| Mer 30 Nov - 13:04 | | Gabriel P² Nom « Sometimes, I wish I hate you more... » Nom + au choix Prénom + Gabriel âge + 24-27 ans lieu et date de naissance + au choix orientation sexuelleHétéro, bi, si tu le veux situation maritale +célibataire, collectionneur métier ou études +j'imagine quelques choses d'illégal, 'as pas peur de te salir les mains situation financière + t'es pas à plaindre.avatar + Tom Felton, négociable à 45% groupe + au choix race + . au choix. Méta, tempestaire, chasseur... Organisation + | caractère T'es un connard. Tu aimes faire chier ton monde. C'est pas juste amusant pour toi, ça te procure presque un plaisir malsain de voir que tu as fait vibré la corde sensible. Tu es quelqu'un de loyal, tu reste fidèle aux personnes à qui tu tient. Ces personnes sont rare, bien entendu. Et fidèle... c'est pas en amour que tu l'es. Tu es autodestructeur. Tout ce que tu touches, tu le fous en en l'air. Tu peux pas t'en empêcher. T'es quelqu'un de très fier et même si tu as tort parfois, souvent même. Il est pour toi hors de question d'aller baisser ton froc et t'excuser. Inutile de dire que ta fierté, t'as souvent foutu dans la merde. Tu es une personne impulsive, sanguin. Ton sang n'a pas le temps de faire un tour que tes poings vise déjà la tronche de ton adversaire. Tu es en colère, tu ne sais pas te gérer donc la violence et tes poings sont tes meilleurs et plus vieux amis. T'es un mauvais garçon mais t'es surtout incompris. Au fond, t'es quelqu'un de bien. Tu remuerais ciel et terre pour les gens que t'aime et c'est seulement à travers tes actions qu'ils verront à quel point tu les aime. Autrement, t'as jamais su t'exprimer. T'es con. |
histoire Je n'ai que très peu de points qu'il te faudra respecter : •T'as pas eu une vie rose ou alors que si mais ça t'as pas empêcher de mal tourner. •Tu es doué avec tes poings alors en faire ton métier, ça t'as bien plu. •Tu as été en Italie durant quelques mois de ta vie. Là, où tu as travaillé pour Iain Laghléis. Là, où tu as fais la connaissance de Maxime. Il se trouve que c'était la fille de ton boss, pas de chance. Ce détail, Maxime ne l'a jamais su, Iain, non plus. C'était, il y a 6 ans. •Après votre rupture, après qu'elle ait foutu le camp à cause de ta bêtise. Tu as haïs la personne qui t'as amené à la perdre. Elle était une distraction, elle était dangereuse. Iain ne savait même pas qu'il menaçait sa propre fille et tu t'es bien gardé de lui dire que tu avais tout compris. Et tu t'es barré aussi. • ... - Extrait de ma fiche, où je parle de toi:
Des mois qu'elle était en Italie et rien. Elle n'avait pas trouvée la réelle identité de son père biologique. Enfin, valait mieux dire l'identité de son père tout court puisqu'elle n'avait plus jamais revu ou eut des nouvelles de celui qui était son père, il y a quatre de cela à peine. Il était parti et n'avait plus jamais donné signe de vie. Bien qu'il continuait de lui verser une généreuse somme d'argent tout les mois. ''Pour ses traitements onéreux'', lui avait fait savoir l'avocat de Martin Saint-Laurent. Elle avait comprit depuis bien longtemps qu'il n'en avait rien à faire de sa personne. Cet argent était là seulement pour laver sa conscience de lâche. Comme si elle avait besoin de son blé, comme si elle avait besoin ces conneries ! Sa mère, du moins l'ombre de ce qu'avait autrefois été Claudia Saint-Laurent avait bien assez d'argent pour s'occuper d'elle. Mais ça, il ne désirait pas le comprendre. Il y avait en ce bas monde un tas de choses que Martin Saint-Laurent ne comprenait pas. Comme le fait que Claudia était une femme de son statut avant d'être son épouse. Mais il semblerait que le fait qu'elle eusse été infidèle l'ait rabaissé au rang de prostituée à ses yeux. Il ne comprenait pas non plus qu'elle n'avait pas besoin de son argent, qu'elle avait juste besoin d'un père et de l'amour que seul un père pouvait donner à sa fille. Mais ça, c'était encore une autre histoire. Des mois donc, qu'elle était venue en Italie dans le but de mettre la main sur son véritable géniteur et rien, elle n'en savait pas plus que quand elle avait posé un pied sur le sol italien. Tout ce qu'elle savait c'était un ramassis d'informations inutiles que sa mère avait pu lui donner. Autant dire que chercher une aiguilles dans une meule de foin serait nettement plus facile. Et heureusement, elle n'était pas seule. Maxime aurait préféré partager ces moments avec son meilleur ami mais elle avait ressenti le besoin de le faire seule. Non, bien sure que c'étaient des conneries. Maxime lui avait simplement dit qu'elle partait quelques temps à l'étranger, qu'elle avait dix-huit et qu'elle avait besoin de voir le monde. Elle n'avait pas voulu qu'il sache qu'elle cherchait son père dans le bus de survivre. Elle n'avait pas voulu le nourrir d'espoir. Arthur et elle avait grandi ensemble, il avait eut l'occasion de le voir dans tout ses états. Il l'avait vu tombé malade et elle avait vu à quel point ça l'avait dévasté. Max ne souhaitait aucunement le faire revivre ça, lui imposer de faire le deuil une nouvelle fois. Mais elle n'était pas