Craig
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