seule, elle avait rencontré quelqu'un. Un sourire élargi ses fines lèvres rosé quand elle grimpa dans le taxi qui l'emmenait chez elle, chez eux. Deux jours entier qu'elle ne l'avait pas vu et il lui manquait terriblement. Bien sure qu'elle aurait pu éviter cette situation mais elle attendait le bon moment pour lui dire qu'elle était souffrante. Qu'elle avait besoin d'une transfusion de sang de dizaine d'inconnus tout les mois pour qu'elle vive plus longtemps et que si elle cherchait son père aussi désespérément, c'était dans l'espoir qu'il accepte de lui faire don d'un peu de sa précieuse moelle osseuse pour qu'elle puisse arrêter de vivre sur le fil d'un rasoir. Mais non, elle ne lui avait rien dit de tout cela. Au départ, ça avait été pour éviter qu'il la prenne en pitié comme tant d'autres en apprenant qu'elle était malade puis au fil des mois, elle n'avait tout bonnement pas trouver le bon moment pour le lui dire. Il méritait de savoir, pourtant. Alors en grimpant les escaliers quatre à quatre, elle se promit de tout lui dire. Elle allait ouvrit la porte, lui faire un énorme calin et lui expliquerait tout après lui avoir dit qu'elle l'aimait et qu'il lui avait tellement manqué. Oui, elle aimait cet homme. Il aurait dû être son premier amour mais cette place appartiendra toujours à un autre bien qu'elle ne puisse se l'avouer.Mais cet homme, elle l'aimait réellement et il méritait de savoir la vérité. Alors elle poussa la porte d'entrée de leurs appartement et fila presque en courant, toujours essoufflée vers leurs chambres et là, ce fut le drame. Elle s'était figé, la main toujours sur la poignée en apercevant l'élu de son cœur emmitouflé dans les couvertures, une jolie blonde enroulée autour de lui. « Putain, j'y crois pas ! », hurla-t-elle presque mais sa voix se brisa tandis que les larmes lui montait aux yeux. Elle était dégoutée, écœurée, enragée, dévastée. Les deux jeunes gens se réveillèrent en sursaut et son petit-ami bondit hors du lit,à moitié à poils. Comment elle avait pu être aussi conne. « Comment j'ai pu être aussi conne ?! », elle tourna vivement les talons, repartant vers l'entrée. Il tenta de la rattraper. C'est pas ce que tu crois. Je vais tout t'expliquer. Sa mère aussi avait dit ça à Martin. Elle se retourna et le poussa en arrière de toute ses forces, elle pleurait à présent. C'était tout ce qu'elle parvenait à faire. Elle se sentait vidée. Vide. « Je veux plus te voir ! Jamais.» et elle parti. Ne laissant pas une seconde de plus à l'homme qu'elle aimait le temps de lui expliquer quoique ce soit. Et pourtant, elle aurait dû...
| Maxime St-Laurent If I hated you more, maybe i'll love you less. › Maxime et Gabriel, c’est compliqué. Il est le feu et elle est le feu aussi. Ils se ressemblent tellement et se comprennent du coup, comme personne. Il a un caractère de chien, elle aussi. Elle a un tempérament de feu, lui aussi. Mais ils se sont réellement aimé, ensemble, ils ont réellement été heureux. Il ne se passait pas un jour sans qu’ils ne se disputent, sans qu’ils ne se poussent toujours et un peu plus vers leurs limites. Parfois, ils en venaient aux mains mais ce n’était jamais bien méchant. Ce qu’il lui foutait dans la gueule, elle le lui rendait tout pareil. Leur relation était malsaine mais ils étaient heureux, ils étaient amoureux. Elle n’a pas partagé ses secrets, lui non plus. Il l’a trahis et elle est parti. Leur histoire était malsaine, la fin était dramatique. Mais ce qui les liaient… les lient sera toujours intense. Ils s’aiment, se détestent. Ils n’ont jamais compris où était la limite entre ces deux sentiments. | Iain p²Laghléis About earning respect › Gabriel travaillait pour Iain. Iain ordonnait et Gabriel ne posait jamais de question. Gabriel était un petit con mais il connaissait le sens de la hiérarchie, il avait le sens de l’honneur. Mais Iain avait soif de pouvoir, il aimait tout contrôler et apprendre que Gabriel s’était entiché d’une pouliche, que son petit protégé se permettait une faiblesse aussi futile, une distraction aussi débile que l’amour. Ça ne lui plut pas. Et le jour où Iain menaça de tuer cette femme, cette distraction, il perdit le respect de Gabriel et gagna sa haine. Il n’avait pas eu beaucoup de mal à comprendre selon les descriptions de Maxime et le peu qu’elle connaissait de la vie de Iain pour savoir que ces deux-là était lié par le sang. Un père qui menaçait de tuer sa propre fille… Et si Gabriel n’avait pas vu Iain usé de machination sordide contre son propre fils, peut être que cette information aurait été utile. Peut-être qu’il aurait pensé cette menace vaine. Mais Gabriel ne voulait pas prendre ce risque. Il voulait protéger Maxime, même s’il devait la perdre pour ça. Au moins, elle vivrait. Et pour ce que lui a fait Iain… Gabriel n’attend plus que la roue tourne. Sa vengeance, il l’aura. | |
| Maverick C. O'Neill
primordial ›ce lien est à voir avec le joueur. |
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| Mer 30 Nov - 13:06 | | Demandes du Créateur «haut en couleur» Écrire ici |
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